Chronique
OPERATION MINDCRIME - RESURECTION / Frontiers records 2016
1 an après la première partie de son nouveau projet Goeff Tate revient nous conter la suite et poursuivre ses envies d'aller de l'avant avec toujours cette pléiade d'invités. Voyons voir si comme je le pense il s'en sort mieux que ses ex compagnons.
Une intro nous accueille : « Resurrection » qui ne fait pas grand chose sauf faire patienter l'auditeur avant que ne commence « When all falls away » qui retrouve le style du groupe. Une instrumentale qui nous met dans l'ambiance avant l'interlude chanté « A moment in time » vite remplacé par « Through the noize » qui fait réellement tarder le début des hostilités ! On s'ennuie plus qu'autre chose à attendre que ça parte enfin !!!! Un début vraiment mauvais !!!!
Et puis enfin avec « Left for dead » les choses sérieuses débutent avec un bon titre certes plutôt calme mais tellement dans l'esprit Tate qu'il fait son effet. Je suis rassuré je commençais sérieusement à me poser des questions sur cette deuxième partie.
A la suite « Miles away » débarque dans une ambiance plus symphonique et spatiale. Un court moment qui voit débarquer « Healing my wounds » toujours très posé et qui fait manquer cruellement de rythme et d'envie à cet album, malgré la volonté évidente du groupe de coller à son histoire.
Avec « The fight » j'espère qu'on va enfin avoir de quoi s’exalter ? Et bien malheureusement non, voici la ballade qui par contre est très réussie. Geoff étant toujours très fort dans ses moments là. Mais c'est pas avec elle qu'on va se lâcher. « Taking on the world », envoie enfin avec de bonnes guitares rock ! Et bien je ne l'attendais plus celle là ! Enfin on va un peu se dégourdir dans ce concept lent et un peu oppressant. Un très bon titre qui fait taper du pied et voit un Mr Tate en très grande forme vocale !!
C'est dans une ambiance étrange que « Invincible » arrive et nous livre un mid tempo très Queensryche (période Promise Land). Une belle pièce musicale. Puis « A smear campaign » arrive et nous offre un titre bizarre auquel j'ai beaucoup de mal à accrocher. Barré et prog au possible.
« Which side you're on » et son ambiance heavy poursuit notre histoire torturée avec brio et toujours cette patte étrange que le sieur Tate insiste à nous livrer. En tout cas il est vraiment en forme vocalement et ça c'est déjà bien. Des percussions intronisent « Into the hands of the world » qui en met plein la tête. Toujours sur une musique mid tempo et ambiante elle coule avec cet aspect sombre et rugueux, dérangeante mais si réussie. A nouveau bien barrée mais recherchée et si gratifiante pour l’âme. On termine cette partie de l’histoire avec « Live from my machine », un titre très ambiant à la Pink Floyd qui nous replonge il y a 20/25 ans quand Queensryche dominait encore le monde.
Conclusion : Après un premier essai sympa mais qui manquait d'unité, cette suite se veut plus étrange : entre un début mou et ambiant et une suite plus habituelle et partiellement réussie. Cet opus nous fait voyager dans les méandres de son maître qui n'a pas fini de nous étonner. Perso malgré tout je trouve la démarche artistique de Goeff Tate bien plus intéressante que celle de Queensryche nouvelle mouture.
Une intro nous accueille : « Resurrection » qui ne fait pas grand chose sauf faire patienter l'auditeur avant que ne commence « When all falls away » qui retrouve le style du groupe. Une instrumentale qui nous met dans l'ambiance avant l'interlude chanté « A moment in time » vite remplacé par « Through the noize » qui fait réellement tarder le début des hostilités ! On s'ennuie plus qu'autre chose à attendre que ça parte enfin !!!! Un début vraiment mauvais !!!!
Et puis enfin avec « Left for dead » les choses sérieuses débutent avec un bon titre certes plutôt calme mais tellement dans l'esprit Tate qu'il fait son effet. Je suis rassuré je commençais sérieusement à me poser des questions sur cette deuxième partie.
A la suite « Miles away » débarque dans une ambiance plus symphonique et spatiale. Un court moment qui voit débarquer « Healing my wounds » toujours très posé et qui fait manquer cruellement de rythme et d'envie à cet album, malgré la volonté évidente du groupe de coller à son histoire.
Avec « The fight » j'espère qu'on va enfin avoir de quoi s’exalter ? Et bien malheureusement non, voici la ballade qui par contre est très réussie. Geoff étant toujours très fort dans ses moments là. Mais c'est pas avec elle qu'on va se lâcher. « Taking on the world », envoie enfin avec de bonnes guitares rock ! Et bien je ne l'attendais plus celle là ! Enfin on va un peu se dégourdir dans ce concept lent et un peu oppressant. Un très bon titre qui fait taper du pied et voit un Mr Tate en très grande forme vocale !!
C'est dans une ambiance étrange que « Invincible » arrive et nous livre un mid tempo très Queensryche (période Promise Land). Une belle pièce musicale. Puis « A smear campaign » arrive et nous offre un titre bizarre auquel j'ai beaucoup de mal à accrocher. Barré et prog au possible.
« Which side you're on » et son ambiance heavy poursuit notre histoire torturée avec brio et toujours cette patte étrange que le sieur Tate insiste à nous livrer. En tout cas il est vraiment en forme vocalement et ça c'est déjà bien. Des percussions intronisent « Into the hands of the world » qui en met plein la tête. Toujours sur une musique mid tempo et ambiante elle coule avec cet aspect sombre et rugueux, dérangeante mais si réussie. A nouveau bien barrée mais recherchée et si gratifiante pour l’âme. On termine cette partie de l’histoire avec « Live from my machine », un titre très ambiant à la Pink Floyd qui nous replonge il y a 20/25 ans quand Queensryche dominait encore le monde.
Conclusion : Après un premier essai sympa mais qui manquait d'unité, cette suite se veut plus étrange : entre un début mou et ambiant et une suite plus habituelle et partiellement réussie. Cet opus nous fait voyager dans les méandres de son maître qui n'a pas fini de nous étonner. Perso malgré tout je trouve la démarche artistique de Goeff Tate bien plus intéressante que celle de Queensryche nouvelle mouture.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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