Live Report
MYTOLOGY + ELENYAH + GALDERIA + LOST OPERA + PRYDE - Korigan - 20/10/2012
Le Festvival ACDM pose ses valises au Korigan de Luynes en nous proposant une affiche composée de cinq groupes français. En effet, actuellement en tournée, le groupe Lost Opera en provenance du département de l'Eure se voit entouré des quatre groupes locaux, à savoir Mytology, Elenyah, Galderia et Pryde.
Pour le meilleur et le... moins meilleur.
De gros problèmes de micro viendront entacher la prestation de Mytology. Dommage car la voix de Tess, la chanteuse est un des atouts du combo marseillais, avec les soli de guitare de son partenaire Cyril. Malgré cet imprévu, le groupe restera concentré jusqu’au bout, et devant un parterre clairsemé, assurera et assumera son rôle de groupe ouvreur avec sympathie, professionnalisme et humour.
A revoir donc dans de meilleures conditions.
On enchaîne avec Elenyah et sa démence artistique, à la fois auditive et visuelle. L’arrivée du chanteur Julien sous couverte d’une intro en Français et n’appelant guère à la joie de vivre met tout de suite dans l’ambiance. Chant clair parlé, cris gutturaux, hurlements en chœurs grâce à Louis (basse) et Jonathan (guitare), synthés malsains, c’était un peu Halloween avant l’heure. Cependant, un nouvel incident technique viendra enrayer la machine Elenyah et suite à une corde de guitare cassée et son (long) changement, le set sera écourté. Peu importe, malgré le style musical du combo, la plaisanterie et l’humour restent de mise et « Au clair de la lune » et autre « Une souris verte » serviront de musique d’attente. Une bonne dose d’énergie qui permettra au public d’être de plus en plus chaud et en voix afin d’accueillir un des groupe les plus attendus de la soirée.
Et là, pas de temps mort ! Les Marseillais de Galderia nous livrent un show survitaminé, assurément l’une de leurs meilleures prestations live ; avec en prime deux nouveaux extraits de leur album The Universality qui sort le 29 novembre. Ce concert permet également de découvrir le nouveau bassiste du combo, à savoir Lionel (en remplacement de Verdo) qui s’en sort avec les honneurs, et qui, tout comme le reste du groupe, semble bien connecté avec l’univers de Galderia. Seb, bien entendu, attire tous les regards par son jeu, ses interludes toujours aussi passionnés, sa bonne humeur communicative et, tout simplement, son talent. JC et Tom, tout sourire, auront également fait le job en combinant à merveille sérieux et délire. En osmose parfaite avec un public transcendé, le combo a encore assuré et marqué (encore !) des points ce soir.
Setlist Galderia :
Intro (The Universality)
Beyond the cosmic winds (The Universality)
Universality (The Universality)
Sundancers (The Universality)
Out of control (Royaume De L’Universalité)
Rise, legions of free men (Rise, Legions Of Free Men)
One million dreams (The Universality)
Farspace (The Universality)
Land of Galderia (Rise, Legions Of Free Men)
Dur de passer après une telle débauche d’énergie, et il faut l’avouer, l’ambiance descend d’un cran pour accueillir Lost Opera. Les Français sont en pleine tournée afin de promouvoir leur album Alchemy Of Quintessence. Le groupe n’arrête pas, leur chanteur Loïc en tête, d’haranguer l’audience afin de participer, mais le chant extrême, même si en Français, ne prête pas trop matière à chanter malgré des compos musicalement intéressantes. Du chant en Français, en anglais, voix claire, voix black, ça fait un peu trop à assimiler et le groupe se perd parfois dans son dicsours. A noter tout de même, une reprise plutôt convaincante de Reise reise de Rammstein.
On termine avec les prometteurs et bientôt incontournables Pryde, qui, même s’ils comptent de plus en plus de fans, ne se reposent pas sur leurs lauriers et nous proposent une setlist quasiment composée de titres inédits de leur futur album Psychocentesis. Choix culotté, mais qui ne donne qu’une seule envie : que l’album sorte au plus vite !
Interview à venir. ;)
Setlist Pryde :
Birth of dementia (Psychocentesis)
Trapped in a dream (Psychocentesis)
Psychocentesis (Psychocentesis)
Illusive faith (Psychocenthesis)
The point of no return (Psychocentesis)
Cold lights (Psychocentesis)
Escape (Absence Of Light)
Rappel :
Absence of light (Absence Of Light)
Pour le meilleur et le... moins meilleur.
De gros problèmes de micro viendront entacher la prestation de Mytology. Dommage car la voix de Tess, la chanteuse est un des atouts du combo marseillais, avec les soli de guitare de son partenaire Cyril. Malgré cet imprévu, le groupe restera concentré jusqu’au bout, et devant un parterre clairsemé, assurera et assumera son rôle de groupe ouvreur avec sympathie, professionnalisme et humour.
A revoir donc dans de meilleures conditions.
On enchaîne avec Elenyah et sa démence artistique, à la fois auditive et visuelle. L’arrivée du chanteur Julien sous couverte d’une intro en Français et n’appelant guère à la joie de vivre met tout de suite dans l’ambiance. Chant clair parlé, cris gutturaux, hurlements en chœurs grâce à Louis (basse) et Jonathan (guitare), synthés malsains, c’était un peu Halloween avant l’heure. Cependant, un nouvel incident technique viendra enrayer la machine Elenyah et suite à une corde de guitare cassée et son (long) changement, le set sera écourté. Peu importe, malgré le style musical du combo, la plaisanterie et l’humour restent de mise et « Au clair de la lune » et autre « Une souris verte » serviront de musique d’attente. Une bonne dose d’énergie qui permettra au public d’être de plus en plus chaud et en voix afin d’accueillir un des groupe les plus attendus de la soirée.
Et là, pas de temps mort ! Les Marseillais de Galderia nous livrent un show survitaminé, assurément l’une de leurs meilleures prestations live ; avec en prime deux nouveaux extraits de leur album The Universality qui sort le 29 novembre. Ce concert permet également de découvrir le nouveau bassiste du combo, à savoir Lionel (en remplacement de Verdo) qui s’en sort avec les honneurs, et qui, tout comme le reste du groupe, semble bien connecté avec l’univers de Galderia. Seb, bien entendu, attire tous les regards par son jeu, ses interludes toujours aussi passionnés, sa bonne humeur communicative et, tout simplement, son talent. JC et Tom, tout sourire, auront également fait le job en combinant à merveille sérieux et délire. En osmose parfaite avec un public transcendé, le combo a encore assuré et marqué (encore !) des points ce soir.
Setlist Galderia :
Intro (The Universality)
Beyond the cosmic winds (The Universality)
Universality (The Universality)
Sundancers (The Universality)
Out of control (Royaume De L’Universalité)
Rise, legions of free men (Rise, Legions Of Free Men)
One million dreams (The Universality)
Farspace (The Universality)
Land of Galderia (Rise, Legions Of Free Men)
Dur de passer après une telle débauche d’énergie, et il faut l’avouer, l’ambiance descend d’un cran pour accueillir Lost Opera. Les Français sont en pleine tournée afin de promouvoir leur album Alchemy Of Quintessence. Le groupe n’arrête pas, leur chanteur Loïc en tête, d’haranguer l’audience afin de participer, mais le chant extrême, même si en Français, ne prête pas trop matière à chanter malgré des compos musicalement intéressantes. Du chant en Français, en anglais, voix claire, voix black, ça fait un peu trop à assimiler et le groupe se perd parfois dans son dicsours. A noter tout de même, une reprise plutôt convaincante de Reise reise de Rammstein.
On termine avec les prometteurs et bientôt incontournables Pryde, qui, même s’ils comptent de plus en plus de fans, ne se reposent pas sur leurs lauriers et nous proposent une setlist quasiment composée de titres inédits de leur futur album Psychocentesis. Choix culotté, mais qui ne donne qu’une seule envie : que l’album sorte au plus vite !
Interview à venir. ;)
Setlist Pryde :
Birth of dementia (Psychocentesis)
Trapped in a dream (Psychocentesis)
Psychocentesis (Psychocentesis)
Illusive faith (Psychocenthesis)
The point of no return (Psychocentesis)
Cold lights (Psychocentesis)
Escape (Absence Of Light)
Rappel :
Absence of light (Absence Of Light)
Critique : Secret Sfred
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