Live Report
GOTTHARD - BLACKRAIN - LE TRABENDO - PARIS - 21/10/2014
Encore une soirée bien couillue et estampillée Hard Rock que nous propose BASE PROD au Trabendo, avec à l’affiche les suisses de GOTTHARD et les frenchies de BLACKRAIN en ouverture.
C’est donc devant une salle bien remplie que les BLACKRAIN entament leur set avec un je ne sais quoi de changé au sein du groupe. Moins exubérants, Swan et sa bande nous livrent un show carré et punchy, balançant à la volée une palanque de titres qu’un public de fans saluera bruyamment. La salle accueille plutôt bien le glam musclé des savoyards, avec une base de fans reprenant à l’unisson les titres phares du groupe.
La prestation est bonne. Malgré une scène étriquée, les BLACKRAIN sont en forme et font le boulot. En une dizaine de titres, se fendant même d’une reprise de TWISTED SISTER avec We're Not GonnaTake It, ils auront réussi une belle mise en chauffe d’un Trabendo à point pour le plat de résistance.
Inutile de vous faire un dessin quant à l’accueil que le public parisien a réservé aux suisses de GOTTHARD lors de leur arrivée sur scène. C’est sur fond de sirènes de police et à la lumière de gyrophares que les gus envoient la sauce en ouvrant sur Bang!, titre éponyme de leur dernier méfait.
Il est toujours touchant de voir un public aussi fusionnel avec un groupe, et c’est bien le cas de celui de GOTTHARD.Malgré une histoire tragique vécue par le groupe lors de la disparition brutale du chanteur Steve Lee en 2010, Nic Maeder a su trouver sa place au sein du groupe.
C’est tout sourire que les GOTTHARD vont dérouler un show puissant qui va retourner la salle à tous les niveaux. Ce soir on aura le droit à la totale : de l’émotion, de la joie, de la bonne humeur et des titres quasiment tous repris à l’unisson par un public au taquet.
Les échanges sont nombreux entre Nic et le public, la plupart du temps en français ce qui fait tomber les dernières réticences si il y en avait. L’entente sur scène est du même acabit que celle de la salle, l’ambiance est festive et propice à la liesse générale.
La Setlist déroulera un tapis de classiques, entrecoupés de cinq titres tirés du dernier opus. Sur Starlight ils feront même monter sur scène quelques personnes de la gente féminine pour pousser la chansonnette en leur compagnie.
Beaucoup de moments forts lors de cette prestation, beaucoup d’émotion aussi comme sur l’interprétation acoustique de The Train par Leo Leoni, dernier titre composé par Steve Lee.
Le concert touche à sa fin. C’est l’attendu Thank You qui viendra clore ce set qui aura tenu toute ses promesses coté public. Pour ma part le seul bémol fut qu’il y avait trop de titres lents enchainés, ce qui a un peu cassé le rythme. Mais je chipote, le public est comblé et GOTTHARD a de belles années devant lui à n’en pas douter.
SETLIST
GOTTHARD
Bang!
Get Up ‘n’ Move On
sister Moon
Right On
Master Of Illusion
Domino Effect
Feel What I Feel
The Call
Remeber It’s Me
Starlight
The Train
C’est La Vie
One Life, One Soul
Hush
Lift You Up
Anytime Anywhere
Thank You
BLACKRAIN
Intro
True Girls Are 16
Dancing On Fire
Tell Me
Get A Gun
Dead Boy
Innocent Rosie
Blast Me up
Overloaded
Rock'n'Jive
Ho Hey HeyHeyHey
We're Not Gonna Take It
Burn'n'Die
C’est donc devant une salle bien remplie que les BLACKRAIN entament leur set avec un je ne sais quoi de changé au sein du groupe. Moins exubérants, Swan et sa bande nous livrent un show carré et punchy, balançant à la volée une palanque de titres qu’un public de fans saluera bruyamment. La salle accueille plutôt bien le glam musclé des savoyards, avec une base de fans reprenant à l’unisson les titres phares du groupe.
La prestation est bonne. Malgré une scène étriquée, les BLACKRAIN sont en forme et font le boulot. En une dizaine de titres, se fendant même d’une reprise de TWISTED SISTER avec We're Not GonnaTake It, ils auront réussi une belle mise en chauffe d’un Trabendo à point pour le plat de résistance.
Inutile de vous faire un dessin quant à l’accueil que le public parisien a réservé aux suisses de GOTTHARD lors de leur arrivée sur scène. C’est sur fond de sirènes de police et à la lumière de gyrophares que les gus envoient la sauce en ouvrant sur Bang!, titre éponyme de leur dernier méfait.
Il est toujours touchant de voir un public aussi fusionnel avec un groupe, et c’est bien le cas de celui de GOTTHARD.Malgré une histoire tragique vécue par le groupe lors de la disparition brutale du chanteur Steve Lee en 2010, Nic Maeder a su trouver sa place au sein du groupe.
C’est tout sourire que les GOTTHARD vont dérouler un show puissant qui va retourner la salle à tous les niveaux. Ce soir on aura le droit à la totale : de l’émotion, de la joie, de la bonne humeur et des titres quasiment tous repris à l’unisson par un public au taquet.
Les échanges sont nombreux entre Nic et le public, la plupart du temps en français ce qui fait tomber les dernières réticences si il y en avait. L’entente sur scène est du même acabit que celle de la salle, l’ambiance est festive et propice à la liesse générale.
La Setlist déroulera un tapis de classiques, entrecoupés de cinq titres tirés du dernier opus. Sur Starlight ils feront même monter sur scène quelques personnes de la gente féminine pour pousser la chansonnette en leur compagnie.
Beaucoup de moments forts lors de cette prestation, beaucoup d’émotion aussi comme sur l’interprétation acoustique de The Train par Leo Leoni, dernier titre composé par Steve Lee.
Le concert touche à sa fin. C’est l’attendu Thank You qui viendra clore ce set qui aura tenu toute ses promesses coté public. Pour ma part le seul bémol fut qu’il y avait trop de titres lents enchainés, ce qui a un peu cassé le rythme. Mais je chipote, le public est comblé et GOTTHARD a de belles années devant lui à n’en pas douter.
SETLIST
GOTTHARD
Bang!
Get Up ‘n’ Move On
sister Moon
Right On
Master Of Illusion
Domino Effect
Feel What I Feel
The Call
Remeber It’s Me
Starlight
The Train
C’est La Vie
One Life, One Soul
Hush
Lift You Up
Anytime Anywhere
Thank You
BLACKRAIN
Intro
True Girls Are 16
Dancing On Fire
Tell Me
Get A Gun
Dead Boy
Innocent Rosie
Blast Me up
Overloaded
Rock'n'Jive
Ho Hey HeyHeyHey
We're Not Gonna Take It
Burn'n'Die
Critique : Stephan
Date : 21/10/2014
Date : 21/10/2014
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