Chronique
SOUL DOCTOR – FOR A FISTUFUL OF DOLLARS / FRONTIERS RECORDS 2005
Cela faisait déjà un petit moment que l’on attendait la sortie de ce troisième opus du docteur de l’âme, car après un extraordinaire ‘System go wild” la bande à Tommy Heart devait frapper un grand coup pour réellement prétendre au poste de grand groupe plus que de simple side project.
Donc le voici arrivé et première chose que l’on peut constater c’est que le groupe se la joue western américain (à l’instar de Thunder) avec leur tronche placardée comme les malfras recherchés, mais quand est il de la musique ?
Intro très moderne pour « Eatin’ on me » puis c’est dans un esprit plus habituel que ce titre continue. La voix de Tommy n’a rien perdue de sa puissance ni de son charme. Le refrain quand à lui me rappel pas mal Aerosmith. Une bonne entrée en matière. Début en acoustique avec un harmonica pour la pechue « Best way to fade » qui poursuit dans un hard chaud et entraînant. Il est vrai que l’on pourrait reprocher au groupe de rester dans un style sans aller plus loin mais cela reste très bon quand même.
« Under your skin » poursuit sans broncher dans un titre à nouveau bien rentre dedans dur pur hard rock qui fait un bien fou.
La première ballade se nome « Remember ». Une jolie intro au piano comme on à put en trouver dans Fair Warning (l’ex groupe de Tommy Heart). Un style bien ricain lorgne sur cette ballade. Bien sympa. Petit coté bluesy pour « Where do we go » qui laisse transpirer l’amour du rock américain chez les Allemands. Une nouvelle fois rien de bien nouveau mais un bon moment.
« Ten second of love » et son armada de cuivres qui pulse ce titre chaud bouillant. Cette fois ci aussi le nom d’Aerosmith me vient à l’esprit, tout comme avec « She’s mine » un mid tempo qui sonne bien, les cuivres apportent pas mal à ces compos sorties des USA.
Encore une intro digne d’Aerosmith (grosse influence ?) qui me rappel Fine (Pump) pour « The trigger (goni’downhill) une nouvelle fois un très bon titre de hard, qui te fait taper du pied, et « Give me a ride (the ride) » ne t’offrira aucun répit. Un refrain calibré tout comme ce titre pour le live.
Pour terminer la bonne vieille ballade western, harmonica guitare sèche et esprit Bon Jovi. Un titre à écouter en pansant au longue virée le long de la route 66.
Conclusion : Soul Doctor nous sort là un album qui décape, dans la droite lignée de son prédécesseur. Seul reproche le manque de risque qui pourra lui nuire s’il persiste dans cette direction. Au final un très bon album de pur Hard rock bien ricain avec une grand H.
Donc le voici arrivé et première chose que l’on peut constater c’est que le groupe se la joue western américain (à l’instar de Thunder) avec leur tronche placardée comme les malfras recherchés, mais quand est il de la musique ?
Intro très moderne pour « Eatin’ on me » puis c’est dans un esprit plus habituel que ce titre continue. La voix de Tommy n’a rien perdue de sa puissance ni de son charme. Le refrain quand à lui me rappel pas mal Aerosmith. Une bonne entrée en matière. Début en acoustique avec un harmonica pour la pechue « Best way to fade » qui poursuit dans un hard chaud et entraînant. Il est vrai que l’on pourrait reprocher au groupe de rester dans un style sans aller plus loin mais cela reste très bon quand même.
« Under your skin » poursuit sans broncher dans un titre à nouveau bien rentre dedans dur pur hard rock qui fait un bien fou.
La première ballade se nome « Remember ». Une jolie intro au piano comme on à put en trouver dans Fair Warning (l’ex groupe de Tommy Heart). Un style bien ricain lorgne sur cette ballade. Bien sympa. Petit coté bluesy pour « Where do we go » qui laisse transpirer l’amour du rock américain chez les Allemands. Une nouvelle fois rien de bien nouveau mais un bon moment.
« Ten second of love » et son armada de cuivres qui pulse ce titre chaud bouillant. Cette fois ci aussi le nom d’Aerosmith me vient à l’esprit, tout comme avec « She’s mine » un mid tempo qui sonne bien, les cuivres apportent pas mal à ces compos sorties des USA.
Encore une intro digne d’Aerosmith (grosse influence ?) qui me rappel Fine (Pump) pour « The trigger (goni’downhill) une nouvelle fois un très bon titre de hard, qui te fait taper du pied, et « Give me a ride (the ride) » ne t’offrira aucun répit. Un refrain calibré tout comme ce titre pour le live.
Pour terminer la bonne vieille ballade western, harmonica guitare sèche et esprit Bon Jovi. Un titre à écouter en pansant au longue virée le long de la route 66.
Conclusion : Soul Doctor nous sort là un album qui décape, dans la droite lignée de son prédécesseur. Seul reproche le manque de risque qui pourra lui nuire s’il persiste dans cette direction. Au final un très bon album de pur Hard rock bien ricain avec une grand H.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
Site du groupe : site officiel de Soul Doctor
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