Live Report
ACCEPT – DAMNATIONS DAY - LE BATACLAN - PARIS - 8/10/2014
Grosse soirée en perspective ce soir au BATACLAN, qui accueille les teutons d’ACCEPT et leur Heavy Métal couillu aussi efficace qu’une division de Panzer. Avec une actualité fraiche d’un nouvel LP avec Blind Rage, ACCEPT est de nouveau sur la route pour son Blind Rage Tour 2014. Accompagnés par les australien de DAMNATIONS DAY en ouverture, l’affiche devrait tenir la promesse d’une soirée sous haute dose de métal. Le public à répondu présent pour l’évènement, au vu de la file interminable qui se perd le long du boulevard Voltaire.
C’est donc aux DAMNATIONS DAY d’ouvrir le bal. Les australiens distillent un Heavy métal à tendance speed de bonne facture, ils relancent leur machine avec l’arrivée de Jon Roi à la gratte. La prestation est bonne, le public réactif donne de l’écho aux titres des australiens qui tiennent bien leur set.
Musicalement je ne boude pas mon plaisir et suis très agréablement surpris. La voix de Mark Kennedy, bien que très bonne, à tendance à m’irriter un peu par ses montées en aigues ce qui gâche un peu mon plaisir (je vous le concède, c’est une question de gout). Le quatuor assure une bonne chauffe du Bataclan, avec un Mark Keneddy en frontman plutôt à l’aise, assurant le chant et la guitare.
Le mix des genres dont sont issues leurs compos donne un ensemble malgré tout bien homogène sur scène. Alternant des passages heavy / speed avec d’autres plus progressifs, la ligne directrice est maintenue par le coté mélodique qui entoure les titres.
En un peu moins d’une heure DAMNATIONS DAY aura fait le boulot, laissant une salle bien disposer pour accueillir nos teutons favoris venus défendre leur dernier brulot : Blind Rage !
La folie et le déluge de métal commence dès l’ouverture du set sur Stampede qui ouvre également leur dernier opus. Le Bataclan n’est plus qu’une acclamation pour ce groupe mythique qui a fait et continu de faire battre le rythme à une tribu de metaleux de tous poils et âges.
A peine le temps de souffler que Stalingrad enfonce le clou. A coups de riffs assassins Wolf Hoffmann parcours la scène avec son air rigolard et une maitrise de la six cordes qui force l’admiration.
Mark Tornillo n’est pas en reste, tout comme le reste de la formation. Les compos du dernier album passent bien auprès du public, tout comme leur impact live. Bien que résolument plus heavy que les compos des précèdent albums, des titres comme 200 Years ou encore From the Ashes We Rise et son rythme lancinant au refrain accrocheur, font le boulot.
Les cinq titres de Blind Rage joués ce soir marqueront les moments les plus posés du set, à l’exception de Final Journey qui bottera le cul du pit !
La setlist proposée ce soir est très bien équilibrée qualitativement. Elle survole plutôt bien les plus belles années du groupe, zappant la période 1986-96, une décennie de productions moyenne qui eue raison du groupe.
Assister à un concert d’ACCEPT c’est un peu comme se rendre au pub, on laisse ses soucis dehors, on se retrouve entre potes pour passer un bon moment, le tout dans une ambiance quasi familiale.
Les pépites du groupe font plus que jamais un impact énorme sur le public, comme le magique London Leatherboys ou encore l’inégalable Restless and Wild pour ne citer qu’eux. Les titres plus récents ne sont pas en restes, Stalingrad et Teutonic Terror sont dévastateurs et retournent un Bataclan acquit aux allemands.
La fusion entre ACCEPT et le public est totale, les balcons sont debout et en perpétuelle standing ovation. Les bras sont levés, battant à l’unisson les mesures des titres qui s’enchainent sans faiblir
La passe d’arme sur No Shelter entre les deux compères de longue date et veterans du groupe, Wolf Hoffmann (Guit) et Peter Baltes (basse) aura ravie les puristes, montrant une osmose et une cohérence sans faille entre les musiciens. Le son est exceptionnel ce soir, les lights du velours et la setlist un régal pour les fans dont je suis.
Fast as a Shark et son intro caractéristique viennent clore le set avant rappel. Autant vous dire que c’est la folie dans le pit. Il pleut des métaleu(ses) derrière la crash bar! Les 3 titres mettant le point final au concert finissent le boulot de façon magistrale ! Les derniers résistants se donneront à fond sur Balls to the Wall, véritable machine à remonter le temps.
Voilà, c’est fini pour ce soir et j’en ai pris plein les cervicales. C’est la tête pleine de bon souvenirs et les oreilles bourdonnantes que je vais me jeter une dernière bière au bistrot du coin avec mon pote Kiko. Deux fans de la première heure satisfaits par ce sans fautes délivré par une bande de lascars qui font plaisir à voir.
Un grand merci à AJeterProm sans qui ce concert n’aurait pas eu lieu.
Setlist
ACCEPT
Stampede
Stalingrad
Hellfire
200 Years
Losers and Winners
London Leatherboys
Starlight
Dying Breed
Final Journey
Shadow Soldiers
From the Ashes We Rise
Restless and Wild
Ahead of the Pack
No Shelter (bass & guitare solo)
Princess of the Dawn
Dark Side of My Heart
Pandemic
Fast as a Shark
RAPPEL:
Metal Heart
Teutonic Terror
Balls to the Wall
C’est donc aux DAMNATIONS DAY d’ouvrir le bal. Les australiens distillent un Heavy métal à tendance speed de bonne facture, ils relancent leur machine avec l’arrivée de Jon Roi à la gratte. La prestation est bonne, le public réactif donne de l’écho aux titres des australiens qui tiennent bien leur set.
Musicalement je ne boude pas mon plaisir et suis très agréablement surpris. La voix de Mark Kennedy, bien que très bonne, à tendance à m’irriter un peu par ses montées en aigues ce qui gâche un peu mon plaisir (je vous le concède, c’est une question de gout). Le quatuor assure une bonne chauffe du Bataclan, avec un Mark Keneddy en frontman plutôt à l’aise, assurant le chant et la guitare.
Le mix des genres dont sont issues leurs compos donne un ensemble malgré tout bien homogène sur scène. Alternant des passages heavy / speed avec d’autres plus progressifs, la ligne directrice est maintenue par le coté mélodique qui entoure les titres.
En un peu moins d’une heure DAMNATIONS DAY aura fait le boulot, laissant une salle bien disposer pour accueillir nos teutons favoris venus défendre leur dernier brulot : Blind Rage !
La folie et le déluge de métal commence dès l’ouverture du set sur Stampede qui ouvre également leur dernier opus. Le Bataclan n’est plus qu’une acclamation pour ce groupe mythique qui a fait et continu de faire battre le rythme à une tribu de metaleux de tous poils et âges.
A peine le temps de souffler que Stalingrad enfonce le clou. A coups de riffs assassins Wolf Hoffmann parcours la scène avec son air rigolard et une maitrise de la six cordes qui force l’admiration.
Mark Tornillo n’est pas en reste, tout comme le reste de la formation. Les compos du dernier album passent bien auprès du public, tout comme leur impact live. Bien que résolument plus heavy que les compos des précèdent albums, des titres comme 200 Years ou encore From the Ashes We Rise et son rythme lancinant au refrain accrocheur, font le boulot.
Les cinq titres de Blind Rage joués ce soir marqueront les moments les plus posés du set, à l’exception de Final Journey qui bottera le cul du pit !
La setlist proposée ce soir est très bien équilibrée qualitativement. Elle survole plutôt bien les plus belles années du groupe, zappant la période 1986-96, une décennie de productions moyenne qui eue raison du groupe.
Assister à un concert d’ACCEPT c’est un peu comme se rendre au pub, on laisse ses soucis dehors, on se retrouve entre potes pour passer un bon moment, le tout dans une ambiance quasi familiale.
Les pépites du groupe font plus que jamais un impact énorme sur le public, comme le magique London Leatherboys ou encore l’inégalable Restless and Wild pour ne citer qu’eux. Les titres plus récents ne sont pas en restes, Stalingrad et Teutonic Terror sont dévastateurs et retournent un Bataclan acquit aux allemands.
La fusion entre ACCEPT et le public est totale, les balcons sont debout et en perpétuelle standing ovation. Les bras sont levés, battant à l’unisson les mesures des titres qui s’enchainent sans faiblir
La passe d’arme sur No Shelter entre les deux compères de longue date et veterans du groupe, Wolf Hoffmann (Guit) et Peter Baltes (basse) aura ravie les puristes, montrant une osmose et une cohérence sans faille entre les musiciens. Le son est exceptionnel ce soir, les lights du velours et la setlist un régal pour les fans dont je suis.
Fast as a Shark et son intro caractéristique viennent clore le set avant rappel. Autant vous dire que c’est la folie dans le pit. Il pleut des métaleu(ses) derrière la crash bar! Les 3 titres mettant le point final au concert finissent le boulot de façon magistrale ! Les derniers résistants se donneront à fond sur Balls to the Wall, véritable machine à remonter le temps.
Voilà, c’est fini pour ce soir et j’en ai pris plein les cervicales. C’est la tête pleine de bon souvenirs et les oreilles bourdonnantes que je vais me jeter une dernière bière au bistrot du coin avec mon pote Kiko. Deux fans de la première heure satisfaits par ce sans fautes délivré par une bande de lascars qui font plaisir à voir.
Un grand merci à AJeterProm sans qui ce concert n’aurait pas eu lieu.
Setlist
ACCEPT
Stampede
Stalingrad
Hellfire
200 Years
Losers and Winners
London Leatherboys
Starlight
Dying Breed
Final Journey
Shadow Soldiers
From the Ashes We Rise
Restless and Wild
Ahead of the Pack
No Shelter (bass & guitare solo)
Princess of the Dawn
Dark Side of My Heart
Pandemic
Fast as a Shark
RAPPEL:
Metal Heart
Teutonic Terror
Balls to the Wall
Critique : Stephan
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