Interview
GUT SCRAPERS (2013) - Pierre 'Le Boss' (Batterie)
C’est en ce vendredi d’octobre un peu pluvieux que je rejoins les sudistes de GUT SCRAPERS au Hard Rock Café pour cette interview réalisée pour la sortie du premier album du groupe « Gimme Your Soul ». C’est Pierre aka ‘Le Boss’ se prête au jeu de la question réponse, un peu stressé pour sa première journée promo et première interview en face à face.
Peux-tu nous présenter rapidement le groupe ?
Le groupe a vu le jour en 2008, avec des amis avec qui je travaillais depuis longtemps. On avait envie de faire du rock, jouer et se faire plaisir. On a attaqué par des reprises et à jouer dans des bars puis on s’est vite mis à faire de la compo et c’est de là qu’est né Gut Scrapers ; principalement grâce à Will qui à beaucoup d’idées et de riffs.
Pour ce qui est des influences, nous sommes fans de groupes comme Aerosmith, Led Zeppelin, Ac/Dc, Black Sabbath. L’ensemble est quand même assez varié.
Pour votre premier album, vous êtes signés chez Pure Steele Records et distribués en France par Brennus ce qui est plutôt pas mal.
Ce sont Fred et Will qui ont géré et qui gèrent cette partie là. On était inscrit sur un site de recherche de label une fois que nous avions produit l’album, nous avons eu plusieurs propositions dont Pure Steele. Les conditions de Pure Steele Records sont celles qui nous ont convenues le mieux d’où le choix. Pour ce qui est de Brennus, nous avons envoyé un album et ils ont accepté de nous distribuer. Apparemment Brennus et Pure Steele devraient travailler ensemble prochainement.
Tu as dit que l’album était prêt avant de démarcher les labels ; comment s’est passé sa production ?
J’ai beaucoup travaillé en studio avec Michel ‘Michton’ Garcia, qui habite à Gallargues et qui a le studio roots. Nous avons tout enregistré et aussi fait le mix chez lui. Pour le mastering, il s’est fait sur Paris. Pour la pochette, c’est Claude qui nous suivait depuis quelques temps et qui nous a fait la pochette. C’est une auto-production mais il n’y a eu que de bonnes rencontres en même temps.
En parlant de la pochette, pourquoi ce chat rocker ?
Au départ on avait fait une affiche avec nos têtes déformées et on était partit sur un thème qui était le Rock ‘N Roll Circus, avec un thème à la Tim Burton pour la scène. On a expliqué ça au dessinateur, il est venu plusieurs fois aux répétitions et il a créée ce personnage, en fonction des morceaux et aussi dans un esprit un peu sombre. Ce personnage est un peu comme Eddie est à Iron Maiden. Il nous suivra tout au long des notre aventure.
Pour ce qui est de l’étoile, on l’avait déjà, elle représente les cinq membres du groupe.
Il est marqué dans votre biographie que le groupe aime ‘jouer partout et dans toutes les conditions’.
On est un groupe 4x4 si tu veux. On travaillé en répétition de façon à ce que quelques que soient les conditions, qu’il y est deux personnes, que l’accueil soit mauvais ou bon, qu’on ait pas le temps de faire les balance etc, on a fait en sorte qu’il y ait la même énergie tout le temps. C’est du aussi à du vécu, quelques mésaventures à nos débuts.
Autre chose aussi, quand nous jouons nous ne prenons pas de pause. Ce sont deux heures et demie de concert sans interruption. Il y a donc une partie compo et une partie reprises.
En feuilletant le livret de l’album on peut voir apparaître le nom de J Benedittini dans l’écriture de toutes les chansons, mais qui ne fait pas partie du groupe.
C’est Julia, la femme de Fred notre guitariste, qui écrit toutes les paroles. Elle parle et écrit très bien l’anglais, ce qui n’est pas le cas du reste du groupe. Et comme on voulait un album en anglais pour pouvoir atteindre un maximum de personnes, nous lui avons demandé son aide.
Vous avez deux invités sur un titre de l’album, dont Christophe Godin. Pourquoi ce choix ?
Ce sont des copains à Fred, et sur ce titre il y avait de la place pour de très bons chorus guitare et le choix s’est fait naturellement, et au final nous avons un super morceau.
Revenons sur les textes. Ils sont très sombres quand même.
Ils sont issus de nos expériences personnelles. Par exemple ‘You Suck’ parle d’une personne qui nous a fait du mal et qui au final nous a offert ce super morceau. Burden a été écrit par Thierry et sa parle de sa vie, et de son père.
Par exemple ‘Got no life’ parle d’un mec qui mate sa voisine chaque fois qu’elle rentre chez elle. Mais le but des paroles est quand même de montrer qua dans chaque être humain il y a du bon et que c’est le bon qu’il faut montrer, et pas l’autre côté.
Vous avez ouvert pour Crucified Barbara. Comment s’est présentée cette opportunité ?
Ca s’est fait à Montpellier. Il y a une salle qui s’appelle le Secret Place, on y avait déjà joué et sa s’était très bien passé. Quand l’occasion s’est présentée pour jouer en ouverture de Crucified Barbara ils nous ont appelés et nous avons donc acceptés. Puis il faut savoir que des groupes de Hard Rock, il n’y en a pas beaucoup sur Montpellier, contrairement aux groupes de metal.
Vous allez jouer dans quelques mois avec Nightmare et Agressor, les dates arrivent. Y-a-t-il d’autres dates en prévisions ?
Il y a une date avec Gnô, le groupe de Christophe Godin, et on travaille sur d’autres dates plus conséquentes, en France on espère aussi à l’étranger. On veut défendre sur scène cette année où nous avons beaucoup travaillé à préparer et enregistrer cet album.
C’est la fin de l’interview, je te laisse conclure
J’espère que le disque vous plaira, on l’a fait avec les trippes. Venez nous voir sur scène, nous sommes plus un groupe de scène que de studio.
Peux-tu nous présenter rapidement le groupe ?
Le groupe a vu le jour en 2008, avec des amis avec qui je travaillais depuis longtemps. On avait envie de faire du rock, jouer et se faire plaisir. On a attaqué par des reprises et à jouer dans des bars puis on s’est vite mis à faire de la compo et c’est de là qu’est né Gut Scrapers ; principalement grâce à Will qui à beaucoup d’idées et de riffs.
Pour ce qui est des influences, nous sommes fans de groupes comme Aerosmith, Led Zeppelin, Ac/Dc, Black Sabbath. L’ensemble est quand même assez varié.
Pour votre premier album, vous êtes signés chez Pure Steele Records et distribués en France par Brennus ce qui est plutôt pas mal.
Ce sont Fred et Will qui ont géré et qui gèrent cette partie là. On était inscrit sur un site de recherche de label une fois que nous avions produit l’album, nous avons eu plusieurs propositions dont Pure Steele. Les conditions de Pure Steele Records sont celles qui nous ont convenues le mieux d’où le choix. Pour ce qui est de Brennus, nous avons envoyé un album et ils ont accepté de nous distribuer. Apparemment Brennus et Pure Steele devraient travailler ensemble prochainement.
Tu as dit que l’album était prêt avant de démarcher les labels ; comment s’est passé sa production ?
J’ai beaucoup travaillé en studio avec Michel ‘Michton’ Garcia, qui habite à Gallargues et qui a le studio roots. Nous avons tout enregistré et aussi fait le mix chez lui. Pour le mastering, il s’est fait sur Paris. Pour la pochette, c’est Claude qui nous suivait depuis quelques temps et qui nous a fait la pochette. C’est une auto-production mais il n’y a eu que de bonnes rencontres en même temps.
En parlant de la pochette, pourquoi ce chat rocker ?
Au départ on avait fait une affiche avec nos têtes déformées et on était partit sur un thème qui était le Rock ‘N Roll Circus, avec un thème à la Tim Burton pour la scène. On a expliqué ça au dessinateur, il est venu plusieurs fois aux répétitions et il a créée ce personnage, en fonction des morceaux et aussi dans un esprit un peu sombre. Ce personnage est un peu comme Eddie est à Iron Maiden. Il nous suivra tout au long des notre aventure.
Pour ce qui est de l’étoile, on l’avait déjà, elle représente les cinq membres du groupe.
Il est marqué dans votre biographie que le groupe aime ‘jouer partout et dans toutes les conditions’.
On est un groupe 4x4 si tu veux. On travaillé en répétition de façon à ce que quelques que soient les conditions, qu’il y est deux personnes, que l’accueil soit mauvais ou bon, qu’on ait pas le temps de faire les balance etc, on a fait en sorte qu’il y ait la même énergie tout le temps. C’est du aussi à du vécu, quelques mésaventures à nos débuts.
Autre chose aussi, quand nous jouons nous ne prenons pas de pause. Ce sont deux heures et demie de concert sans interruption. Il y a donc une partie compo et une partie reprises.
En feuilletant le livret de l’album on peut voir apparaître le nom de J Benedittini dans l’écriture de toutes les chansons, mais qui ne fait pas partie du groupe.
C’est Julia, la femme de Fred notre guitariste, qui écrit toutes les paroles. Elle parle et écrit très bien l’anglais, ce qui n’est pas le cas du reste du groupe. Et comme on voulait un album en anglais pour pouvoir atteindre un maximum de personnes, nous lui avons demandé son aide.
Vous avez deux invités sur un titre de l’album, dont Christophe Godin. Pourquoi ce choix ?
Ce sont des copains à Fred, et sur ce titre il y avait de la place pour de très bons chorus guitare et le choix s’est fait naturellement, et au final nous avons un super morceau.
Revenons sur les textes. Ils sont très sombres quand même.
Ils sont issus de nos expériences personnelles. Par exemple ‘You Suck’ parle d’une personne qui nous a fait du mal et qui au final nous a offert ce super morceau. Burden a été écrit par Thierry et sa parle de sa vie, et de son père.
Par exemple ‘Got no life’ parle d’un mec qui mate sa voisine chaque fois qu’elle rentre chez elle. Mais le but des paroles est quand même de montrer qua dans chaque être humain il y a du bon et que c’est le bon qu’il faut montrer, et pas l’autre côté.
Vous avez ouvert pour Crucified Barbara. Comment s’est présentée cette opportunité ?
Ca s’est fait à Montpellier. Il y a une salle qui s’appelle le Secret Place, on y avait déjà joué et sa s’était très bien passé. Quand l’occasion s’est présentée pour jouer en ouverture de Crucified Barbara ils nous ont appelés et nous avons donc acceptés. Puis il faut savoir que des groupes de Hard Rock, il n’y en a pas beaucoup sur Montpellier, contrairement aux groupes de metal.
Vous allez jouer dans quelques mois avec Nightmare et Agressor, les dates arrivent. Y-a-t-il d’autres dates en prévisions ?
Il y a une date avec Gnô, le groupe de Christophe Godin, et on travaille sur d’autres dates plus conséquentes, en France on espère aussi à l’étranger. On veut défendre sur scène cette année où nous avons beaucoup travaillé à préparer et enregistrer cet album.
C’est la fin de l’interview, je te laisse conclure
J’espère que le disque vous plaira, on l’a fait avec les trippes. Venez nous voir sur scène, nous sommes plus un groupe de scène que de studio.
Critique : Lionel
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