Chronique
LEAVE\'S EYES - SYMPHONIES OF THE NIGHT / Napalm Records 2013
Après un « Meredead » plutôt moyen et critique, LEAVE’S EYES revient après deux ans, toujours chez Napalm Records, avec ce « Symphonies of the Night ». Moyen si ces deux années ont apporté de la maturité, retrouverons-nous la grandeur passée ?
Après une intro sympathique, une grosse orchestration, un gros riff une grosse voix, « Hell to the Heavens » se lance. Le couplet est plutôt calme, la voix cristalline de Liv bien mise en avant, les chœurs chamboulent tout sur le refrain dantesque ! On croirait du Nightwish par moment, et ça claque vraiment bien !
On accélère un peu le rythme avec « Fading Away ». Riff mélodieux d’intro, bonne cadence de guitare sur le couplet, mais avec des lignes de chant moyennes sur le refrain, ce qui est dommage car la voix est toujours aussi agréable à l’oreille.
Intro mid-tempo, qui bluffe vu que le morceau est assez énervé avec le chant grunt d’Alexander. C’est ainsi plus sombre mais toujours entrecoupé de moments très lyriques que se déroule « Maid of Lorraine » qui passe très bien grâce à ce contraste.
Assez surprenant mais superbe, « Galswintha » est très fort, très entrainant, avec une monté en puissance bien jaugée. Le chant grunt manque d’impact. Mixage ? Maitrise des cordes vocales ? Je ne saurais le dire, mais ça aurait pu mieux rendre. Toujours est-il que le morceau est bien !
Par contre le titre éponyme manque cruellement d’impact. C’est un peu mou, et le refrain manque cruellement de pêche… le couplet est pas catastrophique sans être brillantissime.
« Saint Cecelia », très accès symphonique (donc sans guitares ni batteries et autres instrus métal). On a des orchestrations très bien exécutées, mais ça n’accroche pas. Trop de vocalises, et ça dure trop longtemps…
Ça part pas bien pour « Hymn to the Lone Sand », mais l’arrivé d’un très gros riff change la donne. Le chant d’Alexander donne une bonne claque, on a du bon son ! L’alternance des deux chants, la puissance du morceau, là on a quelque chose ! J’apprécie bien le break de cornemuse précédent le solo ! Touche folk sympa !
« The Angel and the Ghost » est un morceau assez calme, les deux vocalistes se prêtant à un set pseudo théâtral pas inintéressant.
Alors là on se lève tous les gars (et les filles) ! Voila « Eléonore de Provence ». Un bien bel hommage étant donné que le morceau est très réussi. Les orchestrations, les changements de rythme et de voix, les breaks, tout s’agence bien, faisant de ce morceau la pièce épique de l’album. Provençaux soyez fiers !! On enchaine sur une ballade calme histoire de se poser un peu. Ainsi « Nightshade » est musicalement peu attachante mais les lignes de chant envoutantes remontent un peu le niveau.
On fini avec « Ophelia », gros riff, orchestrations bien misent en avant, on sent que le groupe veut essayer de finir en beauté. Le morceau est correct, similaire à ce que l’on a eu en début d’album. La boucle est bouclée.
Bon je suis un peu embêté… L’album est très correct, mais malheureusement, trop commun. J’ai l’impression d’écouter un énième album de métal sympho à chant féminin. Il n’y a rien de nouveau ou exceptionnel, mais attention, encore une fois, l’album est très sympa ! Mais pas assez pour la première division.
Après une intro sympathique, une grosse orchestration, un gros riff une grosse voix, « Hell to the Heavens » se lance. Le couplet est plutôt calme, la voix cristalline de Liv bien mise en avant, les chœurs chamboulent tout sur le refrain dantesque ! On croirait du Nightwish par moment, et ça claque vraiment bien !
On accélère un peu le rythme avec « Fading Away ». Riff mélodieux d’intro, bonne cadence de guitare sur le couplet, mais avec des lignes de chant moyennes sur le refrain, ce qui est dommage car la voix est toujours aussi agréable à l’oreille.
Intro mid-tempo, qui bluffe vu que le morceau est assez énervé avec le chant grunt d’Alexander. C’est ainsi plus sombre mais toujours entrecoupé de moments très lyriques que se déroule « Maid of Lorraine » qui passe très bien grâce à ce contraste.
Assez surprenant mais superbe, « Galswintha » est très fort, très entrainant, avec une monté en puissance bien jaugée. Le chant grunt manque d’impact. Mixage ? Maitrise des cordes vocales ? Je ne saurais le dire, mais ça aurait pu mieux rendre. Toujours est-il que le morceau est bien !
Par contre le titre éponyme manque cruellement d’impact. C’est un peu mou, et le refrain manque cruellement de pêche… le couplet est pas catastrophique sans être brillantissime.
« Saint Cecelia », très accès symphonique (donc sans guitares ni batteries et autres instrus métal). On a des orchestrations très bien exécutées, mais ça n’accroche pas. Trop de vocalises, et ça dure trop longtemps…
Ça part pas bien pour « Hymn to the Lone Sand », mais l’arrivé d’un très gros riff change la donne. Le chant d’Alexander donne une bonne claque, on a du bon son ! L’alternance des deux chants, la puissance du morceau, là on a quelque chose ! J’apprécie bien le break de cornemuse précédent le solo ! Touche folk sympa !
« The Angel and the Ghost » est un morceau assez calme, les deux vocalistes se prêtant à un set pseudo théâtral pas inintéressant.
Alors là on se lève tous les gars (et les filles) ! Voila « Eléonore de Provence ». Un bien bel hommage étant donné que le morceau est très réussi. Les orchestrations, les changements de rythme et de voix, les breaks, tout s’agence bien, faisant de ce morceau la pièce épique de l’album. Provençaux soyez fiers !! On enchaine sur une ballade calme histoire de se poser un peu. Ainsi « Nightshade » est musicalement peu attachante mais les lignes de chant envoutantes remontent un peu le niveau.
On fini avec « Ophelia », gros riff, orchestrations bien misent en avant, on sent que le groupe veut essayer de finir en beauté. Le morceau est correct, similaire à ce que l’on a eu en début d’album. La boucle est bouclée.
Bon je suis un peu embêté… L’album est très correct, mais malheureusement, trop commun. J’ai l’impression d’écouter un énième album de métal sympho à chant féminin. Il n’y a rien de nouveau ou exceptionnel, mais attention, encore une fois, l’album est très sympa ! Mais pas assez pour la première division.
Critique : SBM
Note : 7/10
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