Chronique
SEPTICFLESH - CODEX OMEGA / Season of Mist 2017
Oh my god… Voilà. Vous voulez que je développe ? Oui ça faisait un poil léger…
Aujourd’hui je vais vous parler des titans (ahah!) du death métal symphonique, que je ne présente plus tant leur notoriété est grande.
Après un « Titan » très bon mais qui n’a pas mis la claque ultime qu’était « The Great Mass » je suis donc curieux de découvrir ce que vont nous pondre les génies grecs de SEPTICFLESH.
Je voudrais avant tout dire un mot sur la pochette que je trouve absolument sublime. Seth a fait son plus beau travail sur « Codex Omega ». Je suis absolument fan !
Alors que dire de l’album ? Tout d’abord, le groupe sait toujours faire du death métal. Tout au long de l’album vous mangerez du blast, des bons gros riffs saccadés ou véloces, lourds à souhait. Et la voix de Seth toujours aussi grave et puissante transcende le tout ! Écoutez le matraquage sur le refrain de « Dante’s Inferno » ou l’intro de « 3rd Testament » et vous comprendrez que ce n’est pas parce que le groupe s’est mis au symphonique qu’il a adouci son métal, bien au contraire.
Sur « Codex Omega » SEPTICFLESH n’a jamais sonné aussi sombre et lourds. On sent un peu l’ambiance ressentie sur « The Great Mass » mais en plus violent.
Bon ça s’était la partie un. Ce qui change surtout sur cet opus c’est le travail dantesque, magnifique, sublime (oui promis j’arrête avec les hyperbole) de Christos sur l’orchestre. En plus d’être le guitariste du groupe, Christos a fait le conservatoire de Londres… Alors autant dire qu’il sait ce qu’il fait.
Déjà sur les deux précédents opus, il avait réussi à insuffler à leur musique une dimension épique sans trop en faire. Le dose d’orchestration est subtile, légère, elle s’imbrique à la perfection dans la musique du groupe. Mais là il s’est lâché ! Les orchestrations sont bien plus puissantes, plus présentes, ce qui rajoute une énorme dose de punch à des compositions qui était déjà fracassantes. Écoutez « Portrait of a Headless Man », « Dark Art » ou « Faceless Queen » vous entendrez l’orchestre comme jamais. Et encore une fois, bien que plus présent il prend pas toute la place. Ça reste du second plan.
C’est là que je trouve le boulot absolument magistral Moi qui aime le classique et les orchestrations, je trouve que SEPTICFLESH est arrivé à l’osmose parfaite.
Seul bémol… « Our Church, Below The Sea » est un peu moins percutant et casse la lancée de l’album sur la fin. Mais tout le reste est juste trop beau, trop violent, trop puissant, bref jouissif.
Donc comme je disais : « Oh my god » !!! L’attente valait le coup. Le groupe passe un nouveau cap, étend sa suprématie, et prouve qu’ils ont du talent à revendre ! Roh cette claque !! Mais alors… que vont-il faire après ça ? Je n’en ai pas la moindre idée mais j’ai déjà hâte de le découvrir !!
Et pour ceux qui ont l’album, écoutez le CD bonus avec les versions orchestrales, c’est une musique d’une noire beauté d’une qualité exceptionnelle.
Aujourd’hui je vais vous parler des titans (ahah!) du death métal symphonique, que je ne présente plus tant leur notoriété est grande.
Après un « Titan » très bon mais qui n’a pas mis la claque ultime qu’était « The Great Mass » je suis donc curieux de découvrir ce que vont nous pondre les génies grecs de SEPTICFLESH.
Je voudrais avant tout dire un mot sur la pochette que je trouve absolument sublime. Seth a fait son plus beau travail sur « Codex Omega ». Je suis absolument fan !
Alors que dire de l’album ? Tout d’abord, le groupe sait toujours faire du death métal. Tout au long de l’album vous mangerez du blast, des bons gros riffs saccadés ou véloces, lourds à souhait. Et la voix de Seth toujours aussi grave et puissante transcende le tout ! Écoutez le matraquage sur le refrain de « Dante’s Inferno » ou l’intro de « 3rd Testament » et vous comprendrez que ce n’est pas parce que le groupe s’est mis au symphonique qu’il a adouci son métal, bien au contraire.
Sur « Codex Omega » SEPTICFLESH n’a jamais sonné aussi sombre et lourds. On sent un peu l’ambiance ressentie sur « The Great Mass » mais en plus violent.
Bon ça s’était la partie un. Ce qui change surtout sur cet opus c’est le travail dantesque, magnifique, sublime (oui promis j’arrête avec les hyperbole) de Christos sur l’orchestre. En plus d’être le guitariste du groupe, Christos a fait le conservatoire de Londres… Alors autant dire qu’il sait ce qu’il fait.
Déjà sur les deux précédents opus, il avait réussi à insuffler à leur musique une dimension épique sans trop en faire. Le dose d’orchestration est subtile, légère, elle s’imbrique à la perfection dans la musique du groupe. Mais là il s’est lâché ! Les orchestrations sont bien plus puissantes, plus présentes, ce qui rajoute une énorme dose de punch à des compositions qui était déjà fracassantes. Écoutez « Portrait of a Headless Man », « Dark Art » ou « Faceless Queen » vous entendrez l’orchestre comme jamais. Et encore une fois, bien que plus présent il prend pas toute la place. Ça reste du second plan.
C’est là que je trouve le boulot absolument magistral Moi qui aime le classique et les orchestrations, je trouve que SEPTICFLESH est arrivé à l’osmose parfaite.
Seul bémol… « Our Church, Below The Sea » est un peu moins percutant et casse la lancée de l’album sur la fin. Mais tout le reste est juste trop beau, trop violent, trop puissant, bref jouissif.
Donc comme je disais : « Oh my god » !!! L’attente valait le coup. Le groupe passe un nouveau cap, étend sa suprématie, et prouve qu’ils ont du talent à revendre ! Roh cette claque !! Mais alors… que vont-il faire après ça ? Je n’en ai pas la moindre idée mais j’ai déjà hâte de le découvrir !!
Et pour ceux qui ont l’album, écoutez le CD bonus avec les versions orchestrales, c’est une musique d’une noire beauté d’une qualité exceptionnelle.
Critique : SBM
Note : 9.5/10
Site du groupe : Site Officiel
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