Live Report
HellFest 2012 - 15-16-17 juin - PART ONE (14.06.12)
4 années et toujours la même excitation dés lors la préparation des affaires de bivouac, lustrage des t-shirts bardés de logo de Métal, et petites affaires de premier secours en tout genre et tout ceci dans un souci de gain de place afin de passer l’épreuve de contrôle aux bagages avec le plus de succès et de classe possible.
4 années et toujours cette oppression de la page blanche, espérant vous décrire au mieux cette expérience musico-ludique si chère à mon cœur. Si chère à mon cœur, car unique et toujours aussi intensive en découvertes, réalisations de rêves, déceptions et « beuveries » avec une population toujours aussi sympathiques et fraternelles.
L’excitation fut d’autant plus grande car cette année 2012 marque réellement LE changement, deuxième virage à 90° après le passage du FURYFEST à la grande institution HELLFEST. Cette année devrait être la concrétisation de beaucoup de points vendus par Ben Barbaud comme la spécialisation scéniques et l’ajout de 2 nouvelles scènes.
Pour ceux habitants toujours dans leur grottes troglodytes, rappelons–ce le que cette année, c’est 2 grandes scènes généralistes, 1 double chapiteau accueillant les scènes Death et Black, la tente Stoner (chère à mon cœur) et la tente Hardcore. Aussi le déplacement du camping festivalier pouvant accueillir des 110 000 personnes espérées pour cette édition 2012.
Voulant vivre pleinement le festival comme toutes ces années passées, votre serviteur pris l’avion ce jeudi 14 juin au petit matin pour fouler les nouvelles terres Clissonnaises fraîchement damées (et non pas Damnées comme pourrait ricaner certains de nos détracteurs…) et une fois la tente plantée et notre territoire marqué (cette année nous avons même eu la chance de profiter d’une tonnelle nous protégeant du soleil de Loire Atlantique si discret cette année), et une fois les sempiternelles courses « liquides » effectuées nous pûmes remarquer les premiers changements comme la disparition de la rangée infâmes de toilettes, véritables concentrées de bactéries et odeurs aux fragrances si particulières …. Pour laisser place à des tours placées à différents carrefour du camping, éclairés s’il vous plait, ne concentrant qu’une quantité raisonnable de ces cabanes aux fonctions si laxatives. Tours, qui permirent aussi de se repérer très facilement dans cet énorme camping première main.
Passons la partie sanitaire, pour rentrer dans le vil du sujet avec un Metal Corner toujours présent et quelques peu excentré permettant aux festivaliers voulant dormir tranquille, de profiter de calmes moments. Une grande tente, avec tables et bancs fut aussi tout a fait appréciés tant les places assises sont une denrées rares de part chez nous. Nonobstant, premier gros bémol, UNE SEULE baraque à manger ouverte pour ce soir ne suffit à étancher la faim de (déjà) nombreux festivaliers. Pour les plus patients, une queue interminable fut le calvaire pour grignoter un steak frite, pour les autres (nous) ce fut « Diét » et Jagermei…..
Bref la soirée se termina dans un élan héroïque liant Alcool et musique mixé par Spideric au sein du Metal Corner, toujours dans une ambiance aussi fraternelle que bienveillante. L’heure du dodo sonna car demain, rude, la journée sera …
A suivre
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4 années et toujours cette oppression de la page blanche, espérant vous décrire au mieux cette expérience musico-ludique si chère à mon cœur. Si chère à mon cœur, car unique et toujours aussi intensive en découvertes, réalisations de rêves, déceptions et « beuveries » avec une population toujours aussi sympathiques et fraternelles.
L’excitation fut d’autant plus grande car cette année 2012 marque réellement LE changement, deuxième virage à 90° après le passage du FURYFEST à la grande institution HELLFEST. Cette année devrait être la concrétisation de beaucoup de points vendus par Ben Barbaud comme la spécialisation scéniques et l’ajout de 2 nouvelles scènes.
Pour ceux habitants toujours dans leur grottes troglodytes, rappelons–ce le que cette année, c’est 2 grandes scènes généralistes, 1 double chapiteau accueillant les scènes Death et Black, la tente Stoner (chère à mon cœur) et la tente Hardcore. Aussi le déplacement du camping festivalier pouvant accueillir des 110 000 personnes espérées pour cette édition 2012.
Voulant vivre pleinement le festival comme toutes ces années passées, votre serviteur pris l’avion ce jeudi 14 juin au petit matin pour fouler les nouvelles terres Clissonnaises fraîchement damées (et non pas Damnées comme pourrait ricaner certains de nos détracteurs…) et une fois la tente plantée et notre territoire marqué (cette année nous avons même eu la chance de profiter d’une tonnelle nous protégeant du soleil de Loire Atlantique si discret cette année), et une fois les sempiternelles courses « liquides » effectuées nous pûmes remarquer les premiers changements comme la disparition de la rangée infâmes de toilettes, véritables concentrées de bactéries et odeurs aux fragrances si particulières …. Pour laisser place à des tours placées à différents carrefour du camping, éclairés s’il vous plait, ne concentrant qu’une quantité raisonnable de ces cabanes aux fonctions si laxatives. Tours, qui permirent aussi de se repérer très facilement dans cet énorme camping première main.
Passons la partie sanitaire, pour rentrer dans le vil du sujet avec un Metal Corner toujours présent et quelques peu excentré permettant aux festivaliers voulant dormir tranquille, de profiter de calmes moments. Une grande tente, avec tables et bancs fut aussi tout a fait appréciés tant les places assises sont une denrées rares de part chez nous. Nonobstant, premier gros bémol, UNE SEULE baraque à manger ouverte pour ce soir ne suffit à étancher la faim de (déjà) nombreux festivaliers. Pour les plus patients, une queue interminable fut le calvaire pour grignoter un steak frite, pour les autres (nous) ce fut « Diét » et Jagermei…..
Bref la soirée se termina dans un élan héroïque liant Alcool et musique mixé par Spideric au sein du Metal Corner, toujours dans une ambiance aussi fraternelle que bienveillante. L’heure du dodo sonna car demain, rude, la journée sera …
A suivre
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Critique : Bierrr
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