Chronique
DREAM THEATER - A VIEW FROM THE TOP OF THE WORLD / Sony BMG 2021
15ème album pour les maitres du Prog, qui je dois dire me procurent un petit frisson à chaque sortie en me demandant où le groupe va nous mener et quelles nouveautés ils vont proposer. La réponse tout de suite
La batterie de Mike Mangini ouvre le premier titre « The alien » qui se poursuit sur une longue partie instrumentale. Première constatation qui me fait mal, il n’y a rien de nouveau à se mettre sous la dent, le groupe se contentant de faire ce qu’il sait faire. Alors oui ça fonctionne très bien et le niveau technique et musical du groupe est toujours au summum mais il me manque ce petit plus qui fait la différence. « Answering the call » poursuit sur un schéma plutôt similaire à sa devancière. Un Mid tempo lourd mais mélodique, qui met en évidence l’interprétation de James LaBrie. Perso je ne suis pas plus emballé que ça, sympa mais sans grand plus.
J’espère que « Invisible monster » va me plaire. Un début calme et ambiant intronise cette 3ème chanson, avant de poursuivre sur des chemins mélodiques mais toujours bien métal. Du mieux à souligner avec des changements de rythme et d’ambiance bien sentis qui apportent un plus. Un peu de groove avec « Sleeping giant » et son ambiance sombre qui fonctionne à merveille. Le refrain quant à lui est plus lumineux ce qui est là aussi un bon point. Un titre qui vaut son pesant de cacahouètes. « Transcending time » arrive avec un esprit 90’ des plus agréable ! Que de bonnes sensations nostalgiques à l’écoute de ce titre très bien fichu. Certes ‘simple’ mais bougrement efficace il est surement une des plus belles réussites de cet opus.
Un gros riff de guitare arrive avec « Awaken the master », qui pour la première (et je n’espère pas la dernière) fois voit John Petrucci se servir d’une 8 cordes. Un titre puissant qui ne laisse pas indifférent.
On termine avec les 20 minutes de « A view from the top of the world », sorte de patchwork musical qui change des titres plus unis. Un moment épique dans la grande tradition DT et qui prouve que nos gaillards ont encore de sacrées idées en tête.
Conclusion : pour son 15ème album, Dream Theater a eu du mal à se renouveler et même s’il reste au-dessus de la mêlée, le fan lui en veut toujours plus. Pas mauvais loin de là, mais juste du déjà vu qui je l’espère ne marquera pas la fin de la progression de ce groupe d’exception.
La batterie de Mike Mangini ouvre le premier titre « The alien » qui se poursuit sur une longue partie instrumentale. Première constatation qui me fait mal, il n’y a rien de nouveau à se mettre sous la dent, le groupe se contentant de faire ce qu’il sait faire. Alors oui ça fonctionne très bien et le niveau technique et musical du groupe est toujours au summum mais il me manque ce petit plus qui fait la différence. « Answering the call » poursuit sur un schéma plutôt similaire à sa devancière. Un Mid tempo lourd mais mélodique, qui met en évidence l’interprétation de James LaBrie. Perso je ne suis pas plus emballé que ça, sympa mais sans grand plus.
J’espère que « Invisible monster » va me plaire. Un début calme et ambiant intronise cette 3ème chanson, avant de poursuivre sur des chemins mélodiques mais toujours bien métal. Du mieux à souligner avec des changements de rythme et d’ambiance bien sentis qui apportent un plus. Un peu de groove avec « Sleeping giant » et son ambiance sombre qui fonctionne à merveille. Le refrain quant à lui est plus lumineux ce qui est là aussi un bon point. Un titre qui vaut son pesant de cacahouètes. « Transcending time » arrive avec un esprit 90’ des plus agréable ! Que de bonnes sensations nostalgiques à l’écoute de ce titre très bien fichu. Certes ‘simple’ mais bougrement efficace il est surement une des plus belles réussites de cet opus.
Un gros riff de guitare arrive avec « Awaken the master », qui pour la première (et je n’espère pas la dernière) fois voit John Petrucci se servir d’une 8 cordes. Un titre puissant qui ne laisse pas indifférent.
On termine avec les 20 minutes de « A view from the top of the world », sorte de patchwork musical qui change des titres plus unis. Un moment épique dans la grande tradition DT et qui prouve que nos gaillards ont encore de sacrées idées en tête.
Conclusion : pour son 15ème album, Dream Theater a eu du mal à se renouveler et même s’il reste au-dessus de la mêlée, le fan lui en veut toujours plus. Pas mauvais loin de là, mais juste du déjà vu qui je l’espère ne marquera pas la fin de la progression de ce groupe d’exception.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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