Chronique
ACE FREHLEY - ORIGINS VOL 1 / Entertainment one music 2016
Notre Space man adoré nous revient pour cette fois ci un album de reprises, qui comme vous l'aurez compris comprendra plusieurs volumes. L'occasion pour notre guitariste de rendre hommage à ceux qui l'ont influencé et d'en profiter entre amis.
On débute cet hommage avec évidement « White room » de Cream qui est une énorme influence d' Ace !! Un titre qui mélange authenticité et personnalité spatiale, très réussi. À la suite le « Street fighting man » des Rolling Stones, plus heavy qu'à l'origine et bien chanté par Ace qui on doit se l'avouer n'a jamais été un grand chanteur !
Premier invité John 5 (Marylin Manson / Rob Zombie) pour reprendre notre maître à tous : Jimi Hendrix et son « Spanish castle magic » . Dur de noter un tel exercice, entre deux personnalités si mystiques. Free est à l'honneur avec son célèbre « Fire and water » qui voit rien de moins que Paul Stanley (Kiss) rejoindre son ancien acolyte pour un moment magique !! Autre grand moment avec le sublime « Emerald » de Thin Lizzy, sur lequel Ace s'en tire bien dans le rôle du regretté Phil Lynott. A noter le grand Slash pour un solo incendiaire en duo avec son idole.
Attention là ça rigole plus, on s'attaque à un de mes titres préférés de la légende Led Zeppelin : « Bring it on home » !!! Un résultat plus que convenable et même Ace est surprenant en Robert Plant ! Une très bonne surprise, très proche de l'original mais comment faire autrement quand c'est déjà si parfait !!?? Place à « Wild thing » des Troops que je découvre en duo avec Litta Ford au chant. Efficace en tout cas.
« Parasite » de Kiss est à l'honneur avec à nouveau Mr John 5. Une relecture intéressante d'un titre un peu oublié mais qui envoie bien. Steppenwolf se voit repris avec « Magic carpet ride » qui change du trop évident 'Bon to be wild'. Un titre purement de son époque qui sent presque la fumette !!
Deuxième titre du Bisou avec « Cold gin » et Mike McCreedy pour un résultat bien rock et qui montre que ce groupe avait de sacrés compos solides et heavy pour son époque !! « Til the end of the day » des Kinks débarque et donne un esprit punk à cet opus bien vu. Puis on termine avec « Rock n roll hell » de Kiss qui tabasse sa mémé !!! Un titre qui je ne sais pourquoi n'a pas plus explosé.
Conclusion : Avec ce premier volume Ace nous propose sa vision des choses qui intéressera ses fans à coup sûr. Une bonne surprise malgré tout.
On débute cet hommage avec évidement « White room » de Cream qui est une énorme influence d' Ace !! Un titre qui mélange authenticité et personnalité spatiale, très réussi. À la suite le « Street fighting man » des Rolling Stones, plus heavy qu'à l'origine et bien chanté par Ace qui on doit se l'avouer n'a jamais été un grand chanteur !
Premier invité John 5 (Marylin Manson / Rob Zombie) pour reprendre notre maître à tous : Jimi Hendrix et son « Spanish castle magic » . Dur de noter un tel exercice, entre deux personnalités si mystiques. Free est à l'honneur avec son célèbre « Fire and water » qui voit rien de moins que Paul Stanley (Kiss) rejoindre son ancien acolyte pour un moment magique !! Autre grand moment avec le sublime « Emerald » de Thin Lizzy, sur lequel Ace s'en tire bien dans le rôle du regretté Phil Lynott. A noter le grand Slash pour un solo incendiaire en duo avec son idole.
Attention là ça rigole plus, on s'attaque à un de mes titres préférés de la légende Led Zeppelin : « Bring it on home » !!! Un résultat plus que convenable et même Ace est surprenant en Robert Plant ! Une très bonne surprise, très proche de l'original mais comment faire autrement quand c'est déjà si parfait !!?? Place à « Wild thing » des Troops que je découvre en duo avec Litta Ford au chant. Efficace en tout cas.
« Parasite » de Kiss est à l'honneur avec à nouveau Mr John 5. Une relecture intéressante d'un titre un peu oublié mais qui envoie bien. Steppenwolf se voit repris avec « Magic carpet ride » qui change du trop évident 'Bon to be wild'. Un titre purement de son époque qui sent presque la fumette !!
Deuxième titre du Bisou avec « Cold gin » et Mike McCreedy pour un résultat bien rock et qui montre que ce groupe avait de sacrés compos solides et heavy pour son époque !! « Til the end of the day » des Kinks débarque et donne un esprit punk à cet opus bien vu. Puis on termine avec « Rock n roll hell » de Kiss qui tabasse sa mémé !!! Un titre qui je ne sais pourquoi n'a pas plus explosé.
Conclusion : Avec ce premier volume Ace nous propose sa vision des choses qui intéressera ses fans à coup sûr. Une bonne surprise malgré tout.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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