Chronique
JUDAS PRIEST - A TOUCH OF EVIL LIVE / Sony 2009
Après une tournée triomphante (les souvenirs du Zénith sont encore très présents) voici que le prêtre nous sort un témoignage live, son cinquième, et le premier depuis le retour du Metal God.
Enregistré entre 2005 et 2009, ce nouvel album live débute fort bien par un « Judas rising » d’enfer. Le son est tout simplement monstrueux et met bien en place chacun des protagonistes (quelle frappe de mule ce Scott Travis !!). Ensuite un petit « Hellrider » histoire d’enfoncer le clou et de prouver que les titres d’Angel of ritribution passent plus que bien l’épreuve de la scène.
En troisième position l’exquis « Between the hammer and the anvil » qui m’avait tout excité au Zénith. Je pense que vous attendez que je parle du Metal God, qui même s’il a perdu niveau voix (ça tout le monde le sait) reste encore un formidable chanteur et réajuste les titres à son niveau pour ne pas les achever. « Riding on the wind » toujours aussi délectable, qui avec ses deux guitares tranchantes met le zizi tout dur !
Un titre du petit dernier avec « Death » qui file le frisson (là aussi le Zénith résonne encore) et démontre un autre visage de notre Rob Halford mythique.
Très grand moment avec l’inoubliable « Beyond the realms of death », qui même si elle perd de sa magie d’antan, reste une véritable pépite musicale, entrée au panthéon du heavy metal.
Et puisqu’on aime les surprises, une qui fut de taille sur la dernière tournée n’est d’autre que « Dissident aggressor » sortie pour la toute première fois des placards, et qui ma foi passe fort bien !! Moment d’extase complet pour moi avec « Touch of evil » mon titre préféré avec Un Rob Halford luttant mais tout de même superbe.
Un « Eat me alive » inespéré et terrible, suivit du « Prophecy » du dernier album, qui ne démérite aucunement, puis on arrive sur la fin…
« Painkiller » qui, oui, je l’avoue a beaucoup perdu de son côté sauvage, malgré son Scott Travis en format rouleau compresseur et un Glen Tipton de génie.
Conclusion : Judas a voulu proposer un album live fait de titres jamais enregistrés live avec Rob. L’idée est très bonne mais pourquoi que 11 ?! On reste amèrement sur sa faim, surtout quand on sait tous les titres que le groupe a joué lors des deux dernières tournées (je ne parlerais que de Hell Patrol).
Aussi le choix de l’ordre est discutable car en aucun rapport avec une des deux tournées faites. Bref un live réservé pour les fans, qui auront droit à un son de fou et un Rob moderne.
Enregistré entre 2005 et 2009, ce nouvel album live débute fort bien par un « Judas rising » d’enfer. Le son est tout simplement monstrueux et met bien en place chacun des protagonistes (quelle frappe de mule ce Scott Travis !!). Ensuite un petit « Hellrider » histoire d’enfoncer le clou et de prouver que les titres d’Angel of ritribution passent plus que bien l’épreuve de la scène.
En troisième position l’exquis « Between the hammer and the anvil » qui m’avait tout excité au Zénith. Je pense que vous attendez que je parle du Metal God, qui même s’il a perdu niveau voix (ça tout le monde le sait) reste encore un formidable chanteur et réajuste les titres à son niveau pour ne pas les achever. « Riding on the wind » toujours aussi délectable, qui avec ses deux guitares tranchantes met le zizi tout dur !
Un titre du petit dernier avec « Death » qui file le frisson (là aussi le Zénith résonne encore) et démontre un autre visage de notre Rob Halford mythique.
Très grand moment avec l’inoubliable « Beyond the realms of death », qui même si elle perd de sa magie d’antan, reste une véritable pépite musicale, entrée au panthéon du heavy metal.
Et puisqu’on aime les surprises, une qui fut de taille sur la dernière tournée n’est d’autre que « Dissident aggressor » sortie pour la toute première fois des placards, et qui ma foi passe fort bien !! Moment d’extase complet pour moi avec « Touch of evil » mon titre préféré avec Un Rob Halford luttant mais tout de même superbe.
Un « Eat me alive » inespéré et terrible, suivit du « Prophecy » du dernier album, qui ne démérite aucunement, puis on arrive sur la fin…
« Painkiller » qui, oui, je l’avoue a beaucoup perdu de son côté sauvage, malgré son Scott Travis en format rouleau compresseur et un Glen Tipton de génie.
Conclusion : Judas a voulu proposer un album live fait de titres jamais enregistrés live avec Rob. L’idée est très bonne mais pourquoi que 11 ?! On reste amèrement sur sa faim, surtout quand on sait tous les titres que le groupe a joué lors des deux dernières tournées (je ne parlerais que de Hell Patrol).
Aussi le choix de l’ordre est discutable car en aucun rapport avec une des deux tournées faites. Bref un live réservé pour les fans, qui auront droit à un son de fou et un Rob moderne.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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