Live Report
HELLFEST 2017 - Presse - 3/7/2017
A côté de tout ça, c’est pas tout mais faut bosser un peu au Hellfest ! Et oui si vous voulez de jolies photos, des interviews et des nouvelles croustillantes (ou pas d’ailleurs), il faut bien qu’on s’y mettent !
Ce que j’ai trouvé bien cette année c’est que sur les trois jours j’ai eu trois organisations de plannings différentes.
Vendredi, comme vous le savez, et si vous ne le savez pas je vous demanderai de le savoir, j’étais sur les Main Stage 90 % du temps. Je peux néanmoins vous décrire le nouvel espace presse, plus paradisiaque que tout de ce que je pouvais imaginer.
Déjà la pelouse. Synthétique certes mais qui apporte une jolie touche de vert. Et ça rend super bien à côté du bassin jonché de la même tête de mort aperçue au Metal City Square mais en noir. Bien sûr ce bassin était accompagné d’un joli panneau « Baignade interdite » qui en une journée s’est transformé en « Baignade non surveillée ». Et oui on empêche pas un métalleux de se baigner par plus de 30°C. D’ailleurs on interdit rien à un métalleux tout court.
Et bien sûr le bar VIP, décoré comme une salle de bal géante, lumières tamisées, tables, écran géant et fontaine centrale surplombée par quatre Nazgul. Vraiment là, ils ont mis la barre très très haut !!
Mais comme je vous disais plus haut, impossible pour moi d’en profiter avant samedi. Et oui samedi, comme un mi figue mi raisin (même si je mange peu de fruits) je faisais la course entre les Main Stage et la presse pour des interviews…
En quelques heures j’ai eu la chance de rencontrer Fetus et Matthieu d’Ultra Vomit. Interview super sympa avec des mecs encore plus sympas ! Et en plus Fetus est comme moi un fan de Baby Metal et ça c’est bonnard !
J’enchaîne un peu plus de deux kilomètres de marche avant le suivant (oui l’espace presse et très éloigné des Main Stage… A l’opposé du site en fait !) qui sera avec le grand Björn Strid. Mais non pas pour Soilwork mais pour son autre projet rock absolument fantastique : The Night Flight Orchestra. Entretien décontracté où on parle de musique et c’est tout.
Quelques minutes après (entre sept et quarante deux minutes et demi d’après mon estimation) j’attaque avec Ronnie Atkins. Un mec adorable, très souriant ! Ça a été un plaisir de m’entretenir avec le leader de Pretty Maids, surtout après le show de cet après midi.
Pour mon dernier jour à la presse, boulot physique. J’assisterai entre autre à la conférence de Alter Bridge et de Prophets of Rage. Très difficile d’entendre quelque chose quand on est coincé entre la Valley et le Temple. Malgré le très bon boulot d’Owen, parfois on fait pas de miracles.
Et dès le milieu d’aprem, il est temps de ranger le bouzin. On démonte, on plie, on empile, on débranche. On a l’impression de quitter sa maison, de déménager vers Paris (oui quand, comme nous, vous vivez en Provence, déménager à Paris c’est l’angoisse). Vous imaginez ??
On se sépare pour quelques mois, jusqu’à juin 2018 après un gros apéro traditionnel.
Merci à toute la team presse ! Je vous adore, à l’année prochaine !
Ce que j’ai trouvé bien cette année c’est que sur les trois jours j’ai eu trois organisations de plannings différentes.
Vendredi, comme vous le savez, et si vous ne le savez pas je vous demanderai de le savoir, j’étais sur les Main Stage 90 % du temps. Je peux néanmoins vous décrire le nouvel espace presse, plus paradisiaque que tout de ce que je pouvais imaginer.
Déjà la pelouse. Synthétique certes mais qui apporte une jolie touche de vert. Et ça rend super bien à côté du bassin jonché de la même tête de mort aperçue au Metal City Square mais en noir. Bien sûr ce bassin était accompagné d’un joli panneau « Baignade interdite » qui en une journée s’est transformé en « Baignade non surveillée ». Et oui on empêche pas un métalleux de se baigner par plus de 30°C. D’ailleurs on interdit rien à un métalleux tout court.
Et bien sûr le bar VIP, décoré comme une salle de bal géante, lumières tamisées, tables, écran géant et fontaine centrale surplombée par quatre Nazgul. Vraiment là, ils ont mis la barre très très haut !!
Mais comme je vous disais plus haut, impossible pour moi d’en profiter avant samedi. Et oui samedi, comme un mi figue mi raisin (même si je mange peu de fruits) je faisais la course entre les Main Stage et la presse pour des interviews…
En quelques heures j’ai eu la chance de rencontrer Fetus et Matthieu d’Ultra Vomit. Interview super sympa avec des mecs encore plus sympas ! Et en plus Fetus est comme moi un fan de Baby Metal et ça c’est bonnard !
J’enchaîne un peu plus de deux kilomètres de marche avant le suivant (oui l’espace presse et très éloigné des Main Stage… A l’opposé du site en fait !) qui sera avec le grand Björn Strid. Mais non pas pour Soilwork mais pour son autre projet rock absolument fantastique : The Night Flight Orchestra. Entretien décontracté où on parle de musique et c’est tout.
Quelques minutes après (entre sept et quarante deux minutes et demi d’après mon estimation) j’attaque avec Ronnie Atkins. Un mec adorable, très souriant ! Ça a été un plaisir de m’entretenir avec le leader de Pretty Maids, surtout après le show de cet après midi.
Pour mon dernier jour à la presse, boulot physique. J’assisterai entre autre à la conférence de Alter Bridge et de Prophets of Rage. Très difficile d’entendre quelque chose quand on est coincé entre la Valley et le Temple. Malgré le très bon boulot d’Owen, parfois on fait pas de miracles.
Et dès le milieu d’aprem, il est temps de ranger le bouzin. On démonte, on plie, on empile, on débranche. On a l’impression de quitter sa maison, de déménager vers Paris (oui quand, comme nous, vous vivez en Provence, déménager à Paris c’est l’angoisse). Vous imaginez ??
On se sépare pour quelques mois, jusqu’à juin 2018 après un gros apéro traditionnel.
Merci à toute la team presse ! Je vous adore, à l’année prochaine !
Critique : SBM
Date : 3/7/2017
Date : 3/7/2017
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