Chronique
VISION DIVINE - DESTINATION SET TO NOWHERE / Ear Music 2012
En voilà donc, un album bien attend. Attendu car il est pour ainsi dire Le disque qui va faire bouger les choses pour le groupe. Premier point : c’est le second disque avec Fabio Lione au chant (ndlr : second après son retour / quatrième dans la formation) et donc une motivation encore plus forte. Autre point : le nouveau label, fini Scarlett Records, fini Frontiers Records, direction Ear Music – label qui commence à se doter d’une sérieuse liste de bons groupes metal depuis ces deux dernières années. A noter qu’il aura aussi fallu trois ans au groupe pour le sortir. Vous me direz oui mais Fabio était pas mal pris entre Rhapsody of Fire, Kamelot et toutes ces apparitions qu’il fait à droite et à gauche. Trêve de discutaille, destination set to the album !
Le premier titre n’est autre qu’une intro « S’I fosse foco ». Mais attention, un intro délicate et de toute beauté avec à la fin, une annonce pour nous préparer à l’embarquement et donc à l’écoute de l’album. Immédiatement on prend la claque : « The dream maker » débarque avec une bonne nappe de clavier et une batterie bien martelée, avant de rentrer dans un mid tempo puissant où Fabio est tout simplement impressionnant de par son aisance. On continue avec « Beyond the sun and far away » qui est un de mes titres préférés, avec ce refrain accrocheur et porteur, appuyé par cette mélodie de fond légère mais des plus agréables. Son électronique (synthé), ambiance prog et c’est partit pour « The Ark », un morceau endiablé où le groupe délivre un metal de haute volée avec une nouvelle fois un refrain qui met une bonne claque. Au tour maintenant du morceau choisit pour annoncer l’album, et donc utiliser pour le clip vidéo. Je parle bien évidemment de « Mermaids of the moon », un titre plus ouvert, histoire d’attirer le public. Un bon titre avec son intro délicate, le break et ce beat récurent qui te restera encrer dans la tête pendant un moment, avant de rentrer dans une ambiance technique et puissante au refrain standard dans le sens où il est facilement mémorisable. Changement d’ambiance sur « The Lighthouse ». Tempo lent pour débuter, ambiance sombre, puis tout en gardant ce côté sombre, on débarque dans un speed mélodique dans la droite lignée des titres de l’album « Send me an angel », mais avec plus de maturité. Du bonheur quoi.
Le rythme se calme avec « Message to home », une power ballade agréable, bien faite et qui se glisse sans problème dans la track liste. Retour du son électronique, et on repart dans un titre racé et rageur. Ce « The house of the angels » est très varié, alternant passages rapides et posés, avec un refrain boosté et un solo agressif à souhait, sans oublier Fabo qui prend se voix rauque par moments. Pourquoi s’en priver je vous le demande. Pour continuer le plaisir, « The sin is you » se présente, avec cette fois ci une évolution dans un power metal mélodique de haute volée où les lignes de synthé/basse y sont pour beaucoup. On n’en reste pas là bien sur. « Here we die » débarque comme une furie pour retrouver ce mélange de passages rageurs, et passages doux et mélodiques, et ce pour notre plus grand plaisir. Plaisir qui d’ailleurs se terminera par un « Destination set to nowhere », reprenant la rythmique de l’intro : guitare acoustique, une voix chaude et posée – voilà un ballade (outro) de toute beauté et qui termine cette rondelle avec classe.
Conclusion : Quel album ! Très certainement le meilleur du groupe. Maintenant une seule chose à espérer : les voir jouer en France.
Le premier titre n’est autre qu’une intro « S’I fosse foco ». Mais attention, un intro délicate et de toute beauté avec à la fin, une annonce pour nous préparer à l’embarquement et donc à l’écoute de l’album. Immédiatement on prend la claque : « The dream maker » débarque avec une bonne nappe de clavier et une batterie bien martelée, avant de rentrer dans un mid tempo puissant où Fabio est tout simplement impressionnant de par son aisance. On continue avec « Beyond the sun and far away » qui est un de mes titres préférés, avec ce refrain accrocheur et porteur, appuyé par cette mélodie de fond légère mais des plus agréables. Son électronique (synthé), ambiance prog et c’est partit pour « The Ark », un morceau endiablé où le groupe délivre un metal de haute volée avec une nouvelle fois un refrain qui met une bonne claque. Au tour maintenant du morceau choisit pour annoncer l’album, et donc utiliser pour le clip vidéo. Je parle bien évidemment de « Mermaids of the moon », un titre plus ouvert, histoire d’attirer le public. Un bon titre avec son intro délicate, le break et ce beat récurent qui te restera encrer dans la tête pendant un moment, avant de rentrer dans une ambiance technique et puissante au refrain standard dans le sens où il est facilement mémorisable. Changement d’ambiance sur « The Lighthouse ». Tempo lent pour débuter, ambiance sombre, puis tout en gardant ce côté sombre, on débarque dans un speed mélodique dans la droite lignée des titres de l’album « Send me an angel », mais avec plus de maturité. Du bonheur quoi.
Le rythme se calme avec « Message to home », une power ballade agréable, bien faite et qui se glisse sans problème dans la track liste. Retour du son électronique, et on repart dans un titre racé et rageur. Ce « The house of the angels » est très varié, alternant passages rapides et posés, avec un refrain boosté et un solo agressif à souhait, sans oublier Fabo qui prend se voix rauque par moments. Pourquoi s’en priver je vous le demande. Pour continuer le plaisir, « The sin is you » se présente, avec cette fois ci une évolution dans un power metal mélodique de haute volée où les lignes de synthé/basse y sont pour beaucoup. On n’en reste pas là bien sur. « Here we die » débarque comme une furie pour retrouver ce mélange de passages rageurs, et passages doux et mélodiques, et ce pour notre plus grand plaisir. Plaisir qui d’ailleurs se terminera par un « Destination set to nowhere », reprenant la rythmique de l’intro : guitare acoustique, une voix chaude et posée – voilà un ballade (outro) de toute beauté et qui termine cette rondelle avec classe.
Conclusion : Quel album ! Très certainement le meilleur du groupe. Maintenant une seule chose à espérer : les voir jouer en France.
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Site de Vision Divine
Vues : 5728 fois