Chronique
CIRCUS MAXIMUS – THE FIRST CHAPTER / Frontiers Records 2005
Il y a cinq ans de cela, nos ‘voisins’ norvégiens complétaient le line-up du groupe Circus Maximus. Aujourd’hui les voilà chez Frontiers après pas mal d’effort, pour un premier album qui risque d’en surprendre plus d’un à mon avis. La production de l’album a été faite par Mr Tommy Hansen (Helloween, Pretty Maids, Heavenly) histoire d’étayer le tout comme il le faut.
Pas de chichis, on rentre directement dans le vif du sujet avec une superbe basse bien direct appuyée par une ambiance orientale légère et planante pour ce premier morceau « Sin ». Petit bruitage et Michael Eriksen vient poser sa voix sur dans cette ambiance progressive remplie de mélodies et de douceur tout en gardant une bonne énergie. Un morceau mélangeant du Symphony X (SX) et du Dream Theater.
Un titre annonciateur qu’est « Alive ». Une arrivée avec batterie et synthé pour une ambiance sereine et toujours très prog. Niveau chant, la voix est un poil moins aigu mais reste toujours superbe et envoûtante me rappelant par moment Joey Tempest (Europe). Quelques chœurs viennent se faire entendre, le solo guitare est doux et mélodique avant une remontée musicale pour notre plus grand plaisir.
Aller, pour tout album prog il faut bien des morceaux longs et voici le premier qui fait 10 minutes et se nomme « Glory Of The Empire ». La guitare sèche s’occupe d’ouvrir le bal, le synthé déploie une nappe de douceur mélodique en fond et le tout continue son chemin doucement dans cet esprit là. Et d’un coup la puissance reprend ses droits avec une arrivée qui ne laisse pas indifférente. Un break, et hop la voix arrive pour poursuivre sur ce morceau enchanteur.
On continue avec « Biosfear » (un beau jeu de mot) qui arrive tel un meurtrier en furie avec un déluge de riffs perçants. L’ambiance se clame mais reste agressive histoire de nous faire encore plus palpiter. Un bien beau titre instrumental qui te fait bien triper tout au long de ses 5 min.
Pour « Silence From angels Above », même punition. La pluie et le tonnerre ouvrent le bal, la pluie tombe derrière la guitare et la superbe voix (calme) de Michael. Une mélodie magique s’empare de nous et nous fait trembler lors de cette ballade enchanteresse. C’est énorme tout simplement.
Au tour de « Why Am I Here » maintenant qui lui n’arien à voir avec une ballade mais qui serait plutôt un morceau de prog power d’enfer. Ca arrive avec acharnement, basse en avant pour nous remettre dans le bain après la ballade. Et l’effet fonctionne parfaitement. On se réveille et on est pris dans ce tourbillon de musique jouée de très belle manière.
Il en faut toujours une dans les histoires, et bien la voilà « The Prophecy » qui arrive telle une histoire contée par un devin. Le calme, la magie du récit, pour nous faire partir dans l’imagination et le rêve le plus totale pour ce morceau encore une fois très mélodieux accompagné par des chœurs et une ambiance de toute beauté. Un break et on monte un peu le tempo pour un passage déjanté.
Et voilà maintenant le morceau épique de l’album qui est aussi le titre track « The 1st Chapter ». Il faut dire qu’il ne fait que 19min… C’était ironique bien sur. La présentation est très sombre et agressive, avec trompettes à la Star Wars (John Williams). A croire que Darth Vador arrive avec ses troupes. Un morceau qui vaut le « Odyssey » de SX, je vous le dit. C’est vraiment la tuerie. Pour la deuxième partie de se titre, c’est la guitare qui prend les choses en main dans un mouvement de folie et attaque nos oreilles avec des riffs fusant de tous les côtés, le synthé vient s’en mêler pour plus d’harmonies encore. Des chœurs en fond pour la chaire de poule. Nos norvégiens se lâchent et se font bien plaisir. Le rendu est énorme. Maintenant c’est au tour du chant de prendre les rennes et de se faire entendre sur un mid tempo de toute beauté.
Normalement le dernier morceau, et bien non ; il y a le bonus track « Haunted Dreams ». Synthé pour commencer et on dirait Helloween sur la période Keepers 1 & 2. Mais je ne m’en plaindrait pas. Niveau chant, et bien on se croirait avec Michael Kiske, comme par hasard.
Conclusion : un premier album d’anthologie à acheter immédiatement car même ceux qui n’aiment pas trop le prog à la DT, qui aiment Sympho vont être ravis enchantés. Une vraie bombe pour un premier opus. La barre a été mise très haute et les autres groupes vont devoir s’accrocher car Circus Maximus a bel et bien sa place à côté de DT et SX.
Pas de chichis, on rentre directement dans le vif du sujet avec une superbe basse bien direct appuyée par une ambiance orientale légère et planante pour ce premier morceau « Sin ». Petit bruitage et Michael Eriksen vient poser sa voix sur dans cette ambiance progressive remplie de mélodies et de douceur tout en gardant une bonne énergie. Un morceau mélangeant du Symphony X (SX) et du Dream Theater.
Un titre annonciateur qu’est « Alive ». Une arrivée avec batterie et synthé pour une ambiance sereine et toujours très prog. Niveau chant, la voix est un poil moins aigu mais reste toujours superbe et envoûtante me rappelant par moment Joey Tempest (Europe). Quelques chœurs viennent se faire entendre, le solo guitare est doux et mélodique avant une remontée musicale pour notre plus grand plaisir.
Aller, pour tout album prog il faut bien des morceaux longs et voici le premier qui fait 10 minutes et se nomme « Glory Of The Empire ». La guitare sèche s’occupe d’ouvrir le bal, le synthé déploie une nappe de douceur mélodique en fond et le tout continue son chemin doucement dans cet esprit là. Et d’un coup la puissance reprend ses droits avec une arrivée qui ne laisse pas indifférente. Un break, et hop la voix arrive pour poursuivre sur ce morceau enchanteur.
On continue avec « Biosfear » (un beau jeu de mot) qui arrive tel un meurtrier en furie avec un déluge de riffs perçants. L’ambiance se clame mais reste agressive histoire de nous faire encore plus palpiter. Un bien beau titre instrumental qui te fait bien triper tout au long de ses 5 min.
Pour « Silence From angels Above », même punition. La pluie et le tonnerre ouvrent le bal, la pluie tombe derrière la guitare et la superbe voix (calme) de Michael. Une mélodie magique s’empare de nous et nous fait trembler lors de cette ballade enchanteresse. C’est énorme tout simplement.
Au tour de « Why Am I Here » maintenant qui lui n’arien à voir avec une ballade mais qui serait plutôt un morceau de prog power d’enfer. Ca arrive avec acharnement, basse en avant pour nous remettre dans le bain après la ballade. Et l’effet fonctionne parfaitement. On se réveille et on est pris dans ce tourbillon de musique jouée de très belle manière.
Il en faut toujours une dans les histoires, et bien la voilà « The Prophecy » qui arrive telle une histoire contée par un devin. Le calme, la magie du récit, pour nous faire partir dans l’imagination et le rêve le plus totale pour ce morceau encore une fois très mélodieux accompagné par des chœurs et une ambiance de toute beauté. Un break et on monte un peu le tempo pour un passage déjanté.
Et voilà maintenant le morceau épique de l’album qui est aussi le titre track « The 1st Chapter ». Il faut dire qu’il ne fait que 19min… C’était ironique bien sur. La présentation est très sombre et agressive, avec trompettes à la Star Wars (John Williams). A croire que Darth Vador arrive avec ses troupes. Un morceau qui vaut le « Odyssey » de SX, je vous le dit. C’est vraiment la tuerie. Pour la deuxième partie de se titre, c’est la guitare qui prend les choses en main dans un mouvement de folie et attaque nos oreilles avec des riffs fusant de tous les côtés, le synthé vient s’en mêler pour plus d’harmonies encore. Des chœurs en fond pour la chaire de poule. Nos norvégiens se lâchent et se font bien plaisir. Le rendu est énorme. Maintenant c’est au tour du chant de prendre les rennes et de se faire entendre sur un mid tempo de toute beauté.
Normalement le dernier morceau, et bien non ; il y a le bonus track « Haunted Dreams ». Synthé pour commencer et on dirait Helloween sur la période Keepers 1 & 2. Mais je ne m’en plaindrait pas. Niveau chant, et bien on se croirait avec Michael Kiske, comme par hasard.
Conclusion : un premier album d’anthologie à acheter immédiatement car même ceux qui n’aiment pas trop le prog à la DT, qui aiment Sympho vont être ravis enchantés. Une vraie bombe pour un premier opus. La barre a été mise très haute et les autres groupes vont devoir s’accrocher car Circus Maximus a bel et bien sa place à côté de DT et SX.
Critique : Lionel
Note : 9/10
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