Chronique
PYRAMAZE - MELANCHOLY BEAST / NTS WAGRAM 2004
Cette jeune formation Américano-Danoise sort son premier album Melancholy Beast.Voyons voir de quoi est capable ce groupe.Aux vues du titre et de la pochette très terminator je m’attendais à du brutal mais aux premiers accords mon jugement est changé.
Cela ressemble plus à du heavy limite power métal avec une voix à la Geoff Tate (Queensryche) des débuts.
Tout commence par une petite intro narrée d’une grosse voix sombre avant le départ heavy pour « Sleepy Hollow » un titre puissant qui pose bien les bases du groupe pour les chansons à venir.« Forsken Kingdom » morceau plus progressif dans sa structure fait bien même s’il rappelle certains groupes du même style.
Gros riffs puissants pour « Melancholy Beast » rappelant Symphorce, Brainstrom pour une suite moins cool une mélodie vocale pas très développée simpliste pour ce titre heavy mais qui ne décolle pas, de plus la fin est un peut prématurée. On sent qu’il manque encore du travail au niveau des arrangements pour ces jeunes.
« The Journey » pourrait nous faire croire que Queensryche fait du gros heavy tant la ressemblance est frappante, un bon morceau plaisant à écouter mais il manque toujours quelque chose pour faire décoller ces chansons.
« Until We Fade Away » commence sur une mélodie au piano accompagnée d’une jolie voix grave puis continue en une power ballade bien sympa certes répétitive mais bon ne faisons pas les méchants.« Legend » n’apporte rien de plus à part un bon refrain (c’est déjà bien), et une belle partie centrale avec encore une voix grave qui me rappelle celle de Ben Sotto (Heavenly).
Petit bruit de la mer accompagné par une guitare son clair avant le déchaînement, en une énorme partie speed avec une double grosse caisse martelée comme jamais, « Mighty Abyss » ne passe pas inaperçue dans l’album même si après ça a tendance à se calmer (dommage) encore une fois un morceau travaillé progressif avec une accélération pour le solo qui réveille (enfin). En 8ème position se trouve une intro au piano qui nous fait débouler sur « Power Of Imagination » bien sympatoche avec son refrain speed mais toujours pas de décollage en vu, à noter une jolie fin.
Conclusion un premier essai certes pas très concluant mais qui pose de bonnes bases qu’ils doivent développer sous peine de rendre leurs albums trop fades.
A surveiller dans les années qui viennent car il y a du potentiel en ces jeunes.
Cela ressemble plus à du heavy limite power métal avec une voix à la Geoff Tate (Queensryche) des débuts.
Tout commence par une petite intro narrée d’une grosse voix sombre avant le départ heavy pour « Sleepy Hollow » un titre puissant qui pose bien les bases du groupe pour les chansons à venir.« Forsken Kingdom » morceau plus progressif dans sa structure fait bien même s’il rappelle certains groupes du même style.
Gros riffs puissants pour « Melancholy Beast » rappelant Symphorce, Brainstrom pour une suite moins cool une mélodie vocale pas très développée simpliste pour ce titre heavy mais qui ne décolle pas, de plus la fin est un peut prématurée. On sent qu’il manque encore du travail au niveau des arrangements pour ces jeunes.
« The Journey » pourrait nous faire croire que Queensryche fait du gros heavy tant la ressemblance est frappante, un bon morceau plaisant à écouter mais il manque toujours quelque chose pour faire décoller ces chansons.
« Until We Fade Away » commence sur une mélodie au piano accompagnée d’une jolie voix grave puis continue en une power ballade bien sympa certes répétitive mais bon ne faisons pas les méchants.« Legend » n’apporte rien de plus à part un bon refrain (c’est déjà bien), et une belle partie centrale avec encore une voix grave qui me rappelle celle de Ben Sotto (Heavenly).
Petit bruit de la mer accompagné par une guitare son clair avant le déchaînement, en une énorme partie speed avec une double grosse caisse martelée comme jamais, « Mighty Abyss » ne passe pas inaperçue dans l’album même si après ça a tendance à se calmer (dommage) encore une fois un morceau travaillé progressif avec une accélération pour le solo qui réveille (enfin). En 8ème position se trouve une intro au piano qui nous fait débouler sur « Power Of Imagination » bien sympatoche avec son refrain speed mais toujours pas de décollage en vu, à noter une jolie fin.
Conclusion un premier essai certes pas très concluant mais qui pose de bonnes bases qu’ils doivent développer sous peine de rendre leurs albums trop fades.
A surveiller dans les années qui viennent car il y a du potentiel en ces jeunes.
Critique : Guillaume
Note : 6/10
Site du groupe : site officiel de pyramaze
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