Interview
POP EVIL (2018) - Nick Fuelling (Guitare)
Votre album sera disponible le 16 Février 2018, il porte donc le nom éponyme de « Pop Evil » pourquoi l’avoir nommé ainsi ?
Pour la première fois nous avons assez de temps pour enregistrer l’album, on a eu des longs moments de disponible entre les concerts et on s’est focalisés sur l’écriture pendant quelques semaines. Pour le précédent album on a eu de le faire sur la route mais cette fois on a eu assez de temps pour développer nos idées et montrer vraiment qui nous sommes musicalement et on s’est dit que c’était le bon moment pour mettre ce titre avec le nom du groupe. On est très fiers de cet album, c’est vraiment qui nous sommes, c’est notre musique, c’est nous, c’est Pop Evil.
Quel est donc votre but pour cet album ?
C’est de vraiment toucher le plus de personnes, qu’il y ai beaucoup de gens qui l’écoute et on va tourner sans arrêt sur les routes pour cet album et on aimerait qu’il y ai le plus de personnes possible pour montrer ce qu’on a fait et montrer qui nous sommes !
Parle moi de la pochette de l’album
Le lion c’est le signe qu’on a fait l’album ensemble, c’est un symbole fort, un symbole de courage, force, c’est vraiment nous qui nous assumons en tant que musiciens et groupe. Et pour nous le lion représente cela, c’est notre force, notre courage de nous lever et de dire « c’est nous et notre musique, peut importe si vous aimez ou pas c’est comme ça que nous sommes » c’est un peu l’histoire derrière le lion et tous les petits détails dans ce lion cela montre que même si c’est un lion en apparence il y a de nombreuses choses qui font qui nous sommes.
Ces détails représentent aussi certaines choses que vous avez dû affronter pour en arriver là aujourd’hui ?
Oui exactement.
Parlons des clips que vous avez sorti, Walking Lions and Colors bleed, comment est venu l’idée des scripts, qu’avez-vous voulu exprimer et montrer en particulier ?
Pour Walking Lions, c’est à propos de se montrer soi-même vraiment tel qu’on est, qu’on a tous au fond de nous un warrior et qu’il n’appartient qu’à nous de le reveiller et que si tu veux être une meilleure personne c’est à toi et toi seul de le faire et là tu deviens un lion et tu fais en sorte par toi-même d’obtenir ce que tu veux. C’est ce que veux exprimer le clip aussi, le petit garçon qui essaie de fuir quelque chose, à un moment il se retourne et finalement il devient vivant.
Pour Colors bleed que nous avons donc sorti il y a quelque jour c’est une chanson sur le social, qu’il faut se lever ensemble contre les injustices comme le racisme, le sexisme et toute ces choses négatives qu’on travers dans le monde d’aujourd’hui. Cette vidéo a été dirigée par la même personne que pour WL et c’était sa vision de la chanson et je trouve qu’elle a fait un très bon travail elle a vraiment montré ce que nous voulions vraiment exprimer dans cette chanson. Que nous ne sommes pas hommes et femmes totalement différents mais qu’on doit se sentir unis, se protéger, qu’on est un et qu’on partage la même force.
Au sujet d’album maintenant, il y a vraiment beaucoup de diversité dans les titres, chaque chanson a son propre style, son propre univers…
Si tu regardes le reste de notre catalogue, aucun album ne se ressemble vraiment. Et pour celui-ci on voulait vraiment montrer qu’on peut le faire avec notre style, on voulait faire des musiques différentes et aussi satisfaire nos fans et leur donner ce qu’ils voulaient vraiment de nous donc du heavy mais on est aussi capable de faire du style pop et on voulait aussi faire ça dans l’album. C’est vraiment la base du groupe, on peut faire de la pop et du evil et on voulait que ça transparaisse vraiment dans cet album.
Dans la chanson Nothing but thieves, il y a une intro assez particulière, comment vous est venu l’idée ?
Cette chanson c’est un virage dans l’album, c’est en fait une idée de Hayley notre nouvelle batteuse. Quand on était dans cette maison au Michigan pendant l’écriture de l’album, nous sommes tous rentrés pendant le weekend mais elle est restée et à notre retour elle nous a proposé cette mélodie qu’elle a créée quand elle était sur le porche de la maison, ça l’a inspiré. Et on a tous aimé et du coup on a voulu donner vie à cette chanson, c’est la chanson la plus longue de l’album d’ailleurs. La manière dont la chanson a pris vie c’est une histoire à elle-même. L’intro de la chanson, c’est l’atmosphère de la chanson, les émotions qu’elle contient, c’est une espèce de résumé, on l’a fait en dernier.
C’était d’ailleurs votre premier album avec Hayley, comment ça s’est passé ?
C’était fantastique, elle est arrivée et on ne savait pas vraiment ce qui allait se passer, nous n’avions jamais travailler avec elle sur un album et pendant le processus nous voulions voir ce qu’elle avait et en fait c’était incroyable, la manière dont elle a pris le contrôle de sa partie en tant que batteuse, le contrôle de son rôle. Quand elle ne se sentait pas à l’aise sur une chanson, elle allait à sa batterie et s’entrainait pendant des heures jusqu’à ce qu’elle y arrive et elle n’était pas contente tant qu’elle n’arrivait pas à avoir le bon son. On a pu voir son dévouement et l’énergie qu’elle a mit à faire cet album ce qui était vraiment inspirant. Son habilité, sa technique et musicalité sur la batterie mais aussi sur le clavier elle joue du piano, de l’orgue, sur l’album tout est d’elle. Elle nous a vraiment aidés et remonter le niveau du groupe.
Tu as une chanson préférée dans l’album ?
J’aime vraiment Art of War, la manière dont la chanson s’est créée, c’était donc à Michigan je voulais faire un break donc je me suis assis dans le canapé, j’ai pris ma guitare et je jouais cet accord que tu entends dans le début de la chanson et Hayley m’a demandé « mais qu’est-ce que tu es en train de jouer ? » et j’ai répondu je ne sais pas, c’est comme ça et elle m’a dit « continue ! » et elle a commencé à enregistrer et mettre des sons avec et c’est comme ça que la chanson est arrivée à nous. Les paroles sont arrivées très tard pour celle-ci, nous n’étions pas vraiment satisfaits de ce que nous avait proposé et un jour il est arrivé dans le studio et il a dit « hey j’ai cette idée pour la chanson et je veux vous la chanter » et il a commencé à chanter avec cette manière particulière et on s’est tous dit c’est exactement ce qu’il fallait ! Et pour cette raison c’est ma chanson préférée de l’album, pour la manière dont elle a été créée.
Y a-t-il des concerts de prévu en France cette année ?
Oui ! On vient juste de confirmer pour le DOWNLOAD Paris qui sera donc en Juin, on est vraiment très contents de revenir ! On essaye toujours de revenir en Europe, l’année dernière nous avons louper l’occasion alors cette année nous allons essayer de revenir après le Download autant qu’on le peut.
C’est la fin de l’interview... Je te laisse le mot de la fin !
Je voudrais dire simplement merci du soutien, je sais que nous ne sommes pas venus beaucoup ici en France mais j’espère que vous allez aimer notre nouvel album qui sort le 16 Février, nous avons hâte et nous allons revenir encore, encore plus !
Pour la première fois nous avons assez de temps pour enregistrer l’album, on a eu des longs moments de disponible entre les concerts et on s’est focalisés sur l’écriture pendant quelques semaines. Pour le précédent album on a eu de le faire sur la route mais cette fois on a eu assez de temps pour développer nos idées et montrer vraiment qui nous sommes musicalement et on s’est dit que c’était le bon moment pour mettre ce titre avec le nom du groupe. On est très fiers de cet album, c’est vraiment qui nous sommes, c’est notre musique, c’est nous, c’est Pop Evil.
Quel est donc votre but pour cet album ?
C’est de vraiment toucher le plus de personnes, qu’il y ai beaucoup de gens qui l’écoute et on va tourner sans arrêt sur les routes pour cet album et on aimerait qu’il y ai le plus de personnes possible pour montrer ce qu’on a fait et montrer qui nous sommes !
Parle moi de la pochette de l’album
Le lion c’est le signe qu’on a fait l’album ensemble, c’est un symbole fort, un symbole de courage, force, c’est vraiment nous qui nous assumons en tant que musiciens et groupe. Et pour nous le lion représente cela, c’est notre force, notre courage de nous lever et de dire « c’est nous et notre musique, peut importe si vous aimez ou pas c’est comme ça que nous sommes » c’est un peu l’histoire derrière le lion et tous les petits détails dans ce lion cela montre que même si c’est un lion en apparence il y a de nombreuses choses qui font qui nous sommes.
Ces détails représentent aussi certaines choses que vous avez dû affronter pour en arriver là aujourd’hui ?
Oui exactement.
Parlons des clips que vous avez sorti, Walking Lions and Colors bleed, comment est venu l’idée des scripts, qu’avez-vous voulu exprimer et montrer en particulier ?
Pour Walking Lions, c’est à propos de se montrer soi-même vraiment tel qu’on est, qu’on a tous au fond de nous un warrior et qu’il n’appartient qu’à nous de le reveiller et que si tu veux être une meilleure personne c’est à toi et toi seul de le faire et là tu deviens un lion et tu fais en sorte par toi-même d’obtenir ce que tu veux. C’est ce que veux exprimer le clip aussi, le petit garçon qui essaie de fuir quelque chose, à un moment il se retourne et finalement il devient vivant.
Pour Colors bleed que nous avons donc sorti il y a quelque jour c’est une chanson sur le social, qu’il faut se lever ensemble contre les injustices comme le racisme, le sexisme et toute ces choses négatives qu’on travers dans le monde d’aujourd’hui. Cette vidéo a été dirigée par la même personne que pour WL et c’était sa vision de la chanson et je trouve qu’elle a fait un très bon travail elle a vraiment montré ce que nous voulions vraiment exprimer dans cette chanson. Que nous ne sommes pas hommes et femmes totalement différents mais qu’on doit se sentir unis, se protéger, qu’on est un et qu’on partage la même force.
Au sujet d’album maintenant, il y a vraiment beaucoup de diversité dans les titres, chaque chanson a son propre style, son propre univers…
Si tu regardes le reste de notre catalogue, aucun album ne se ressemble vraiment. Et pour celui-ci on voulait vraiment montrer qu’on peut le faire avec notre style, on voulait faire des musiques différentes et aussi satisfaire nos fans et leur donner ce qu’ils voulaient vraiment de nous donc du heavy mais on est aussi capable de faire du style pop et on voulait aussi faire ça dans l’album. C’est vraiment la base du groupe, on peut faire de la pop et du evil et on voulait que ça transparaisse vraiment dans cet album.
Dans la chanson Nothing but thieves, il y a une intro assez particulière, comment vous est venu l’idée ?
Cette chanson c’est un virage dans l’album, c’est en fait une idée de Hayley notre nouvelle batteuse. Quand on était dans cette maison au Michigan pendant l’écriture de l’album, nous sommes tous rentrés pendant le weekend mais elle est restée et à notre retour elle nous a proposé cette mélodie qu’elle a créée quand elle était sur le porche de la maison, ça l’a inspiré. Et on a tous aimé et du coup on a voulu donner vie à cette chanson, c’est la chanson la plus longue de l’album d’ailleurs. La manière dont la chanson a pris vie c’est une histoire à elle-même. L’intro de la chanson, c’est l’atmosphère de la chanson, les émotions qu’elle contient, c’est une espèce de résumé, on l’a fait en dernier.
C’était d’ailleurs votre premier album avec Hayley, comment ça s’est passé ?
C’était fantastique, elle est arrivée et on ne savait pas vraiment ce qui allait se passer, nous n’avions jamais travailler avec elle sur un album et pendant le processus nous voulions voir ce qu’elle avait et en fait c’était incroyable, la manière dont elle a pris le contrôle de sa partie en tant que batteuse, le contrôle de son rôle. Quand elle ne se sentait pas à l’aise sur une chanson, elle allait à sa batterie et s’entrainait pendant des heures jusqu’à ce qu’elle y arrive et elle n’était pas contente tant qu’elle n’arrivait pas à avoir le bon son. On a pu voir son dévouement et l’énergie qu’elle a mit à faire cet album ce qui était vraiment inspirant. Son habilité, sa technique et musicalité sur la batterie mais aussi sur le clavier elle joue du piano, de l’orgue, sur l’album tout est d’elle. Elle nous a vraiment aidés et remonter le niveau du groupe.
Tu as une chanson préférée dans l’album ?
J’aime vraiment Art of War, la manière dont la chanson s’est créée, c’était donc à Michigan je voulais faire un break donc je me suis assis dans le canapé, j’ai pris ma guitare et je jouais cet accord que tu entends dans le début de la chanson et Hayley m’a demandé « mais qu’est-ce que tu es en train de jouer ? » et j’ai répondu je ne sais pas, c’est comme ça et elle m’a dit « continue ! » et elle a commencé à enregistrer et mettre des sons avec et c’est comme ça que la chanson est arrivée à nous. Les paroles sont arrivées très tard pour celle-ci, nous n’étions pas vraiment satisfaits de ce que nous avait proposé et un jour il est arrivé dans le studio et il a dit « hey j’ai cette idée pour la chanson et je veux vous la chanter » et il a commencé à chanter avec cette manière particulière et on s’est tous dit c’est exactement ce qu’il fallait ! Et pour cette raison c’est ma chanson préférée de l’album, pour la manière dont elle a été créée.
Y a-t-il des concerts de prévu en France cette année ?
Oui ! On vient juste de confirmer pour le DOWNLOAD Paris qui sera donc en Juin, on est vraiment très contents de revenir ! On essaye toujours de revenir en Europe, l’année dernière nous avons louper l’occasion alors cette année nous allons essayer de revenir après le Download autant qu’on le peut.
C’est la fin de l’interview... Je te laisse le mot de la fin !
Je voudrais dire simplement merci du soutien, je sais que nous ne sommes pas venus beaucoup ici en France mais j’espère que vous allez aimer notre nouvel album qui sort le 16 Février, nous avons hâte et nous allons revenir encore, encore plus !
Critique : Aurélie
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