Interview
PARALLYX (2024) - Groupe
Groupe de metal moderne Parallyx nous offre avec « The Cult » un excellent premier album. On s’est entretenu avec ce groupe prometteur.
« Le groupe a été fondé en 2023 et vous sortez déjà un album. C’est allé vite. »
« On a fait les choses avec un planning en tête. Tout était programmé. L’idée était de sortir l’album en septembre ou octobre. On a fait une résidence en mars dernier pour avoir une idée claire de comment les compos seraient sur le disque. »
« L’album est une auto-production ? »
« Oui. Pour un premier album il est difficile de le sortir autrement qu’en auto-prod. Les labels ne font plus de groupes en développement aujourd’hui. »
« Musicalement vous sonnez entre metal moderne et djent. »
« Pour nous, nous faisons du metal moderne même si ce style est très large. »
« Vous ne vous refusez rien : il y a pas mal de synthés sur le disque. »
« Nous faisons du metal atmosphérique, aérien et les synthés fonctionnent bien pour ça. »
« Vous avez même un son parfois un peu grandiloquent qui peut faire sympho. »
« Cela peut faire penser au sympho, c’est vrai, mais nous ne sommes clairement pas un groupe sympho. »
« Il y a aussi des influences arabiques. »
« Oui mais nous ne voulions pas en mettre trop. Il n’y a que la chanteuse qui a cette culture parce qu’elle est marocaine. Cela aurait été ridicule d’en mettre beaucoup car les autres membres du groupe ne sont pas issus de cette culture. »
« Le disque n’est pas que metal, il y aussi des sonorités hip/hop sur certains morceaux. »
« Nous écoutons plein de styles musicaux. Le metal moderne prend plein de choses au hip/hop et au rap pas seulement musicalement mais aussi visuellement. »
« Il y a un côté hyper catchy dans les refrains, je trouve. »
« Nous aimons la pop. Les metalleux aiment les mélodies. »
« On sent que vous aimez vraiment cela la mélodie »
« Oui nous aimons cela. On se retrouve tous sur les refrains. Nous aimons les choses arrangées ce qui donne ce côté léché. »
« Et en même temps votre musique peut être agressive. »
« On ne s’interdit rien. Cela reste quand même du metal. On aime à la fois les mélodies mais aussi quand ça cogne très fort. »
« Il y a à la fois du growl et du chant clair. Quand choisissez-vous d’évoluer dans tel ou tel style vocal ? »
« On le fait selon l’énergie du morceau. On pourra faire des morceaux complets en scream ou complet en chant clair dans le futur. »
« Votre premier single “Vices of Men” a été mixé par Daniel Haniss d’Electric Call Boy. Comment cela s’est-il passé ?”
« Nous étions en contact avec lui. Nous avions des amis en commun. Il a aimé les compos et a dit OK. Son groupe a cartonné et il n’avait plus le temps. Du coup Anthony Chognard a mixé l’album. »
« Vos deux premiers clips ont eu pas mal de vues. Cela vous a surpris ? »
« Oui, un peu. Les clips sont importants. Cela coûte cher mais ça fait partie des choses que l’on se doit de faire. Cela donne de l’importance à chaque morceau. »
« Il y a eu un changement de line-up. Est-ce que cela a fait changer le style du groupe ? »
« Oui. La manière de composer a changé. »
« Que nous préparez-vous pour la suite ? »
« On va faire une résidence en Octobre prochain pour commencer à travailler sur des titres pour le prochain album. »
« Vous avez déjà donné des concerts ? »
« Nous avons joué au Furious Fest cet été dans le Cantal. Cela a été un super moment. Nous avons joué également à Paris, à Troyes, à la Rochelle. Nous avions ouvert le festival au Furious Fest. Nous sommes restés en contact avec les gens de l’orga. »
« Il y aura une release de l’album ? »
« Oui le 8 Novembre à Antony. »
« Le groupe a l’air ambitieux. »
« On a bien réfléchi le projet. On le gère comme un projet d’entreprise. On travaille dur pour que ça réussisse. »
« Le groupe a été fondé en 2023 et vous sortez déjà un album. C’est allé vite. »
« On a fait les choses avec un planning en tête. Tout était programmé. L’idée était de sortir l’album en septembre ou octobre. On a fait une résidence en mars dernier pour avoir une idée claire de comment les compos seraient sur le disque. »
« L’album est une auto-production ? »
« Oui. Pour un premier album il est difficile de le sortir autrement qu’en auto-prod. Les labels ne font plus de groupes en développement aujourd’hui. »
« Musicalement vous sonnez entre metal moderne et djent. »
« Pour nous, nous faisons du metal moderne même si ce style est très large. »
« Vous ne vous refusez rien : il y a pas mal de synthés sur le disque. »
« Nous faisons du metal atmosphérique, aérien et les synthés fonctionnent bien pour ça. »
« Vous avez même un son parfois un peu grandiloquent qui peut faire sympho. »
« Cela peut faire penser au sympho, c’est vrai, mais nous ne sommes clairement pas un groupe sympho. »
« Il y a aussi des influences arabiques. »
« Oui mais nous ne voulions pas en mettre trop. Il n’y a que la chanteuse qui a cette culture parce qu’elle est marocaine. Cela aurait été ridicule d’en mettre beaucoup car les autres membres du groupe ne sont pas issus de cette culture. »
« Le disque n’est pas que metal, il y aussi des sonorités hip/hop sur certains morceaux. »
« Nous écoutons plein de styles musicaux. Le metal moderne prend plein de choses au hip/hop et au rap pas seulement musicalement mais aussi visuellement. »
« Il y a un côté hyper catchy dans les refrains, je trouve. »
« Nous aimons la pop. Les metalleux aiment les mélodies. »
« On sent que vous aimez vraiment cela la mélodie »
« Oui nous aimons cela. On se retrouve tous sur les refrains. Nous aimons les choses arrangées ce qui donne ce côté léché. »
« Et en même temps votre musique peut être agressive. »
« On ne s’interdit rien. Cela reste quand même du metal. On aime à la fois les mélodies mais aussi quand ça cogne très fort. »
« Il y a à la fois du growl et du chant clair. Quand choisissez-vous d’évoluer dans tel ou tel style vocal ? »
« On le fait selon l’énergie du morceau. On pourra faire des morceaux complets en scream ou complet en chant clair dans le futur. »
« Votre premier single “Vices of Men” a été mixé par Daniel Haniss d’Electric Call Boy. Comment cela s’est-il passé ?”
« Nous étions en contact avec lui. Nous avions des amis en commun. Il a aimé les compos et a dit OK. Son groupe a cartonné et il n’avait plus le temps. Du coup Anthony Chognard a mixé l’album. »
« Vos deux premiers clips ont eu pas mal de vues. Cela vous a surpris ? »
« Oui, un peu. Les clips sont importants. Cela coûte cher mais ça fait partie des choses que l’on se doit de faire. Cela donne de l’importance à chaque morceau. »
« Il y a eu un changement de line-up. Est-ce que cela a fait changer le style du groupe ? »
« Oui. La manière de composer a changé. »
« Que nous préparez-vous pour la suite ? »
« On va faire une résidence en Octobre prochain pour commencer à travailler sur des titres pour le prochain album. »
« Vous avez déjà donné des concerts ? »
« Nous avons joué au Furious Fest cet été dans le Cantal. Cela a été un super moment. Nous avons joué également à Paris, à Troyes, à la Rochelle. Nous avions ouvert le festival au Furious Fest. Nous sommes restés en contact avec les gens de l’orga. »
« Il y aura une release de l’album ? »
« Oui le 8 Novembre à Antony. »
« Le groupe a l’air ambitieux. »
« On a bien réfléchi le projet. On le gère comme un projet d’entreprise. On travaille dur pour que ça réussisse. »
Critique : Pierre Arnaud
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