Live Report
HELLFEST - Backstage 15-06-12 - 17/7/2012
Bref c’était un vendredi matin. Mon téléphone dit « Dring », j’ai compris « Debout ducon » après 2h de sommeil. Bref ça allait être une longue journée.
Petit tour au catering pour le litron de café, assaisonné d’un autre litron de Redbull (un des sponsors) avec quelques croissants.
Ce matin, tel un zombie mal réveillé je traine la patte jusqu’à l’accueil VIP. J’enfile mon tailleur, me fait un chignon et fait la secrétaire. Autant dire à ceux qui veulent essayer, qu’on n’entre pas à l’espace VIP si facilement. Le gros du boulot consiste à checker les listes de guest et à donner les pass et accès ECRIS sur le papier. Si y’a soucis on passe de coup de fil en coup de fil parce que Môssieur ou Môdame a un pass VIP et pas d’accès photo. Alors ça va pour 10 personnes mais quand on sait que la liste fait plus de 3000 personnes on se dit que ça va être long…
Bref après cette expérience enrichissante, je me dirige au cœur de mon activité : L’espace presse (Après avoir cassé la graine ET un verre de rosé plus que fort appréciable !)
Rencontre avec mon autre boss, Olivier, et c’est tout. Autant dire que je suis le chef en second ! Roger et Olivier gère l’orga générale et les gros trucs, tout le reste c’est pour moi. Non non j’ai pô peur ! Je me dit « Allez Nico !! Tu peux pas le faire mais fais le !! ».
Pour infos, l’espace presse est collé au Backstage et également collé aux Main Stages.
Dans cet espace je suis multipass : Je suis responsable de la salle de conférence. Donc je vérifie le câblage, le son. Je dicte les conduites aux journalistes si il y en a, je prend leur réservation pour les conférences en questions, et bien sur je gère le planning des interviews avec les box prévus à cet effet. On dirait un peu un cabinet médical : « Bonjour j’ai une interview avec machin ». Je réponds «Vous avez rendez vous ? ». En général ça se passe bien, mais on est sans cesse sollicité, et aussi bien en français qu’en anglais ou espagnol.
Je croise Mandy Meyers de façon fortuite, ce qui me rappelle que le groupe UNISONIC joue bientôt.
Je prend encore deux ou trois réservations pour les conférences de LYNYRD SKYNYRD et MEGADETH d’avant d’aller voir un peu les très bon UNISONIC dans le pit photo.
Après une conférence de presse je file à la séance dédicace d’UNISONIC pendant que GOTTHARD nous sort un show implacable.
Je fais un crochet à l’espace presse, je taille un peu le bout de gras avec un Mathieu, de GOROD, Fred de DRAGONFORCE et les gars de CANNIBAL CORPSE avant d’aller à la dédicace d’AMON AMARTH.
On approche 21h30, les conférences sont passées. La proximité des Main Stages pose un gros problème acoustique, mais on doit faire avec. Après avoir mangé un truc, je vais boire une bière devant LYNYRD SKYNYRD, MEGADETH, et vais faire un tour au pit photo au Temple où se produit AMON AMARTH.
Dernier show du jour, pas trop mon truc : KING DIAMOND. Je dis Monsieur. Tout dans la grandeur, mais la pluie, de plus en plus menaçante, me force à rentrer boire une autre bière. Il est 01h, je passe encore 2h d’aspirateur (5h au total), pour que nous chers journalistes soient bien accueillis. Il est temps d’essayer de fermer les yeux, la nuit va être courte.
Petit tour au catering pour le litron de café, assaisonné d’un autre litron de Redbull (un des sponsors) avec quelques croissants.
Ce matin, tel un zombie mal réveillé je traine la patte jusqu’à l’accueil VIP. J’enfile mon tailleur, me fait un chignon et fait la secrétaire. Autant dire à ceux qui veulent essayer, qu’on n’entre pas à l’espace VIP si facilement. Le gros du boulot consiste à checker les listes de guest et à donner les pass et accès ECRIS sur le papier. Si y’a soucis on passe de coup de fil en coup de fil parce que Môssieur ou Môdame a un pass VIP et pas d’accès photo. Alors ça va pour 10 personnes mais quand on sait que la liste fait plus de 3000 personnes on se dit que ça va être long…
Bref après cette expérience enrichissante, je me dirige au cœur de mon activité : L’espace presse (Après avoir cassé la graine ET un verre de rosé plus que fort appréciable !)
Rencontre avec mon autre boss, Olivier, et c’est tout. Autant dire que je suis le chef en second ! Roger et Olivier gère l’orga générale et les gros trucs, tout le reste c’est pour moi. Non non j’ai pô peur ! Je me dit « Allez Nico !! Tu peux pas le faire mais fais le !! ».
Pour infos, l’espace presse est collé au Backstage et également collé aux Main Stages.
Dans cet espace je suis multipass : Je suis responsable de la salle de conférence. Donc je vérifie le câblage, le son. Je dicte les conduites aux journalistes si il y en a, je prend leur réservation pour les conférences en questions, et bien sur je gère le planning des interviews avec les box prévus à cet effet. On dirait un peu un cabinet médical : « Bonjour j’ai une interview avec machin ». Je réponds «Vous avez rendez vous ? ». En général ça se passe bien, mais on est sans cesse sollicité, et aussi bien en français qu’en anglais ou espagnol.
Je croise Mandy Meyers de façon fortuite, ce qui me rappelle que le groupe UNISONIC joue bientôt.
Je prend encore deux ou trois réservations pour les conférences de LYNYRD SKYNYRD et MEGADETH d’avant d’aller voir un peu les très bon UNISONIC dans le pit photo.
Après une conférence de presse je file à la séance dédicace d’UNISONIC pendant que GOTTHARD nous sort un show implacable.
Je fais un crochet à l’espace presse, je taille un peu le bout de gras avec un Mathieu, de GOROD, Fred de DRAGONFORCE et les gars de CANNIBAL CORPSE avant d’aller à la dédicace d’AMON AMARTH.
On approche 21h30, les conférences sont passées. La proximité des Main Stages pose un gros problème acoustique, mais on doit faire avec. Après avoir mangé un truc, je vais boire une bière devant LYNYRD SKYNYRD, MEGADETH, et vais faire un tour au pit photo au Temple où se produit AMON AMARTH.
Dernier show du jour, pas trop mon truc : KING DIAMOND. Je dis Monsieur. Tout dans la grandeur, mais la pluie, de plus en plus menaçante, me force à rentrer boire une autre bière. Il est 01h, je passe encore 2h d’aspirateur (5h au total), pour que nous chers journalistes soient bien accueillis. Il est temps d’essayer de fermer les yeux, la nuit va être courte.
Critique : SBM
Date : 17/7/2012
Date : 17/7/2012
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