Chronique
FULLFORCE - NEXT LEVEL / Spv 2012
Attention, la Suède contre attaque. Après un premier effort sortit l’année dernière et simplement nommé « One », voilà que FULLFORCE annonce les choses : NEXT LEVEL. Certes le premier album est bien bon, mais de là choisir un titre comme Next Level, c’est un peu audacieux. Remarque, les français d’Heavenly avaient fait mieux avec un second album intitulé « Sign Of The Winner » (très bon album soit-il dit en passant).
Autre chose, la pochette de l’album. On prend la première, on garde le soldat et le logo, on change l’arrière plan et le tour est joué. Fainéants ? Peux être, mais en tout cas ils gardent la ligne et ça le fait plutôt bien.
L’album commence donc avec un titre nommé « Broken Dreams », débutant sur les chapeaux de roue. Gros son, et un titre qui envoie bien. Enfin, un titre qui pourrait être une évolution musclée d’un titre d’Edguy sur leur album ‘Mandrake’. Vous comprendrez quand vous entendrez le refrain. Quoi qu’il en soit, la mise en bouche est bien bonne. On arrête le côté léger à la Tobbias Sammet, et on rentre dans du groupe metal rock avec « Break it, crack it, destroy it » qui même si son tempo est plutôt lent, vous mettra une grosse baffe entre sa basse lourde et agressive, et ses mélodies en plus pour agrémenter le tout. « Back to life » continue dans cette lignée, pour nous offrir un titre puissant et agressif, boosté par des chœurs donnant encore plus d’ampleur à Mike. Changement complet d’ambiance sur « A night to remember ». Vous l’aurez peut-être deviné de par son nom, il s’agit d’une power ballade, avec un refrain aux paroles simples mais putain qu’est-ce que c’est efficace ; surtout avec cette ligne de fond. Finit la galanterie, maintenant on reprend les choses sérieuses et c’est partit pour du speed prog endiablé sur ce « Karma ». Cette ambiance sombre et racée nous propulse dans une seule envie : headbanging ! Un titre qui sur scène fera mal. On garde le côté prog et on vire le côté speed sur ce « Whispers ». C’est posé sur les couplets et ça bourrine sur un refrain mémorable. Un des meilleurs, si ce n’est le meilleur, titre de l’album.
Après cette déferlante, le groupe nous suggère une ballade pure et dure : « Smile at the world ». Guitare acoustique, voix langoureuse, harmonies. Un titre de pure romance. Ce n’est pas tout, mais il faut reprendre du service et quoi de mieux que de le faire avec grandeur sur ce « Hate love drop it ». Une sorte de neo prog sombre et envolé, où les deux Stefan (guitares) nous la régalent avec des riffs de tueurs. « Visions » débarque lentement mais surement, un riff et c’est partit pour un heavy mélodique trippant, agrémenté d’une nappe de clavier bien sympathique. Ready to Rumble ? Alors voilà « Course of life », un gros heavy rock posé mais qui ne vous laissera certainement pas indifférent. On continue dans la même lignée avec « Awesomeness », une suite logique et sans grande surprise, mais qui le fait bien quand même, avec un bon point sur son refrain. « Mysterious ways » calme le jeu et nous plonge dans un titre posé avec des vertus prog, un peu comme sur leur premier album. Pour terminer l’album, le groupe nous offre une nouvelle ballade acoustique « Strongest thing of all ». Bien jolie il faut le dire, mais prévisible.
Conclusion : NEXT LEVEL ? Il est certain que le groupe est allé de l’avant en nous proposant un bien bon second album qui se laisse écouter avec aisance. Grosse production, grosse équipe, maintenant il ne faudra pas manquer la troisième marche et éviter ces influences comme Edguy, Pagan’s Mind entre autres.
Autre chose, la pochette de l’album. On prend la première, on garde le soldat et le logo, on change l’arrière plan et le tour est joué. Fainéants ? Peux être, mais en tout cas ils gardent la ligne et ça le fait plutôt bien.
L’album commence donc avec un titre nommé « Broken Dreams », débutant sur les chapeaux de roue. Gros son, et un titre qui envoie bien. Enfin, un titre qui pourrait être une évolution musclée d’un titre d’Edguy sur leur album ‘Mandrake’. Vous comprendrez quand vous entendrez le refrain. Quoi qu’il en soit, la mise en bouche est bien bonne. On arrête le côté léger à la Tobbias Sammet, et on rentre dans du groupe metal rock avec « Break it, crack it, destroy it » qui même si son tempo est plutôt lent, vous mettra une grosse baffe entre sa basse lourde et agressive, et ses mélodies en plus pour agrémenter le tout. « Back to life » continue dans cette lignée, pour nous offrir un titre puissant et agressif, boosté par des chœurs donnant encore plus d’ampleur à Mike. Changement complet d’ambiance sur « A night to remember ». Vous l’aurez peut-être deviné de par son nom, il s’agit d’une power ballade, avec un refrain aux paroles simples mais putain qu’est-ce que c’est efficace ; surtout avec cette ligne de fond. Finit la galanterie, maintenant on reprend les choses sérieuses et c’est partit pour du speed prog endiablé sur ce « Karma ». Cette ambiance sombre et racée nous propulse dans une seule envie : headbanging ! Un titre qui sur scène fera mal. On garde le côté prog et on vire le côté speed sur ce « Whispers ». C’est posé sur les couplets et ça bourrine sur un refrain mémorable. Un des meilleurs, si ce n’est le meilleur, titre de l’album.
Après cette déferlante, le groupe nous suggère une ballade pure et dure : « Smile at the world ». Guitare acoustique, voix langoureuse, harmonies. Un titre de pure romance. Ce n’est pas tout, mais il faut reprendre du service et quoi de mieux que de le faire avec grandeur sur ce « Hate love drop it ». Une sorte de neo prog sombre et envolé, où les deux Stefan (guitares) nous la régalent avec des riffs de tueurs. « Visions » débarque lentement mais surement, un riff et c’est partit pour un heavy mélodique trippant, agrémenté d’une nappe de clavier bien sympathique. Ready to Rumble ? Alors voilà « Course of life », un gros heavy rock posé mais qui ne vous laissera certainement pas indifférent. On continue dans la même lignée avec « Awesomeness », une suite logique et sans grande surprise, mais qui le fait bien quand même, avec un bon point sur son refrain. « Mysterious ways » calme le jeu et nous plonge dans un titre posé avec des vertus prog, un peu comme sur leur premier album. Pour terminer l’album, le groupe nous offre une nouvelle ballade acoustique « Strongest thing of all ». Bien jolie il faut le dire, mais prévisible.
Conclusion : NEXT LEVEL ? Il est certain que le groupe est allé de l’avant en nous proposant un bien bon second album qui se laisse écouter avec aisance. Grosse production, grosse équipe, maintenant il ne faudra pas manquer la troisième marche et éviter ces influences comme Edguy, Pagan’s Mind entre autres.
Critique : Lionel
Note : 8/10
Site du groupe : Site de Fullforce
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