Interview
SEP7EMBER (2011) - Boris Pillman
SEP7EMBER, c'est l'histoire de cinq garçons pratiquant une musique nettement orientée dans des sonorités hard-pop. CPour mieux nous parler des subtilités de l'album, c'est le vocaliste, Boris Pillman qui s'y colle.
Peux-tu nous présenter ton groupe et nous expliquer la signification de son nom, en l’occurrence, Sep7ember ?
En 2005, nous avons enregistré, notre premier album, Moving Across Any Surface. En 200, nous avons splitté pour des raisons internes inssuportables. Juste après, nous avons donné naissance au groupe tel qu’il est aujourd’hui. Nous avons eus un changement dans le line up mais pour la première fois, les choses sont allées dans le bonne direction. Nous n’avions pas changé le nom du groupe car il y a certaines choses qui sont vraiment en corrélation avec la musqiue du groupe. C’est la mélencolie de la fin de l’été et le début de l’automne.
Quel est ton passé musical ? As-tu toujours révé de devenir musicien ?
La musique est certainement l’aspect le plus important de ma vie. A travers les années, je suis passé dans différents styles musicaux du rock, du punk, du hardcore, du metal, du grunge, du stoner, de l’indierock, à la pop, l’électrop et ainsi de suite… C’est sans fin. Si les chansons me saisissent, je ne fais pas attention au style de celles-ci. Ce serait me limité et pourquoi devrais-je le faire ? La musique est une sorte d’obsession. Une fois que tu es infecté, ça ne s’arrête jamais. J’ai toujours su que je ne trouverai pas mon « Saint Graal » en portant des costumes set en gagnant de l’argent. Mais ceci ne veut pas dire que je ne dois pas travailler en dehors de la musique. Nous devons tous le faire, et c’est une manière de vivre très exigeante.
Quand tu as formé ce groupe, avais-tu une idée bien précise du style de musique que tu allais jouer ?
Non. Je crois que tout le monde a une idée différente du style de musique qu’il voudrait jouer et c’est encore un secret derrière ce que nous créeons. J’espère que ça ne changera jamais.
Comment trouves-tu la scène d’aujourd’hui ? La trouves-tu meilleure ou au contraire plus mauvaise ?
L’un dans l’autre, je ne pense pas que je puisse dire que c’est mieux ou pire. C’est juste différent. Aujourd’hui, nous avons plus de groupes qu’il n’y en a jamais eut, parmi eux, beaucoup ne seront plus là dans un an ou deux. Dans la scène musicale, la vie bouge très vite, trop.
En moyenne, la qualité des groupes a augmenté mais il n’y a pas trop de groupes qui sont capables de créer leur propre identité. C’est certainement moins cher de produire un album que ça l’était il y a quelques années. En revanche, promouvoir un groupe, c’est bien plus compliqué que jamais.
Il y a t-il quelqu’un dans le groupe qui a un side-project ?
Moi, le chanteur, je suis le chef d’un nouveau projet électronique avec un ami à moi à Berlin. Ce projet s’appelle B-Ebene, c’est complètement différent de SEP7EMBER. Pas seulement parce que nous avons les parole sen Allemands. En mon sens, l’autre projet derrière SEP7EMBER doit être différent. Je ne veux pas faire la même chose deux fois.
Quel sentiment tu as eus la première fois que tu as tenu Strange Ways Of Going Home dans tes mains?
Comme je l’ai mentionné précédemment, nous avons enregistré un album en 2005 via notre propre label, ‘timeclub’. Si ‘Strange Ways Of Going Home’ doit être qualifié comme étant notre premier ‘vrai’ album… Quand je l’ai acheté, c’était dans un grand magasin de Francfort, c’était comme si je n’avais rien ressenti avant.
Je suis assez curieuse, comment s’est passé la signature avec SPV ?
En 2010, nous avons produit la vidéo ‘I hate NY’ et quelques mois plus tard, nous avons rencontré notre management pour la première fois. C’était un moment de Bonheur car beaucoup de personnes dans le business de la musique sont des causeurs de merde professionnels et parmi ces professionnels, certains sont des connards. Cette fois, c’était différent. Nous avons un bon soutien de notre management, il n’a pas fallu longtemps pour que SPV soit intéressé et nous propose un deal. C’est comme un rêve qui devient réalité.
Parle-moi un peu des débuts du groupe… en quoi votre manière de faire de la musique a changé ?
Nous avions commencé avec une sorte de riff beaucoup plus orienté sur un style, maintenant nous sommes focalisés sur la chanson en elle-même. Ce doit être la principale difference.
A quoi doit s’attendre votre public en écoutant Strange Ways Of Going Home?
Strange Ways Of Going Home secoue bien, à coup sûr, je l’ai entendu une centaine de fois, en toute honneté, cet album représente ce que nous sommes. Tu peux t’attendre que l’album s’affirme chaque fois que tu l’écoutes à nouveau.
Si tu avais seulement trois mots pour traduire ce nouvel album, quels sont ceux que tu choisirais pour decrier Strange Ways Of Going Home ?
Nul besoin d’utiliser trois mots, un seul suffit. C’est du hardpop.
Comment procèdes-tu pour l’écriture des chansons ?
Il y a différentes manière d’écrire une chanson et nous en savons jamais laquelle sera la suivante. Souvent c’est le fragmant d’une musique dans ta tête qui vient de nulle part ou des paroles que tu as entendus et qui ressortent à cet instant. Souvent, on bloque et quelquefois, écrire est un travail très difficile. Si nous avions une seule manière d’écrire les chansons, les choses seraient plus faciles, d’un autre côté, c’est plus exaltant.
Où se sont passées les sessions d’enregistrement de Strange Ways Of Going Home ? Et comment se sont-elles passées ?
Nous avons enregistré l’album à l’Ultraton Studios avec comme ingénieur Alex Theisen, qui est un très bon ami à nous. Alors nous avions une atmosphère familiale et très relaxante durant l’enregistrement. Après quelques jours, nous savions précisément comment l’album fini devrait ressembler. Nous avions décidé de conserver l’album très basique et nous en voulions pas le surcharger avec des tonnes d’effets. Nous voulions que nos chansons parlent d’elles mêmes et que le son soit comme nous jouons en live.
T’arrives-t-il d’écouter cet album à la maison ?
Oui, ça m’arrive. Quelques semaines après la fin de l’enregistrement, j’avais besoin de mettre une distance. L’écriture et l’enregistrement des chansons peuvent être très difficiles aussi bien sur le plan musical qu’émotionnel. Ce processus doit se stopper pendant un temps avant que tu puisses écouter ta propre musique.
Peux-tu expliquer aux lecteurs des Seigneurs du Metal, quelle est la corrélation entre la cover et Strange Ways Of Going Home ?
Quant à la couverture de l’album, il y a eut une chose obligatoire venant de SPV. La cover devait montrer le groupe. En réalité, nous n’étions pas heureux, notre directeur artistique a trouvé un moyen de nous montrer. A la fin, les membres du groupe et la fusions transparente de cinq images différentes dans une seule seulement pour montrer la photo du groupe. C’est aussi, l’histoire de SEP7EMBER, cinq garcons.
Le cri peut montrer l’étrange dans le titre de l’album mais peut aussi vouloir dire : fuck you, nous sommes à la maison parce que nous n’avons jamais renoncé.
Que préfères-tu dans cet album ?
Je crois que la plus grosse chose de l’album c’est la façon dont il a été enregistré. Il sonne comme un concert live.
I Hate New York est un titre puissant, un de mes favoris. D’ailleurs, pour toi, quel est celui que tu préfères ?
C’est différent de jour en jour, cela dépend de l’humeur que j’ai. Souvent une chanson est en corrélation avec quelque chose qui m’arrive dans ma vie. Aujourd’hui, ma favorite, c’est ‘So’, parce qu’hier, je me sentais bien, nous fais un concert.
A ce propos, comment peut-on détester Paris?
Nous ne détestons pas Paris. Nous ne détestons aucune des villes mentionné dans ‘I hate NY’, ce n’est pas ce que la chanson veut dire. Il s’agit de la manière stupide dont est utilisé le mot amour dans le langage courant et plus particulièrement sur ces t-shirts ‘I love’. Et par cette manière, (dans un certain sens) nous parlons que quelque chose comme une bite qui est coincée dans Paris Hilton
Quand on écoute votre album pour la toute première fois, on est d’abord frappé par la qualité de votre musique. Votre style s’apparente à du easy-listening. Est-ce quelque chose va garder comme une marque de fabrique ou s’agit il à l’inverse d’une caractéristique inhérente de SEP7EMBER ?
L’idée basique de SEP7EMBER c’est de jouer de la musique qui nous plaise. Nos sonorités sont le résultat de différentes personnes qui font partie d’un groupe, de leur manière de jouer et des différents styles que nous écoutons. Nous avons toujours essayé de donner le meilleur. C’est simple.
J’ai lus quelques chroniques à votre sujet, la mienne était plutôt positive et les réactions sur Strange Ways Of Going Home le sont tout autant. Tu dois être fier.
Quand nous disons que nous voulons une musique qui sonne bien pour nous, cela ne veut pas dire que nous ne souhaitons pas la partager. Donc c’est génial de réaliser qu’il y a des gens qui ressentent la même chose que nous en écoutant ce que nous faisons. C’est la raison pour laquelle nous faisons de la musique.
Suis-je la première personne à te dire que ta voix est très similaire de celle de Brian Molko (Placebo)?
Non, bien sur, oui. Seulement Brian Molko n’est pas le seul chanteur avec qui on me compare. Cela signifie aussi qu'il y a tout un tas de chanteurs qui se rapprochent de ma tessiture, plus que Placebo. Ici, c'est Boris Pillman.
Justement, as-tu pris des cours de chant ?
Je chante depuis que j’ai commencé à écouter de la musique à la radio. J’ai appris par moi-même, peut-être avec une petite aide de cigarettes et d’alcool.
Quel est ton album favori de l’année ?
Cela dépend de l’humeur dans laquelle je suis. En ce moment, j’aime le style sombre et noir. Pendant le processus d’écriture, j‘écoutais ‘High Violet’ de The National. Un album brillant.
Comment se porte la scène locale ?
Il y a de nombreux groupes de metal. Que pourrais-je dire d eplus ? Quelques uns sont biens, d’autres mauvais et certaisn sotn entre els deux.
Avec SEP7ember, avez-vous des projets d’ici la fin de l’année?
Il y en a plusieurs. Il semble qu’ils ne resteront pas en l’état de projets, notre management et SPV se démènent pour nous et font tout leur possible. Fin novembre, notre second single est sorti, la nouvelle vidéo sera diffusée via imusic1.
Nous serons en tournée du 10 au 14 janvier et notre management travaille sur de nombreux festivals pour cet été. Chaque fois qu’il y aura une chance de jouer à l’étranger, nous le ferons. Bien sur, nous aimerions jouer à Paris pour vous montrer comme nous la détestons.
Peux-tu nous présenter ton groupe et nous expliquer la signification de son nom, en l’occurrence, Sep7ember ?
En 2005, nous avons enregistré, notre premier album, Moving Across Any Surface. En 200, nous avons splitté pour des raisons internes inssuportables. Juste après, nous avons donné naissance au groupe tel qu’il est aujourd’hui. Nous avons eus un changement dans le line up mais pour la première fois, les choses sont allées dans le bonne direction. Nous n’avions pas changé le nom du groupe car il y a certaines choses qui sont vraiment en corrélation avec la musqiue du groupe. C’est la mélencolie de la fin de l’été et le début de l’automne.
Quel est ton passé musical ? As-tu toujours révé de devenir musicien ?
La musique est certainement l’aspect le plus important de ma vie. A travers les années, je suis passé dans différents styles musicaux du rock, du punk, du hardcore, du metal, du grunge, du stoner, de l’indierock, à la pop, l’électrop et ainsi de suite… C’est sans fin. Si les chansons me saisissent, je ne fais pas attention au style de celles-ci. Ce serait me limité et pourquoi devrais-je le faire ? La musique est une sorte d’obsession. Une fois que tu es infecté, ça ne s’arrête jamais. J’ai toujours su que je ne trouverai pas mon « Saint Graal » en portant des costumes set en gagnant de l’argent. Mais ceci ne veut pas dire que je ne dois pas travailler en dehors de la musique. Nous devons tous le faire, et c’est une manière de vivre très exigeante.
Quand tu as formé ce groupe, avais-tu une idée bien précise du style de musique que tu allais jouer ?
Non. Je crois que tout le monde a une idée différente du style de musique qu’il voudrait jouer et c’est encore un secret derrière ce que nous créeons. J’espère que ça ne changera jamais.
Comment trouves-tu la scène d’aujourd’hui ? La trouves-tu meilleure ou au contraire plus mauvaise ?
L’un dans l’autre, je ne pense pas que je puisse dire que c’est mieux ou pire. C’est juste différent. Aujourd’hui, nous avons plus de groupes qu’il n’y en a jamais eut, parmi eux, beaucoup ne seront plus là dans un an ou deux. Dans la scène musicale, la vie bouge très vite, trop.
En moyenne, la qualité des groupes a augmenté mais il n’y a pas trop de groupes qui sont capables de créer leur propre identité. C’est certainement moins cher de produire un album que ça l’était il y a quelques années. En revanche, promouvoir un groupe, c’est bien plus compliqué que jamais.
Il y a t-il quelqu’un dans le groupe qui a un side-project ?
Moi, le chanteur, je suis le chef d’un nouveau projet électronique avec un ami à moi à Berlin. Ce projet s’appelle B-Ebene, c’est complètement différent de SEP7EMBER. Pas seulement parce que nous avons les parole sen Allemands. En mon sens, l’autre projet derrière SEP7EMBER doit être différent. Je ne veux pas faire la même chose deux fois.
Quel sentiment tu as eus la première fois que tu as tenu Strange Ways Of Going Home dans tes mains?
Comme je l’ai mentionné précédemment, nous avons enregistré un album en 2005 via notre propre label, ‘timeclub’. Si ‘Strange Ways Of Going Home’ doit être qualifié comme étant notre premier ‘vrai’ album… Quand je l’ai acheté, c’était dans un grand magasin de Francfort, c’était comme si je n’avais rien ressenti avant.
Je suis assez curieuse, comment s’est passé la signature avec SPV ?
En 2010, nous avons produit la vidéo ‘I hate NY’ et quelques mois plus tard, nous avons rencontré notre management pour la première fois. C’était un moment de Bonheur car beaucoup de personnes dans le business de la musique sont des causeurs de merde professionnels et parmi ces professionnels, certains sont des connards. Cette fois, c’était différent. Nous avons un bon soutien de notre management, il n’a pas fallu longtemps pour que SPV soit intéressé et nous propose un deal. C’est comme un rêve qui devient réalité.
Parle-moi un peu des débuts du groupe… en quoi votre manière de faire de la musique a changé ?
Nous avions commencé avec une sorte de riff beaucoup plus orienté sur un style, maintenant nous sommes focalisés sur la chanson en elle-même. Ce doit être la principale difference.
A quoi doit s’attendre votre public en écoutant Strange Ways Of Going Home?
Strange Ways Of Going Home secoue bien, à coup sûr, je l’ai entendu une centaine de fois, en toute honneté, cet album représente ce que nous sommes. Tu peux t’attendre que l’album s’affirme chaque fois que tu l’écoutes à nouveau.
Si tu avais seulement trois mots pour traduire ce nouvel album, quels sont ceux que tu choisirais pour decrier Strange Ways Of Going Home ?
Nul besoin d’utiliser trois mots, un seul suffit. C’est du hardpop.
Comment procèdes-tu pour l’écriture des chansons ?
Il y a différentes manière d’écrire une chanson et nous en savons jamais laquelle sera la suivante. Souvent c’est le fragmant d’une musique dans ta tête qui vient de nulle part ou des paroles que tu as entendus et qui ressortent à cet instant. Souvent, on bloque et quelquefois, écrire est un travail très difficile. Si nous avions une seule manière d’écrire les chansons, les choses seraient plus faciles, d’un autre côté, c’est plus exaltant.
Où se sont passées les sessions d’enregistrement de Strange Ways Of Going Home ? Et comment se sont-elles passées ?
Nous avons enregistré l’album à l’Ultraton Studios avec comme ingénieur Alex Theisen, qui est un très bon ami à nous. Alors nous avions une atmosphère familiale et très relaxante durant l’enregistrement. Après quelques jours, nous savions précisément comment l’album fini devrait ressembler. Nous avions décidé de conserver l’album très basique et nous en voulions pas le surcharger avec des tonnes d’effets. Nous voulions que nos chansons parlent d’elles mêmes et que le son soit comme nous jouons en live.
T’arrives-t-il d’écouter cet album à la maison ?
Oui, ça m’arrive. Quelques semaines après la fin de l’enregistrement, j’avais besoin de mettre une distance. L’écriture et l’enregistrement des chansons peuvent être très difficiles aussi bien sur le plan musical qu’émotionnel. Ce processus doit se stopper pendant un temps avant que tu puisses écouter ta propre musique.
Peux-tu expliquer aux lecteurs des Seigneurs du Metal, quelle est la corrélation entre la cover et Strange Ways Of Going Home ?
Quant à la couverture de l’album, il y a eut une chose obligatoire venant de SPV. La cover devait montrer le groupe. En réalité, nous n’étions pas heureux, notre directeur artistique a trouvé un moyen de nous montrer. A la fin, les membres du groupe et la fusions transparente de cinq images différentes dans une seule seulement pour montrer la photo du groupe. C’est aussi, l’histoire de SEP7EMBER, cinq garcons.
Le cri peut montrer l’étrange dans le titre de l’album mais peut aussi vouloir dire : fuck you, nous sommes à la maison parce que nous n’avons jamais renoncé.
Que préfères-tu dans cet album ?
Je crois que la plus grosse chose de l’album c’est la façon dont il a été enregistré. Il sonne comme un concert live.
I Hate New York est un titre puissant, un de mes favoris. D’ailleurs, pour toi, quel est celui que tu préfères ?
C’est différent de jour en jour, cela dépend de l’humeur que j’ai. Souvent une chanson est en corrélation avec quelque chose qui m’arrive dans ma vie. Aujourd’hui, ma favorite, c’est ‘So’, parce qu’hier, je me sentais bien, nous fais un concert.
A ce propos, comment peut-on détester Paris?
Nous ne détestons pas Paris. Nous ne détestons aucune des villes mentionné dans ‘I hate NY’, ce n’est pas ce que la chanson veut dire. Il s’agit de la manière stupide dont est utilisé le mot amour dans le langage courant et plus particulièrement sur ces t-shirts ‘I love’. Et par cette manière, (dans un certain sens) nous parlons que quelque chose comme une bite qui est coincée dans Paris Hilton
Quand on écoute votre album pour la toute première fois, on est d’abord frappé par la qualité de votre musique. Votre style s’apparente à du easy-listening. Est-ce quelque chose va garder comme une marque de fabrique ou s’agit il à l’inverse d’une caractéristique inhérente de SEP7EMBER ?
L’idée basique de SEP7EMBER c’est de jouer de la musique qui nous plaise. Nos sonorités sont le résultat de différentes personnes qui font partie d’un groupe, de leur manière de jouer et des différents styles que nous écoutons. Nous avons toujours essayé de donner le meilleur. C’est simple.
J’ai lus quelques chroniques à votre sujet, la mienne était plutôt positive et les réactions sur Strange Ways Of Going Home le sont tout autant. Tu dois être fier.
Quand nous disons que nous voulons une musique qui sonne bien pour nous, cela ne veut pas dire que nous ne souhaitons pas la partager. Donc c’est génial de réaliser qu’il y a des gens qui ressentent la même chose que nous en écoutant ce que nous faisons. C’est la raison pour laquelle nous faisons de la musique.
Suis-je la première personne à te dire que ta voix est très similaire de celle de Brian Molko (Placebo)?
Non, bien sur, oui. Seulement Brian Molko n’est pas le seul chanteur avec qui on me compare. Cela signifie aussi qu'il y a tout un tas de chanteurs qui se rapprochent de ma tessiture, plus que Placebo. Ici, c'est Boris Pillman.
Justement, as-tu pris des cours de chant ?
Je chante depuis que j’ai commencé à écouter de la musique à la radio. J’ai appris par moi-même, peut-être avec une petite aide de cigarettes et d’alcool.
Quel est ton album favori de l’année ?
Cela dépend de l’humeur dans laquelle je suis. En ce moment, j’aime le style sombre et noir. Pendant le processus d’écriture, j‘écoutais ‘High Violet’ de The National. Un album brillant.
Comment se porte la scène locale ?
Il y a de nombreux groupes de metal. Que pourrais-je dire d eplus ? Quelques uns sont biens, d’autres mauvais et certaisn sotn entre els deux.
Avec SEP7ember, avez-vous des projets d’ici la fin de l’année?
Il y en a plusieurs. Il semble qu’ils ne resteront pas en l’état de projets, notre management et SPV se démènent pour nous et font tout leur possible. Fin novembre, notre second single est sorti, la nouvelle vidéo sera diffusée via imusic1.
Nous serons en tournée du 10 au 14 janvier et notre management travaille sur de nombreux festivals pour cet été. Chaque fois qu’il y aura une chance de jouer à l’étranger, nous le ferons. Bien sur, nous aimerions jouer à Paris pour vous montrer comme nous la détestons.
Critique : Alisia
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