Interview
PRAETOR (2023) - Alex (Batterie)
Formation franco-luxembourgeoise Praetor a vu le jour en 2019. Freiné dans son élan par le Covid le groupe sort aujourd’hui son premier album, un disque de thrash de haute volée. Entretien avec Alex, batteur du groupe.
« Praetor sonne 100% thrash. »
« C’est ce qui nous plait le plus dans la musique. C’est un genre que l’on adore. On voulait faire des morceaux courts pour être le plus audible possible. On est tous fans dans le groupe de Metallica, de Testament, de Slayer. Ce sont les groupes qui nous ont fait vibrer. Ces formations ont changé ma vie. Nous jouons un thrash old-school mais avec un son plus moderne. On refait du neuf avec du vieux. On ne va pas révolutionner le style. On est là pour se faire plaisir. »
« Le thrash est un genre un peu passé de mode dans le metal. Pourquoi selon toi ? »
« Il y en a moins c’est vrai. Il y a des styles plus techniques désormais. Nous aimons la violence du thrash. « Arise » de Sepultura est un disque hyper violent. Nous cherchons cette agressivité plus que la technique. »
« Vous n’écoutez que du thrash ? »
« Non. Nous écoutons tous du thrash américain, du thrash allemand mais nous aimons aussi Black Sabbath, Ozzy ou Trivium. Je suis aussi ultra fan de Pantera. Je m’intéresse également à la scène underground française et pas seulement à la scène thrash.
« Le clip de « Dormant Brain » parle du réchauffement climatique ? »
« Pas seulement. Il montre les différents maux de la société actuelle. C’est plus global. L’idée du clip vient du réalisateur. Nous lui avons donné les clés. »
« En dehors de Praetor vous êtes dans différents tribute-bands. Est-ce que ceux-ci continuent ? »
« Ils continuent partiellement. Le tribute Sepultura s’est arrêté. Les tribute Megadeth, Metallica, eux, continuent. Praetor est devenu la priorité mais tout va cohabiter. »
« Vous venez de signer chez Metal East. Parce que vous êtes un groupe de l’Est ? »
« Oui et non. Metal East produit des groupes qui ne sont pas forcément de l’Est. On connait Laurent du label qui est aussi le chanteur et guitariste de Defficiency parce qu’il joue avec certains d’entre nous dans le tribute Metallica. On se connait depuis très longtemps. »
« Le groupe a été formé il y a assez peu de temps (ndlr en 2019) et on parle déjà beaucoup de vous. »
« Peut-être parce que nous avons un certain niveau. Et puis nous organisons des concerts. Avec le temps nous avons réussi à constituer un bon réseau. »
« Vous avez donné votre premier concert récemment. »
« Oui le 24 Février dernier. Nous devions donner notre premier concert en 2020 mais malheureusement le confinement est arrivé. De ce fait l’album a été retardé. »
« Que représente la pochette du disque ? »
« Une âme aspirée par un téléphone. Le visage que tu vois au milieu est rattaché au téléphone. On veut montrer à travers cela les addictions au téléphone et aux écrans. Nous sommes un groupe sérieux et engagé. L’idée est de faire passer des messages. »
« Vous allez donner des concerts bientôt ? »
« Oui on va faire un max de concerts. On a déjà des dates prévues au Portugal, en Belgique et en Allemagne. On va notamment faire un gros festival au Portugal et également un festival en République Tchèque. »
« Praetor sonne 100% thrash. »
« C’est ce qui nous plait le plus dans la musique. C’est un genre que l’on adore. On voulait faire des morceaux courts pour être le plus audible possible. On est tous fans dans le groupe de Metallica, de Testament, de Slayer. Ce sont les groupes qui nous ont fait vibrer. Ces formations ont changé ma vie. Nous jouons un thrash old-school mais avec un son plus moderne. On refait du neuf avec du vieux. On ne va pas révolutionner le style. On est là pour se faire plaisir. »
« Le thrash est un genre un peu passé de mode dans le metal. Pourquoi selon toi ? »
« Il y en a moins c’est vrai. Il y a des styles plus techniques désormais. Nous aimons la violence du thrash. « Arise » de Sepultura est un disque hyper violent. Nous cherchons cette agressivité plus que la technique. »
« Vous n’écoutez que du thrash ? »
« Non. Nous écoutons tous du thrash américain, du thrash allemand mais nous aimons aussi Black Sabbath, Ozzy ou Trivium. Je suis aussi ultra fan de Pantera. Je m’intéresse également à la scène underground française et pas seulement à la scène thrash.
« Le clip de « Dormant Brain » parle du réchauffement climatique ? »
« Pas seulement. Il montre les différents maux de la société actuelle. C’est plus global. L’idée du clip vient du réalisateur. Nous lui avons donné les clés. »
« En dehors de Praetor vous êtes dans différents tribute-bands. Est-ce que ceux-ci continuent ? »
« Ils continuent partiellement. Le tribute Sepultura s’est arrêté. Les tribute Megadeth, Metallica, eux, continuent. Praetor est devenu la priorité mais tout va cohabiter. »
« Vous venez de signer chez Metal East. Parce que vous êtes un groupe de l’Est ? »
« Oui et non. Metal East produit des groupes qui ne sont pas forcément de l’Est. On connait Laurent du label qui est aussi le chanteur et guitariste de Defficiency parce qu’il joue avec certains d’entre nous dans le tribute Metallica. On se connait depuis très longtemps. »
« Le groupe a été formé il y a assez peu de temps (ndlr en 2019) et on parle déjà beaucoup de vous. »
« Peut-être parce que nous avons un certain niveau. Et puis nous organisons des concerts. Avec le temps nous avons réussi à constituer un bon réseau. »
« Vous avez donné votre premier concert récemment. »
« Oui le 24 Février dernier. Nous devions donner notre premier concert en 2020 mais malheureusement le confinement est arrivé. De ce fait l’album a été retardé. »
« Que représente la pochette du disque ? »
« Une âme aspirée par un téléphone. Le visage que tu vois au milieu est rattaché au téléphone. On veut montrer à travers cela les addictions au téléphone et aux écrans. Nous sommes un groupe sérieux et engagé. L’idée est de faire passer des messages. »
« Vous allez donner des concerts bientôt ? »
« Oui on va faire un max de concerts. On a déjà des dates prévues au Portugal, en Belgique et en Allemagne. On va notamment faire un gros festival au Portugal et également un festival en République Tchèque. »
Critique : Pierre Arnaud
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