Chronique
CHEAP TRICK - IN ANOTHER WORLD / BMG 2021
Avec bientôt cinquante ans d’existence, les américains de Cheap Trick reviennent avec leur nouvel et vingtième album studio « In Another World ». Ce qui est fort, c’est que le le quatuor d’origine est toujours là, ce pour notre plus grand bonheur.
Il faut dire aussi que ce groupe n’a plus rien à prouver (enfin si en France, car on les a bouder encore et encore). Avec des titres comme « I want you to want me », « Dream Police », Surrender », « Ain’t that a shame » et j’en passe, le combo a fait une carrière monstrueuse qui les a mené à être introduit au rock ’n roll of fame aux États-Unis.
Fier de son rock mélodique entrainant, la formation aux 20 millions + de disques vendus arrive avec « In Another World » dont sa pochette est assez psyché / hypnotique. C’est d’ailleurs ce que l’on va rapidement ressentir en écoutant l’album. Certes le premier titre et single « The summer looks good on you » est bien rock et sert parfaitement d’accroche, mais « Quit waking me up » nous plonge dans cet univers seventies et psyché / rêveur appuyé par une ambiance guillerette. Le titre éponyme, plus posé, garde aussi cette ambiance qui nous permet de flâner entre rêveries et réalités si vous voyez ce que je veux dire. Autre single, « Boys & Girls & Rock ’n roll » revient dans une trame plus rock et énergique, et c’est plaisant - qu’on se le dise. « The party » poursuit cette attitude rebelle, tout comme « Final Days » qui se retrouve avec une ambiance plus posée et crooner. Une sorte de retour dans le passé où le rock psyché était maître et faisait vibrer les soirées bars.
« So it goes » par contre vient un peu casser cette dynamique. En effet, cette ballade bien que jolie et agréable, est peut être un mal placée. Mais ne vous en faites pas « Light up the fire » reprend les rennes avec son rock agressif et envolé. Un pur bonheur, et on comprend aisément le choix de se titre pour en faire un single. D’ailleurs « Here’s looking at you » poursuit sur cette mouvance nous permettant de nous épanouir un peu plus même si entre les deux il y a « Passing Through » qui comme son nom l’indique est là mais n’est pas forcément utile.
Avant dernière chanson de l’album, « I’ll see you again » est un joli message, doux et posé, envolé et rêveur. Un moment de mélancolie juste avant la conclusion avec « Gamme some truth », un mid tempo rageur, toujours dans cette esprit seventies.
Avec ce « In another world » Cheap Trick revient sur les devants de la scène et propose un disque varié nous plongeant dans une certaine nostalgie mais avec une pointe moderne niveau production. A noter leur retour sur les scènes françaises en 2022, ce après plusieurs décennies d’absence dans l’hexagone.
Il faut dire aussi que ce groupe n’a plus rien à prouver (enfin si en France, car on les a bouder encore et encore). Avec des titres comme « I want you to want me », « Dream Police », Surrender », « Ain’t that a shame » et j’en passe, le combo a fait une carrière monstrueuse qui les a mené à être introduit au rock ’n roll of fame aux États-Unis.
Fier de son rock mélodique entrainant, la formation aux 20 millions + de disques vendus arrive avec « In Another World » dont sa pochette est assez psyché / hypnotique. C’est d’ailleurs ce que l’on va rapidement ressentir en écoutant l’album. Certes le premier titre et single « The summer looks good on you » est bien rock et sert parfaitement d’accroche, mais « Quit waking me up » nous plonge dans cet univers seventies et psyché / rêveur appuyé par une ambiance guillerette. Le titre éponyme, plus posé, garde aussi cette ambiance qui nous permet de flâner entre rêveries et réalités si vous voyez ce que je veux dire. Autre single, « Boys & Girls & Rock ’n roll » revient dans une trame plus rock et énergique, et c’est plaisant - qu’on se le dise. « The party » poursuit cette attitude rebelle, tout comme « Final Days » qui se retrouve avec une ambiance plus posée et crooner. Une sorte de retour dans le passé où le rock psyché était maître et faisait vibrer les soirées bars.
« So it goes » par contre vient un peu casser cette dynamique. En effet, cette ballade bien que jolie et agréable, est peut être un mal placée. Mais ne vous en faites pas « Light up the fire » reprend les rennes avec son rock agressif et envolé. Un pur bonheur, et on comprend aisément le choix de se titre pour en faire un single. D’ailleurs « Here’s looking at you » poursuit sur cette mouvance nous permettant de nous épanouir un peu plus même si entre les deux il y a « Passing Through » qui comme son nom l’indique est là mais n’est pas forcément utile.
Avant dernière chanson de l’album, « I’ll see you again » est un joli message, doux et posé, envolé et rêveur. Un moment de mélancolie juste avant la conclusion avec « Gamme some truth », un mid tempo rageur, toujours dans cette esprit seventies.
Avec ce « In another world » Cheap Trick revient sur les devants de la scène et propose un disque varié nous plongeant dans une certaine nostalgie mais avec une pointe moderne niveau production. A noter leur retour sur les scènes françaises en 2022, ce après plusieurs décennies d’absence dans l’hexagone.
Critique : Lionel
Note : 7/10
Site du groupe : Page Facebook
Vues : 5738 fois