Chronique
SHAKRA – FALL / AFM Records 2005
Après un très bon ‘Rising’ en 2003 et un cd/dvd live l’année dernière, voilà que nos voisins suisses arrivent avec un nouvel album intitulé ‘Fall’ pour une sortie en automne… Une idée simple mais assez rigolote. Que va-t-il en être de l’album par contre ?
Aller c’est parti pour la nouvelle saison où les feuilles tombent. On attaque de suite avec « Chains of temptation » qui ne fait pas dans la dentelle. Niveau guitare, il y a des relents de Nirvana mais pas pour longtemps. En effet, un mid tempo se met en place avec des riffs heavy, et une voix posée. Un bon titillement des oreilles pour ouvrir l’album.
Changement de direction avec « Out of control » qui arrive bien puissant et accrocheur avec un Mark qui explose avec sa superbe voix, unique il faut le dire. Un heavy germanique est en place, le refrain est simple mais te rentre direct dans la tête.
On enchaîne avec le titre mise en avant par le label, c'est-à-dire « Take me now ». Autant vous dire qu’il me fait énormément penser à leur superbe morceau « Now Or Never » (album Rising). Un heavy lent mais agressif et toujours cette voix hallucinante agrémentée par des voix de fond et quelques rires bien lourds. Les riffs à la guitare sonnent bien et réveillent bien.
« All or nothing » arrive plus calmement avec de monter en énergie toujours porter par ce côté musical efficace auquel nous a habitué le groupe : du bon.
Aller, c’est parti pour un ballade « How it feels » qui risque d’en porter plus d’un(e). En effet la guitare acoustique accompagnée par l’électrique et les autres instruments, donnent une nouvelle dimension à la chanson. Et quel solo !
Au tour du titre track « Fall » et fini le repos. Retour dans un rock posé mais bien efficace alternant puissance et douceur. Un medley assez classique mais qui fait toujours autant d’effet.
Voilà le morceau le plus long de l’album avec ses 7min. Il se nomme « Walk on water » et risque d’en scotcher plus d’un. Le power heavy metal reprend ses droits et risque de faire tomber plus d’une feuille tant il secoue. Le refrain à l’effet d’une bombe, les riffs stylés années 90 percutent bien, tout comme la batterie il faut le dire.
Et oui, c’est le problème des femmes, une fois qu’on y est attaché, c’est une drogue. C’est bien ce que nous dit « She’s my ecstasy ». La guitare ouvre le bal avec des riffs accrocheurs, Mark vient poser sa voix pour nous faire comprendre qu’il n’y a pas de dentelle ici. Ca bouge et on se laisse porter par la musique sans hésitation aucune.
« Make it alright » se présente avec une extrême douceur avant de se transformer en mid tempo très 90’s et un poil Gun’s and Roses. Un bon mélange d’idées qui une nouvelle fois fait mouche.
Et hop, c’est au tour de « Nightlife » qui par contre change de registre et vient percuter nos oreilles avec son heavy dynamique et entraînant. D’ailleurs « Do you know » ne se fera pas prier aussi. Une bonne dose d’énergie est absorbée et diffusée à travers la musique.
On finit la rondelle avec le titre « Immortal » qui lui arrive très calmement histoire de pas nous brusquer sur la fin, et d’apprécier un maximum cette fin : en douceur. Un vrai régal.
Conclusion : les vaches n’ont qu’à se tenir à carreau car nos voisins, les petits suisses, nous délivrent un album sans matières grasses, et nous proposent plutôt un album plein de muscles et de vitalité, bien que parfois un peu trop proche du ‘Rising’. Mais bon on ne s’en plaindra pas.
Aller c’est parti pour la nouvelle saison où les feuilles tombent. On attaque de suite avec « Chains of temptation » qui ne fait pas dans la dentelle. Niveau guitare, il y a des relents de Nirvana mais pas pour longtemps. En effet, un mid tempo se met en place avec des riffs heavy, et une voix posée. Un bon titillement des oreilles pour ouvrir l’album.
Changement de direction avec « Out of control » qui arrive bien puissant et accrocheur avec un Mark qui explose avec sa superbe voix, unique il faut le dire. Un heavy germanique est en place, le refrain est simple mais te rentre direct dans la tête.
On enchaîne avec le titre mise en avant par le label, c'est-à-dire « Take me now ». Autant vous dire qu’il me fait énormément penser à leur superbe morceau « Now Or Never » (album Rising). Un heavy lent mais agressif et toujours cette voix hallucinante agrémentée par des voix de fond et quelques rires bien lourds. Les riffs à la guitare sonnent bien et réveillent bien.
« All or nothing » arrive plus calmement avec de monter en énergie toujours porter par ce côté musical efficace auquel nous a habitué le groupe : du bon.
Aller, c’est parti pour un ballade « How it feels » qui risque d’en porter plus d’un(e). En effet la guitare acoustique accompagnée par l’électrique et les autres instruments, donnent une nouvelle dimension à la chanson. Et quel solo !
Au tour du titre track « Fall » et fini le repos. Retour dans un rock posé mais bien efficace alternant puissance et douceur. Un medley assez classique mais qui fait toujours autant d’effet.
Voilà le morceau le plus long de l’album avec ses 7min. Il se nomme « Walk on water » et risque d’en scotcher plus d’un. Le power heavy metal reprend ses droits et risque de faire tomber plus d’une feuille tant il secoue. Le refrain à l’effet d’une bombe, les riffs stylés années 90 percutent bien, tout comme la batterie il faut le dire.
Et oui, c’est le problème des femmes, une fois qu’on y est attaché, c’est une drogue. C’est bien ce que nous dit « She’s my ecstasy ». La guitare ouvre le bal avec des riffs accrocheurs, Mark vient poser sa voix pour nous faire comprendre qu’il n’y a pas de dentelle ici. Ca bouge et on se laisse porter par la musique sans hésitation aucune.
« Make it alright » se présente avec une extrême douceur avant de se transformer en mid tempo très 90’s et un poil Gun’s and Roses. Un bon mélange d’idées qui une nouvelle fois fait mouche.
Et hop, c’est au tour de « Nightlife » qui par contre change de registre et vient percuter nos oreilles avec son heavy dynamique et entraînant. D’ailleurs « Do you know » ne se fera pas prier aussi. Une bonne dose d’énergie est absorbée et diffusée à travers la musique.
On finit la rondelle avec le titre « Immortal » qui lui arrive très calmement histoire de pas nous brusquer sur la fin, et d’apprécier un maximum cette fin : en douceur. Un vrai régal.
Conclusion : les vaches n’ont qu’à se tenir à carreau car nos voisins, les petits suisses, nous délivrent un album sans matières grasses, et nous proposent plutôt un album plein de muscles et de vitalité, bien que parfois un peu trop proche du ‘Rising’. Mais bon on ne s’en plaindra pas.
Critique : Lionel
Note : 8/10
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