Live Report
GAMMA RAY - FREEDOM CALL - SECRET SPHERE - Trabendo Paris - 10/02/2010
GAMMA RAY + FREEDOM CALL + SECRET SPHERE
Trabendo (Paris) – 10/02/2010
C’est dans un froid polaire que le Trabendo nous ouvre ses portes, très en retard, pour nous proposer une affiche heavy-happy-speed metal de haute volée.
En effet, les Italiens de Secret Sphere ont la joie d’ouvrir pour deux fleurons du metal teuton, à savoir Freedom Call et Gamma Ray.
Le seul point positif de cette ouverture tardive aura été de permettre aux Italiens de jouer devant une foule très compacte, voire à guichets fermés. Chose assez rare pour une première partie qui mérite d’être mentionnée. En effet, le public aura répondu présent d’un point de vue numérique, mais aura également été très communicatif.
Après un changement line-up qui aura vu Antonio Agate (claviers) être remplacé par Gabriele Ciaccia et Paolo Gianotti (guitares) par Marco Pastorino, une autre déconvenue viendra perturber Secret Sphere, à savoir l’annulation de Ramon Messina (chant) victime d’une infection vocale. Plutôt que d’annuler leur show, le groupe a décidé, à juste titre, de remplacer leur chanteur par leur compatriote Alessandro Conti (Trick or Treat). Pour couronner le tout, Andy Buratto (basse) a été également remplacé à la dernière minute.
Si vous avez bien suivi, du groupe originel seul Aldo Lonobile (guitares) est présent ce soir, accompagné par Federico Pennazzato (batterie).
Peu importe, le groupe jouera sans complexes et arrivera à rattacher le public à sa cause. La setlist y fait énormément, car les Italiens ont puisé leurs meilleurs hits, ou en tout cas, les plus efficaces sur scène. Dommage que le groupe fut autant disloqué pour leur unique date française.
Setlist Secret Sphere :
· Evil or divine (Sweet Blood Theory)
· Stranger in black (Sweet Blood Theory)
· Loud and raw (Heart And Anger)
· Welcome to the circus (Sweet Blood Theory)
· Bring on (Sweet Blood Theory)
· Dance with the devil (Heart And Anger)
Un public chaud et déjà acquis à la cause des Warriors of Light attend les membres de Freedom Call avec envie.
Il faut dire que les Allemands jouissent d’une sympathie communicative, que ce soit sur scène ou tout simplement grâce à leurs morceaux enjoués, on ne les étiquette pas de jouer du « happy metal » pour rien !
Ce soir, le groupe assurera comme à chaque fois et embarquera le public avec lui. Sauts, chants à l’unisson se succèdent gaiement ; il faut dire qu’avec leur dernier album en date, le très bon Legend Of The Shadowking, il était facile de prévoir qu’il cartonnerait en live.
Chris Bay semble d’ailleurs ravi de voir un public aussi réactif, ce qui nous fera souvenir qu’en 2007 le combo avait même réussi à voler la vedette à Nightmare à Marseille.
Setlist Freedom Call :
· We are one (Stairway To Fairyland)
· United alliance (Dimensions)
· Thunder God (Legend Of The Shadowking)
· Tears of Babylon (Legend Of The Shadowking)
· Merlin – legend of the past (Legend Of The Shadowking)
· The eternal flame (The Circle Of Life)
· Warriors (Eternity)
· Land of light (Eternity)
· Freedom Call (Crystal Empire)
Attendu d’oreilles fermes, les gars de Gamma Ray déboulent sur scène, prêts à en découdre avec une foule impatiente. Oreilles oui, car leur tournée de 2008 en co-headlining avec Helloween n’aura pas été exceptionnelle vocalement parlant pour Mister Kai Hansen. Mais ce soir, heureusement pour nous, il en sera autrement. Aidé par un son plutôt bon, Kai aura assuré tout du long, aidé par un public reprenant à l’unisson certains hymnes du groupe, tels que « Gardens of the sinner », « Fight » ou « Send me a sign ». Un concert sans faille à l’exception d’une setlist qui ne fera pas l’unanimité.
En effet, on peut se plaindre de l’absence de morceaux de Somewhere Out In Space, de la présence de morceaux facultatifs (« No need to cry », « To the metal » ou « New world order »), qu’il n’y ait qu’un seul rappel et aucune reprise d’Helloween ; pendant que d’autres seront ravis de la présence de « Abyss of the void » (inédit en France, il me semble), « Armageddon », de l’enchaînement « Rebellion in dreamland / Man on a mission » et de l’absence de reprises d’Helloween. Car, en effet, il serait peut-être temps aux Rays de se démarquer de leurs compatriotes citrouilleux (oui, je sais ceci est un néologisme).
Au final, l’affiche aura tenu ses promesses, avec des groupes aussi heureux d’être là que leurs fans.
Setlist Gamma Ray :
· Welcome (Heading For Tomorrow)
· Gardens of the sinner (Powerplant)
· Empathy (To The Metal)
· Deadlands (To The Metal)
· Fight (Majestic)
· Mother angel (To The Metal)
· The savior / Abyss of the void (Land Of The Free)
· Drum solo
· Armageddon (Powerplant)
· To the metal (To The Metal)
· No need to cry (To The Metal)
· Rebellion in dreamland (Land Of The Free)
· Man on a mission (Land Of The Free)
Rappel
· New world order (No World Order)
· Send me sign (Powerplant)
Trabendo (Paris) – 10/02/2010
C’est dans un froid polaire que le Trabendo nous ouvre ses portes, très en retard, pour nous proposer une affiche heavy-happy-speed metal de haute volée.
En effet, les Italiens de Secret Sphere ont la joie d’ouvrir pour deux fleurons du metal teuton, à savoir Freedom Call et Gamma Ray.
Le seul point positif de cette ouverture tardive aura été de permettre aux Italiens de jouer devant une foule très compacte, voire à guichets fermés. Chose assez rare pour une première partie qui mérite d’être mentionnée. En effet, le public aura répondu présent d’un point de vue numérique, mais aura également été très communicatif.
Après un changement line-up qui aura vu Antonio Agate (claviers) être remplacé par Gabriele Ciaccia et Paolo Gianotti (guitares) par Marco Pastorino, une autre déconvenue viendra perturber Secret Sphere, à savoir l’annulation de Ramon Messina (chant) victime d’une infection vocale. Plutôt que d’annuler leur show, le groupe a décidé, à juste titre, de remplacer leur chanteur par leur compatriote Alessandro Conti (Trick or Treat). Pour couronner le tout, Andy Buratto (basse) a été également remplacé à la dernière minute.
Si vous avez bien suivi, du groupe originel seul Aldo Lonobile (guitares) est présent ce soir, accompagné par Federico Pennazzato (batterie).
Peu importe, le groupe jouera sans complexes et arrivera à rattacher le public à sa cause. La setlist y fait énormément, car les Italiens ont puisé leurs meilleurs hits, ou en tout cas, les plus efficaces sur scène. Dommage que le groupe fut autant disloqué pour leur unique date française.
Setlist Secret Sphere :
· Evil or divine (Sweet Blood Theory)
· Stranger in black (Sweet Blood Theory)
· Loud and raw (Heart And Anger)
· Welcome to the circus (Sweet Blood Theory)
· Bring on (Sweet Blood Theory)
· Dance with the devil (Heart And Anger)
Un public chaud et déjà acquis à la cause des Warriors of Light attend les membres de Freedom Call avec envie.
Il faut dire que les Allemands jouissent d’une sympathie communicative, que ce soit sur scène ou tout simplement grâce à leurs morceaux enjoués, on ne les étiquette pas de jouer du « happy metal » pour rien !
Ce soir, le groupe assurera comme à chaque fois et embarquera le public avec lui. Sauts, chants à l’unisson se succèdent gaiement ; il faut dire qu’avec leur dernier album en date, le très bon Legend Of The Shadowking, il était facile de prévoir qu’il cartonnerait en live.
Chris Bay semble d’ailleurs ravi de voir un public aussi réactif, ce qui nous fera souvenir qu’en 2007 le combo avait même réussi à voler la vedette à Nightmare à Marseille.
Setlist Freedom Call :
· We are one (Stairway To Fairyland)
· United alliance (Dimensions)
· Thunder God (Legend Of The Shadowking)
· Tears of Babylon (Legend Of The Shadowking)
· Merlin – legend of the past (Legend Of The Shadowking)
· The eternal flame (The Circle Of Life)
· Warriors (Eternity)
· Land of light (Eternity)
· Freedom Call (Crystal Empire)
Attendu d’oreilles fermes, les gars de Gamma Ray déboulent sur scène, prêts à en découdre avec une foule impatiente. Oreilles oui, car leur tournée de 2008 en co-headlining avec Helloween n’aura pas été exceptionnelle vocalement parlant pour Mister Kai Hansen. Mais ce soir, heureusement pour nous, il en sera autrement. Aidé par un son plutôt bon, Kai aura assuré tout du long, aidé par un public reprenant à l’unisson certains hymnes du groupe, tels que « Gardens of the sinner », « Fight » ou « Send me a sign ». Un concert sans faille à l’exception d’une setlist qui ne fera pas l’unanimité.
En effet, on peut se plaindre de l’absence de morceaux de Somewhere Out In Space, de la présence de morceaux facultatifs (« No need to cry », « To the metal » ou « New world order »), qu’il n’y ait qu’un seul rappel et aucune reprise d’Helloween ; pendant que d’autres seront ravis de la présence de « Abyss of the void » (inédit en France, il me semble), « Armageddon », de l’enchaînement « Rebellion in dreamland / Man on a mission » et de l’absence de reprises d’Helloween. Car, en effet, il serait peut-être temps aux Rays de se démarquer de leurs compatriotes citrouilleux (oui, je sais ceci est un néologisme).
Au final, l’affiche aura tenu ses promesses, avec des groupes aussi heureux d’être là que leurs fans.
Setlist Gamma Ray :
· Welcome (Heading For Tomorrow)
· Gardens of the sinner (Powerplant)
· Empathy (To The Metal)
· Deadlands (To The Metal)
· Fight (Majestic)
· Mother angel (To The Metal)
· The savior / Abyss of the void (Land Of The Free)
· Drum solo
· Armageddon (Powerplant)
· To the metal (To The Metal)
· No need to cry (To The Metal)
· Rebellion in dreamland (Land Of The Free)
· Man on a mission (Land Of The Free)
Rappel
· New world order (No World Order)
· Send me sign (Powerplant)
Critique : Secret Sfred
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