Chronique
CRYSTAL VIPER - THE CULT / Listenable records 2021
Crystal Viper signe son entrée chez Listenable records pour son 8ème album. Ce groupe hyper productif, qui n'a que 15 ans de carrière derrière lui est mené par la chanteuse et guitariste Marta Gabriel. Il travaille un heavy metal traditionnel. Amateur de vintage c'est par ici !
La première impression que laisse ce groupe, c'est qu'il va falloir, pour certains comme moi en tout cas, franchir certaines barrières. Artwork, tracklist, photos en leatherskin avec sa guitare, production allégée, riffing téléphoné, The cult baigne dans tous les clichés du heavy traditionnel. Et précisément dans le début des années 80, quand tout était encore à inventer. Et comme le disait si bien l'ami Albert Einstein, nous ne pouvons pas nous attendre à des résultats différents en manipulant les même idée. L’exécution est donc un facteur déterminant pour déterminer si, oui ou non, ça vaut le coup.
Et pour sûr, les polonais sont très solides sur leur base, et tirent leur force des titres dynamiques entre early thrash et speed melodic qu'il faut citer Down in the crypt, Forgotten land Asenath Waite et Flaring Madness. Ce cortège sonnent comme des classiques du genre, largement inspiré de Manilla road et King Diamond, avec une très bonne exécution, des jeux à deux guitares, des solis qui envoit, et des envolées épiques. La troisième guitare appuie l'ensemble avec la basse pour donner de la consistance, du punch, presque du Ride the lightning.
A l'inverse, les titres plus lents ne laisseront probablement aucun souvenir après l'audition. Les temps fort n'y sont pas marqués et aucune mélodie ne les tire vers le haut, pas plus que le chant d'ailleurs. La stratégie de la tracklist qui consiste à alterner titres lents et titres dynamiques plombe littéralement l'album, si bien que l'album pourrait être réduit du tier.
Si, inévitablement, The cult fera un carton en live grâce à ces titres punchy, il s’essouffle très vite à l'écoute répétée tant il est enfermé dans ses clichés (ah mon dieu les textes !) et peu créatif dans les morceaux les plus lents.
Pour découvrir : la lyric video de Asenath Waite sur Youtube.
La première impression que laisse ce groupe, c'est qu'il va falloir, pour certains comme moi en tout cas, franchir certaines barrières. Artwork, tracklist, photos en leatherskin avec sa guitare, production allégée, riffing téléphoné, The cult baigne dans tous les clichés du heavy traditionnel. Et précisément dans le début des années 80, quand tout était encore à inventer. Et comme le disait si bien l'ami Albert Einstein, nous ne pouvons pas nous attendre à des résultats différents en manipulant les même idée. L’exécution est donc un facteur déterminant pour déterminer si, oui ou non, ça vaut le coup.
Et pour sûr, les polonais sont très solides sur leur base, et tirent leur force des titres dynamiques entre early thrash et speed melodic qu'il faut citer Down in the crypt, Forgotten land Asenath Waite et Flaring Madness. Ce cortège sonnent comme des classiques du genre, largement inspiré de Manilla road et King Diamond, avec une très bonne exécution, des jeux à deux guitares, des solis qui envoit, et des envolées épiques. La troisième guitare appuie l'ensemble avec la basse pour donner de la consistance, du punch, presque du Ride the lightning.
A l'inverse, les titres plus lents ne laisseront probablement aucun souvenir après l'audition. Les temps fort n'y sont pas marqués et aucune mélodie ne les tire vers le haut, pas plus que le chant d'ailleurs. La stratégie de la tracklist qui consiste à alterner titres lents et titres dynamiques plombe littéralement l'album, si bien que l'album pourrait être réduit du tier.
Si, inévitablement, The cult fera un carton en live grâce à ces titres punchy, il s’essouffle très vite à l'écoute répétée tant il est enfermé dans ses clichés (ah mon dieu les textes !) et peu créatif dans les morceaux les plus lents.
Pour découvrir : la lyric video de Asenath Waite sur Youtube.
Critique : Weska
Note : 5/10
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