Chronique
CAIN'S OFFERING - GATHER THE FAITHFUL / Frontiers Records 2009
Nouvelle formation de speed metal venue tout droit de Finlande, Cain’s Offering est tout bonnement le groupe fondé par Jani Liimaitanen (ex guitariste de Sonata Arctica). On connaissait ses talents de compositeur avec de titres comme « My Selene », mais de la à composer tout un album c’est autre chose. Autre chose surprenante, le clavier : ce n’est autre que Mikko Harkin (ex Sonata Arctica). La plus grosse surprise (et oui encore une !) vient du chanteur : il s’agit de Timo Kotipelto (Stratovarius). Oui, vous ne rêvez pas. De sacrés ingrédients. Maintenant, goutons cette sauce.
Le premier morceau « My queen of winter » donne le ton : du bon speed metal qui te fait headbanguer immédiatement. Le mélange solo clavier / guitare pette bien et le couplet te fait sauter encore et encore. « More than friends » se lance et l’on se croirait voguer sur le morceau de Nightwish « The Siren » avec ces chœurs. Un morceau mid tempo avec une ambiance plus progressive mais toujours mélodique pour ne pas dénoter du premier morceau.
La piste suivante « Oceans of regret » s’ouvre au clavier façon années 80 (au niveau sonorité bien sur) avant d’attaquer un rythme endiablé avec une batterie martelée. Le moment où Timo vient poser sa voix est plus qu’excitant, et motive bien. Tout comme cette alternance sur le refrain que se voit plus mélodique et calme que le reste de la chanson. L’on croirait débuter une ballade avec le title track « Gather the faithful » mais non, c’est une piste instrumentale qui pourrait faire office de musique de film. Un titre grandement inspiré par les compositions de Hans Zimmer (style la b.o de Bad Boys).
Cette fois ci pas d’erreur possible, voici la ballade de l’album : « Into the blue ». Des orchestrations, une douce mélodie, les paroles qu’il faut… et la voix de Timo. Magique ! Fini les rêveries on repart à 200 à l’heure avec « Dawn of solace ». Il met une belle baffe, car on ne s’attend pas honnêtement à prendre une telle déferlante juste après la ballade. Et quel refrain aussi. Certainement le meilleur morceau de la rondelle. On continue dans les morceaux speed mais un peu plus modernes pour « Thorn my side ». Quelques effets pour rendre la musique un peu plus électronique et de sacrés riffs pour appuyer tout ça.
Aller, on se calme un peu avec « Morpheus in a masquerade ». Un nouveau mid tempo qui continue à nous porter dans un univers mélodique où l’on ne jette rien. Un bon jet de puissance se fait sur « Stolen waters » ce qui rend cet album toujours accrocheur. Intro au piano pour « Elegantly broken ». Une nouvelle ballade qui servira de conclusion à ce premier album du groupe.
Un essai largement transformé par Jani. Cet album est la suite logique du Reckoning Night de Sonata Arctica et de l’Infinite de Stratovarius. Quand Sonata Arctica et Stratovarius se rencontrent : cela donne Cain’s Offerring. L’album de la rentrée !
Le premier morceau « My queen of winter » donne le ton : du bon speed metal qui te fait headbanguer immédiatement. Le mélange solo clavier / guitare pette bien et le couplet te fait sauter encore et encore. « More than friends » se lance et l’on se croirait voguer sur le morceau de Nightwish « The Siren » avec ces chœurs. Un morceau mid tempo avec une ambiance plus progressive mais toujours mélodique pour ne pas dénoter du premier morceau.
La piste suivante « Oceans of regret » s’ouvre au clavier façon années 80 (au niveau sonorité bien sur) avant d’attaquer un rythme endiablé avec une batterie martelée. Le moment où Timo vient poser sa voix est plus qu’excitant, et motive bien. Tout comme cette alternance sur le refrain que se voit plus mélodique et calme que le reste de la chanson. L’on croirait débuter une ballade avec le title track « Gather the faithful » mais non, c’est une piste instrumentale qui pourrait faire office de musique de film. Un titre grandement inspiré par les compositions de Hans Zimmer (style la b.o de Bad Boys).
Cette fois ci pas d’erreur possible, voici la ballade de l’album : « Into the blue ». Des orchestrations, une douce mélodie, les paroles qu’il faut… et la voix de Timo. Magique ! Fini les rêveries on repart à 200 à l’heure avec « Dawn of solace ». Il met une belle baffe, car on ne s’attend pas honnêtement à prendre une telle déferlante juste après la ballade. Et quel refrain aussi. Certainement le meilleur morceau de la rondelle. On continue dans les morceaux speed mais un peu plus modernes pour « Thorn my side ». Quelques effets pour rendre la musique un peu plus électronique et de sacrés riffs pour appuyer tout ça.
Aller, on se calme un peu avec « Morpheus in a masquerade ». Un nouveau mid tempo qui continue à nous porter dans un univers mélodique où l’on ne jette rien. Un bon jet de puissance se fait sur « Stolen waters » ce qui rend cet album toujours accrocheur. Intro au piano pour « Elegantly broken ». Une nouvelle ballade qui servira de conclusion à ce premier album du groupe.
Un essai largement transformé par Jani. Cet album est la suite logique du Reckoning Night de Sonata Arctica et de l’Infinite de Stratovarius. Quand Sonata Arctica et Stratovarius se rencontrent : cela donne Cain’s Offerring. L’album de la rentrée !
Critique : Lionel
Note : 9.5/10
Site du groupe : Site de Cain's Offering
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