Chronique
IMPELLITTERI - VENOM / Frontiers records 2015
Enfin voici le nouvel album de Chris Impellitteri !!! Car il aura fallu attendre 6 trop longues années avant de pourvoir à nouveau jubiler !! Alors amateur de guitare interstellaire tenez vous prêts !! Le maître va parler !!!
L'album débute avec un « Venom » rentre dedans qui montre que notre homme sait toujours y faire en matière de speed qui décape !! Rob Rock est toujours là et délivre son chant avec professionnalisme ! Un très bon départ vite suivi par « Empire of lies » moins speed mais toujours remuant ! Oui notre homme aime le rythme. En tout cas niveau guitare ça shred à fond les ballons pour notre plus grand bonheur !!
Sans rien ralentir « We own the night » fait parler la poudre avec brio. Certes pas le morceau le plus impressionnant mais il fait son petit effet. Changement d’ambiance avec la heavy « Nightmare » qui fait froid dans le dos. Un peu de changement bienvenu.
Début calme pour introniser « Face the enemy » qui par la suite durcit le ton avec un riff dont Chris a le secret ! Un mid tempo puissant qui fait du bien par là où il passe.
Le rythme incendiaire refait surface avec un « Domino theory » speedé qui sera une force en live. Pas de dentelle pas de chichi juste ce qu'il faut pour être efficace, plus un solo à la vitesse de la lumière. Puis « Jehova » arrive à vive allure pour ne pas te quitter un instant. Un titre speed au refrain mystique qui fait un effet boeuf et résonne dans ta tête un bon moment !!
Bon gros riff méchant avec « Rise » qui ne lâche rien et te harcèle le cerveau tels des virus venus prendre possession des lieux !! « Time machine » déboule à fond de vapeur avec ses faux airs de The trooper de la vierge de fer. Une petite bizarrerie mais qui lui donne beaucoup de charme. En plus le refrain est très bon alors pourquoi bouder !!
On termine avec un « Holding on » conventionnel mais efficace. Rien de plus rien de moins
Conclusion : A nouveau Chris aura réussi à nous pondre un opus comme il sait les faire vif, tranchant, armé de solos de tueurs pour le plus grand bonheur de ses fans. Alors certes rien d'innovant voir de nouveau mais bon à ce rythme là il ne risque pas de nous lasser.
L'album débute avec un « Venom » rentre dedans qui montre que notre homme sait toujours y faire en matière de speed qui décape !! Rob Rock est toujours là et délivre son chant avec professionnalisme ! Un très bon départ vite suivi par « Empire of lies » moins speed mais toujours remuant ! Oui notre homme aime le rythme. En tout cas niveau guitare ça shred à fond les ballons pour notre plus grand bonheur !!
Sans rien ralentir « We own the night » fait parler la poudre avec brio. Certes pas le morceau le plus impressionnant mais il fait son petit effet. Changement d’ambiance avec la heavy « Nightmare » qui fait froid dans le dos. Un peu de changement bienvenu.
Début calme pour introniser « Face the enemy » qui par la suite durcit le ton avec un riff dont Chris a le secret ! Un mid tempo puissant qui fait du bien par là où il passe.
Le rythme incendiaire refait surface avec un « Domino theory » speedé qui sera une force en live. Pas de dentelle pas de chichi juste ce qu'il faut pour être efficace, plus un solo à la vitesse de la lumière. Puis « Jehova » arrive à vive allure pour ne pas te quitter un instant. Un titre speed au refrain mystique qui fait un effet boeuf et résonne dans ta tête un bon moment !!
Bon gros riff méchant avec « Rise » qui ne lâche rien et te harcèle le cerveau tels des virus venus prendre possession des lieux !! « Time machine » déboule à fond de vapeur avec ses faux airs de The trooper de la vierge de fer. Une petite bizarrerie mais qui lui donne beaucoup de charme. En plus le refrain est très bon alors pourquoi bouder !!
On termine avec un « Holding on » conventionnel mais efficace. Rien de plus rien de moins
Conclusion : A nouveau Chris aura réussi à nous pondre un opus comme il sait les faire vif, tranchant, armé de solos de tueurs pour le plus grand bonheur de ses fans. Alors certes rien d'innovant voir de nouveau mais bon à ce rythme là il ne risque pas de nous lasser.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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