Live Report
THERION - ELYOSE - ANTALGIA - Le Bikini - Toulouse - 09/10/2012
Voilà deux ans que nos chers suédois n’étaient pas venu visiter nos chers compatriotes. Et je tiens à préciser que cette tournée met la France à l’honneur car le groupe est là pour défendre ses « Fleurs du Mal ». (Dont la chronique est disponible sur le site).
Outre cela, cette tournée a des airs d’ « adieu », étant donné que le groupe se retire des projecteurs pour se consacrer à un grand projet, un « vrai » rock-métal opéra. Christofer devrait me livrer plus d’informations dans une interview à venir.
Bref, ce concert à des airs de messe pour les élus. Mais avant ça voici les espagnols d’ANTALGIA, groupe de métal à chanteuse qui délivre des compos assez aboutis, pêchues, malgré un show assez timide, mais sincère. Ça met dans l’ambiance et c’est ce qu’on demande !
Pour la suite ce sont les français d’ELYOSE menés par la belle Justine. Là je suis un peu mitigé. Le chant est impeccable, très lyrique, magnifique même. Il y a une très bonne énergie sue scène mais par contre le groupe mélange diverses influences comme le rock, le métal, l’électro, le funk, mais parfois ce n’est que trop peu percutant. Mais cela dit ce fût tout de même une découverte intéressante.
Les voici donc arriver nos chers invités de marque. C’est sur l’intro « O Fortuna » que le groupe entre en scène. S’en suis deux titres percutants : « Poupée de Cire, Poupée de Son », où Lori nous prouve qu’elle est définitivement une chanteuse hors pair, et l’entrainant « Son of the Sun », classique mais toujours efficace.
Petit passage avec des inédits, avec « Via Nocturna » et « The Flight of the Lord of Flies », où Christian s’amuse comme un fou et se fait plaisir. Le groupe compte ce soir trois vocalistes : Lori, Thomas et Leana (la fille de Thomas). On regrettera l’absence de Snowy qui livre toujours un show exceptionnel. Mais ce soir c’est Thomas, avec sa casquette de police, qui semble inspecter la salle, pour voir si le public fait bien son boulot.
Il nous délivre d’ailleurs une très bonne prestation sur « J’ai le Mal de toi », ce qui est très admirable car il me confiera plus tard qu’en fait il est malade.
Le groupe mixe un peu les albums de sa carrière « sympho ». On a droit au fameux « Abraxas », « Vanaheim », avant un instant émotion avec un « Lemuria » que les intervenants ainsi que le public rendent magique.
Tout se déroule à merveille, l’osmose entre le groupe et les fans est à son maximum, alors que demande le peuple ? Ben la suite.
Et voici que déboule « Gothic Kabbalah », le long, beau, lyrique « The Siren of the Woods » suivi d’un « Ginnungagap » bien exécuté. On arrive au dernier morceau inhabituel, jamais joué et pourtant attendu : l’excellent « Land of Canaan », épique morceau de l’album Sitra Ahra. Bien que très complexe, ce morceau passe à merveille le cap du live.
Pour notre plus grand bonheur, on enquille quelques classique : « Wine of Aluqah », « The Rise of Sodom and Gomorrah » et « Khlysti Evangelist ».
Nouvel extrait des « Fleurs du Mal » : « Une Fleur dans le Cœur » (pas le meilleur pour un live mais ma foi sympathique). L’excellent et très rock « Son of the Staves of Time » termine cette première partie du set. Petit speech de Christofer pour nous parler du projet « Fleur du Mal », que certains abrutis pas tout à fait finis du public accueilleront avec des sifflements. Après cet insultant manque de maturité, le show reprend ses droits. Ainsi, la fin du concert est déjà connue : Il manque des grands morceaux. Voilà donc venu le temps pour « Wonderous World of Punt », Le surpuissant « Blood of Kingu » et enfin, le grandissime « To Mega Therion », où le groupe se lâche, cours dans tous les sens, fait participer le public qui se donne à fond. Une bien belle façon de clore le show.
Au revoir cher amis de THERION. La réalité reprend ses droits : On ne les reverra pas avant très (trop) longtemps. Je regrette l’absence de quelques morceaux des « Fleurs du Mal », comme « Je n’ai Besoin que d’aimer ».
Mais l’essentiel est tout de même que le groupe ai fait un bon concert, sourire aux lèvres, dans la joie de cette tournée anniversaire. Christofer a tenu ses promesses : il vient rendre visite aux fans après le concert. Après une discussion avec lui, je n’aurais qu’une chose à dire : Merci monsieur Johnsson pour ces années, pour THERION, votre humilité, votre gentillesse. A très bientôt.
Setlist THERION:
1. O Fortuna
2. Poupée de Cire, Poupée de Son
3. Son of the Sun
4. Via Nocturna
5. The Flight of the Lord Of Flies
6. J'ai le Mal de Toi
7. Abraxas
8. Vanahein
9. Lemuria
10. Gothic kabbalah
11. The Sirens of the Woods
12. Ginnungagap
13. Land of Canaan
14. Wine of Aluqah
15. The Rise of Sodom And Gomorrah
16. Khlysti Evangelist
17. Une Fleur dans le Coeur
18. Son of the Staves of Time
19. Wonderous World Of Punt
Rappel:
20. Blood of Kingu
21. To Mega Therion
Outre cela, cette tournée a des airs d’ « adieu », étant donné que le groupe se retire des projecteurs pour se consacrer à un grand projet, un « vrai » rock-métal opéra. Christofer devrait me livrer plus d’informations dans une interview à venir.
Bref, ce concert à des airs de messe pour les élus. Mais avant ça voici les espagnols d’ANTALGIA, groupe de métal à chanteuse qui délivre des compos assez aboutis, pêchues, malgré un show assez timide, mais sincère. Ça met dans l’ambiance et c’est ce qu’on demande !
Pour la suite ce sont les français d’ELYOSE menés par la belle Justine. Là je suis un peu mitigé. Le chant est impeccable, très lyrique, magnifique même. Il y a une très bonne énergie sue scène mais par contre le groupe mélange diverses influences comme le rock, le métal, l’électro, le funk, mais parfois ce n’est que trop peu percutant. Mais cela dit ce fût tout de même une découverte intéressante.
Les voici donc arriver nos chers invités de marque. C’est sur l’intro « O Fortuna » que le groupe entre en scène. S’en suis deux titres percutants : « Poupée de Cire, Poupée de Son », où Lori nous prouve qu’elle est définitivement une chanteuse hors pair, et l’entrainant « Son of the Sun », classique mais toujours efficace.
Petit passage avec des inédits, avec « Via Nocturna » et « The Flight of the Lord of Flies », où Christian s’amuse comme un fou et se fait plaisir. Le groupe compte ce soir trois vocalistes : Lori, Thomas et Leana (la fille de Thomas). On regrettera l’absence de Snowy qui livre toujours un show exceptionnel. Mais ce soir c’est Thomas, avec sa casquette de police, qui semble inspecter la salle, pour voir si le public fait bien son boulot.
Il nous délivre d’ailleurs une très bonne prestation sur « J’ai le Mal de toi », ce qui est très admirable car il me confiera plus tard qu’en fait il est malade.
Le groupe mixe un peu les albums de sa carrière « sympho ». On a droit au fameux « Abraxas », « Vanaheim », avant un instant émotion avec un « Lemuria » que les intervenants ainsi que le public rendent magique.
Tout se déroule à merveille, l’osmose entre le groupe et les fans est à son maximum, alors que demande le peuple ? Ben la suite.
Et voici que déboule « Gothic Kabbalah », le long, beau, lyrique « The Siren of the Woods » suivi d’un « Ginnungagap » bien exécuté. On arrive au dernier morceau inhabituel, jamais joué et pourtant attendu : l’excellent « Land of Canaan », épique morceau de l’album Sitra Ahra. Bien que très complexe, ce morceau passe à merveille le cap du live.
Pour notre plus grand bonheur, on enquille quelques classique : « Wine of Aluqah », « The Rise of Sodom and Gomorrah » et « Khlysti Evangelist ».
Nouvel extrait des « Fleurs du Mal » : « Une Fleur dans le Cœur » (pas le meilleur pour un live mais ma foi sympathique). L’excellent et très rock « Son of the Staves of Time » termine cette première partie du set. Petit speech de Christofer pour nous parler du projet « Fleur du Mal », que certains abrutis pas tout à fait finis du public accueilleront avec des sifflements. Après cet insultant manque de maturité, le show reprend ses droits. Ainsi, la fin du concert est déjà connue : Il manque des grands morceaux. Voilà donc venu le temps pour « Wonderous World of Punt », Le surpuissant « Blood of Kingu » et enfin, le grandissime « To Mega Therion », où le groupe se lâche, cours dans tous les sens, fait participer le public qui se donne à fond. Une bien belle façon de clore le show.
Au revoir cher amis de THERION. La réalité reprend ses droits : On ne les reverra pas avant très (trop) longtemps. Je regrette l’absence de quelques morceaux des « Fleurs du Mal », comme « Je n’ai Besoin que d’aimer ».
Mais l’essentiel est tout de même que le groupe ai fait un bon concert, sourire aux lèvres, dans la joie de cette tournée anniversaire. Christofer a tenu ses promesses : il vient rendre visite aux fans après le concert. Après une discussion avec lui, je n’aurais qu’une chose à dire : Merci monsieur Johnsson pour ces années, pour THERION, votre humilité, votre gentillesse. A très bientôt.
Setlist THERION:
1. O Fortuna
2. Poupée de Cire, Poupée de Son
3. Son of the Sun
4. Via Nocturna
5. The Flight of the Lord Of Flies
6. J'ai le Mal de Toi
7. Abraxas
8. Vanahein
9. Lemuria
10. Gothic kabbalah
11. The Sirens of the Woods
12. Ginnungagap
13. Land of Canaan
14. Wine of Aluqah
15. The Rise of Sodom And Gomorrah
16. Khlysti Evangelist
17. Une Fleur dans le Coeur
18. Son of the Staves of Time
19. Wonderous World Of Punt
Rappel:
20. Blood of Kingu
21. To Mega Therion
Critique : SBM
Date :
Date :
Vues : 2212 fois