Chronique
COLDWORKER - DOOMSAYER'S CALL / Listenable records 2011
Aujourd’hui on attache bien sa ceinture et on n’oublie pas les boules Quiess. Les héros suédois du « Death métal à blast qui crame » (je cite) nommés COLDWORKER déboulent ici avec leur cinquième album « Doomsayer’s call ».
« A new era » et son riff lourd plutôt mid tempo, accompagné d’un chant death assez maitrisé (on dirait par moment Johan Heggs). La ligne de chant est efficace, mais musicalement rien d’extraordinaire, à part le solo. « The reprobate » appuie sur le champignon, on enquille les blast, des doubles ou triples croches et on fait cracher l’ampli. Un pur concentré de brutal mais bon ça passe. Par contre on a la copie conforme qui s’appelle « The glass envelope » on bourrine et on pose les questions après.
Petit ralentissement avec « Flesh world » qui revient à quelques chose de plus lourd et pesant et aussi plus lent. Ressemble un peu au premier morceau, rien de fantastique n’est rajouté.
« Murderous » bourrine de plus belle et je ne retiendrai que le solo hyper véloce qui claque pas mal ! Rien à dire sur « Pessimist » ou « Monochrome existence », si ce n’est « Copier/Coller ».
C’est le problème e nombreux groupe : On mitraille tellement de note à la seconde que finalement on a juste un mec qui growl (bien cela dit) sur un mur de son trop peu mélodique. Et si le chant manque aussi de ligne percutante, comment déceler une différence dans les morceaux ?
Après la mélodique intro de « Vacuum fields » assez sympa, on retombe dans le (trop) lourd. Un petit passage parlé a au moins le mérite de changer un peu.
« Living is suffering » ou comment vomir sa haine de vivre avec conviction. Sympa, ça fait headbanger, seulement j’ai l’impression d’écouter le même morceau depuis une demi-heure. Un peu plus sympathique, « The walls of Eryx », plus mid tempo, permet au groupe d’appuyer un peu ses mélodies, et ça fait la différence, bon sang arrêtez les rythmes à 320 bpm à longueur d’album !
« Violent society » et « Becoming the stench » ne changent pas la donne. Même structure des morceaux, intro/couplet/refrain, parfois un break ou un solo. On tourne en rond.
Rien de bien neuf non plus sur « The phantom carriage », on commence sur du death qui tache, on fini sur du death qui tache.
C’est dommage quand même. Les deux premiers morceaux partaient bien, mais ensuite, on a une cascade de piste avec la même structure musicale, les même blast ou riff hyper véloces déchainés. Alors bon oui jouer ça en rythme c’est une prouesse, mais n’oublions pas que la musique est quand même censée apporter un poil de mélodie. Donc nickel pour un concert ou pour refaire une crise d’épilepsie.
« A new era » et son riff lourd plutôt mid tempo, accompagné d’un chant death assez maitrisé (on dirait par moment Johan Heggs). La ligne de chant est efficace, mais musicalement rien d’extraordinaire, à part le solo. « The reprobate » appuie sur le champignon, on enquille les blast, des doubles ou triples croches et on fait cracher l’ampli. Un pur concentré de brutal mais bon ça passe. Par contre on a la copie conforme qui s’appelle « The glass envelope » on bourrine et on pose les questions après.
Petit ralentissement avec « Flesh world » qui revient à quelques chose de plus lourd et pesant et aussi plus lent. Ressemble un peu au premier morceau, rien de fantastique n’est rajouté.
« Murderous » bourrine de plus belle et je ne retiendrai que le solo hyper véloce qui claque pas mal ! Rien à dire sur « Pessimist » ou « Monochrome existence », si ce n’est « Copier/Coller ».
C’est le problème e nombreux groupe : On mitraille tellement de note à la seconde que finalement on a juste un mec qui growl (bien cela dit) sur un mur de son trop peu mélodique. Et si le chant manque aussi de ligne percutante, comment déceler une différence dans les morceaux ?
Après la mélodique intro de « Vacuum fields » assez sympa, on retombe dans le (trop) lourd. Un petit passage parlé a au moins le mérite de changer un peu.
« Living is suffering » ou comment vomir sa haine de vivre avec conviction. Sympa, ça fait headbanger, seulement j’ai l’impression d’écouter le même morceau depuis une demi-heure. Un peu plus sympathique, « The walls of Eryx », plus mid tempo, permet au groupe d’appuyer un peu ses mélodies, et ça fait la différence, bon sang arrêtez les rythmes à 320 bpm à longueur d’album !
« Violent society » et « Becoming the stench » ne changent pas la donne. Même structure des morceaux, intro/couplet/refrain, parfois un break ou un solo. On tourne en rond.
Rien de bien neuf non plus sur « The phantom carriage », on commence sur du death qui tache, on fini sur du death qui tache.
C’est dommage quand même. Les deux premiers morceaux partaient bien, mais ensuite, on a une cascade de piste avec la même structure musicale, les même blast ou riff hyper véloces déchainés. Alors bon oui jouer ça en rythme c’est une prouesse, mais n’oublions pas que la musique est quand même censée apporter un poil de mélodie. Donc nickel pour un concert ou pour refaire une crise d’épilepsie.
Critique : SBM
Note : 4/10
Site du groupe : Site officiel du groupe
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