Live Report
HELLFEST 2017 - Ambiance - 3/7/2017
Plus qu’un simple festival, le Hellfest est un vrai parc d’attraction pour métalleux. Comme un gosse rêvant d’aller à Disney, un métalleux rêve d’aller au Hellfest. Une caractéristique immuable de ce festival est que malgré la pluie ou les chaleurs infernales, le public est toujours présent et de très bonne humeur !
Aucun débordement, aucun violence, ni religion, ni couleur. Juste une envie de liberté et de musique pendant ces trois jours. On croirait un Mc Donalds : « Venez comme vous êtes ».
Nu, moitié nu, tiers nu, tatoué ou pas, cheveux colorés ou pas, les mecs habillés en cheerleader ou assassin de Assassin’s Creed. Solo, en couple ou en famille, tout est possible dans ce petit paradis.
Tout précisément… Pour ceux qui ont suivi les réseaux sociaux, vous avez sûrement vu les photos et vidéos de la jeune Morgane, en fauteuil roulant, se faisant porter par le public pendant les trois jours. Cette image est une des plus belle chose que j’ai vu ! Un public uni et amical comme ça, vous le verrez qu’au Hellfest !! De quoi prouver à ceux qui en doutaient encore : le métalleux est un nounours pas un monstre.
Ceci étant dit, on peut tourner sa tête vers la grande roue qui tourne toujours avec à son bord des centaines de personnes venues admirer le panorama. La vue est dégagée sur la Main Stage et le fameux « Kingdom of Muscadet » (seul point d’ombre du festival, alors je vous raconte pas l’attroupement. Les gens courraient là bas comme les Uruk Haï vers les Ents (comprendra qui pourra…) Ce royaume vert au cœur de l’enfer qui vous donne accès à du vin local, de la barbaque, et la Warzone.
Les néophytes n’en ont pas fini d’arpenter ces hectares à la découverte de chaque sculpture laissée à la vue de la foule. Et si il a réussi à tout voir, il peut toujours aller au Metal City Square, où l’on voit des files d’attentes longues comme mon bras (oui j’ai un long bras) devant le stand barbier ou les tatoueurs (qui ont cette année effectués le nombre record de 2000 tatouages sur les trois jours). Et je vous parle même pas de l’Extrême Market, véritable caverne d’Ali Baba pour rocker et métalleux. Des T-Shirts, des CDs, des cornes, des chaînes, des bagues, vous trouverez TOUT !
Pour les quelques geeks, une salle d’arcade a été installée ainsi qu’une scène pour que des petits groupes puissent se faire connaître. J’ai particulièrement apprécié un groupe reprenant des grands morceaux du métal (de Metallica à Machine Head) avec uniquement des cuivres ! Classe et super entraînant.
Et une fois la nuit tombée, la fête et la musique battent leur plein illuminées de gerbes de feu, de lumières tamisées et des lights des scènes, qui ressemblent maintenant à des OVNIs tout droit sortis d’un film de SF.
Et après la dernière note, vers 1h30 du mat, les courageux pourront poursuivre au Metal Corner jusqu’à 3h, à siroter des bières pour faire durer le plaisir plus longtemps ! Et si c’est pas assez, on peut toujours boire les bières restées dans la tente ! Bon là elles devaient être chaudes mais vous savez bien qu’à cette heure ça n’a aucune importance.
Je pourrais vous en parler pendant des heures, les yeux pétillants, mais il faut le voir et y être pour comprendre à quel point cet endroit est paradisiaque. Out of time and out of mind.
Aucun débordement, aucun violence, ni religion, ni couleur. Juste une envie de liberté et de musique pendant ces trois jours. On croirait un Mc Donalds : « Venez comme vous êtes ».
Nu, moitié nu, tiers nu, tatoué ou pas, cheveux colorés ou pas, les mecs habillés en cheerleader ou assassin de Assassin’s Creed. Solo, en couple ou en famille, tout est possible dans ce petit paradis.
Tout précisément… Pour ceux qui ont suivi les réseaux sociaux, vous avez sûrement vu les photos et vidéos de la jeune Morgane, en fauteuil roulant, se faisant porter par le public pendant les trois jours. Cette image est une des plus belle chose que j’ai vu ! Un public uni et amical comme ça, vous le verrez qu’au Hellfest !! De quoi prouver à ceux qui en doutaient encore : le métalleux est un nounours pas un monstre.
Ceci étant dit, on peut tourner sa tête vers la grande roue qui tourne toujours avec à son bord des centaines de personnes venues admirer le panorama. La vue est dégagée sur la Main Stage et le fameux « Kingdom of Muscadet » (seul point d’ombre du festival, alors je vous raconte pas l’attroupement. Les gens courraient là bas comme les Uruk Haï vers les Ents (comprendra qui pourra…) Ce royaume vert au cœur de l’enfer qui vous donne accès à du vin local, de la barbaque, et la Warzone.
Les néophytes n’en ont pas fini d’arpenter ces hectares à la découverte de chaque sculpture laissée à la vue de la foule. Et si il a réussi à tout voir, il peut toujours aller au Metal City Square, où l’on voit des files d’attentes longues comme mon bras (oui j’ai un long bras) devant le stand barbier ou les tatoueurs (qui ont cette année effectués le nombre record de 2000 tatouages sur les trois jours). Et je vous parle même pas de l’Extrême Market, véritable caverne d’Ali Baba pour rocker et métalleux. Des T-Shirts, des CDs, des cornes, des chaînes, des bagues, vous trouverez TOUT !
Pour les quelques geeks, une salle d’arcade a été installée ainsi qu’une scène pour que des petits groupes puissent se faire connaître. J’ai particulièrement apprécié un groupe reprenant des grands morceaux du métal (de Metallica à Machine Head) avec uniquement des cuivres ! Classe et super entraînant.
Et une fois la nuit tombée, la fête et la musique battent leur plein illuminées de gerbes de feu, de lumières tamisées et des lights des scènes, qui ressemblent maintenant à des OVNIs tout droit sortis d’un film de SF.
Et après la dernière note, vers 1h30 du mat, les courageux pourront poursuivre au Metal Corner jusqu’à 3h, à siroter des bières pour faire durer le plaisir plus longtemps ! Et si c’est pas assez, on peut toujours boire les bières restées dans la tente ! Bon là elles devaient être chaudes mais vous savez bien qu’à cette heure ça n’a aucune importance.
Je pourrais vous en parler pendant des heures, les yeux pétillants, mais il faut le voir et y être pour comprendre à quel point cet endroit est paradisiaque. Out of time and out of mind.
Critique : SBM
Date : 3/7/2017
Date : 3/7/2017
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