Chronique
MICHAEL ROMEO - WAR OF THE WORLD PART II / Inside out 2022
4 ans après une première partie des plus encourageante le génie de Symphony X arrive avec la suite (et fin ?). Un opus sur lequel notre guitariste a pris son temps pour accoucher de sa version la plus fidèle de l’œuvre de H.G Wells. A noter un changement majeur au micro puisque c’est le Croate Dino Jelusic (Animal Drive / Dirty Shirley) qui officie aujourd’hui.
On poursuit notre histoire par une intro instrumentale proche des travaux de Danny Elfman. Un bon moyen d’entrer à nouveau dans cette histoire avant que n’arrive « Divide & conquer » qui envoie sec ! Le style Romeo est toujours bien présent et prouve qu’il a encore de très bonnes idées en réserve (une bonne nouvelle pour le futur Symphony X !!). Niveau chant Dino est très à l’aise et bien dirigé, sa voix puissante fait des merveilles.
« Destroyer » prend le relai à grand coup de 7 cordes. Un titre plus puissant et sombre qui nous permet de comprendre que l’histoire n’en est pas à un moment joyeux. A noter un passage oriental (qui rappelle Myrath) du plus bel effet ainsi que des solos de guitares toujours aussi impressionnants !! On calme un peu le jeu avec « Metamorphosis », un titre plus mélodique qui fait du bien. A sa suite « Mothership » est un interlude instrumental très symphonique, qui passe très bien et montre que notre homme a complètement lâché les influences Dupstep du 1er volet.
On plonge à nouveau dans du calme et très mélodique avec la ballade « Just before the dawn » qui rappelle les plus belles heures de son groupe. Dino est bien investi dans ce type de titres jamais faciles à chanter. Avec « Hybrids », nous avons à faire à un titre très Progressif et moins purement métal. Une très jolie pièce musicale que voilà !
« Hunted » arrive en tant que nouvel interlude instrumental plus porté sur la guitare et qui sent la poudre, mais pas que. Une fois de plus le talent de Mr Romoe est indéniable et surréaliste. Gros riff pour « Maschinenmensch », qui retrouve du bon gros métal à la Sympho qui dépote sévère !! Qu’est ce que notre homme excelle dans ces moments-là !
On enfonce le clou avec un « Parasite » des plus percutant et énervé, qui fait un bien fou. Un bon moment pour se défouler et très bien interprété par un Dino qui ne cesse de marcher sur les platebandes de Russel Allen. On termine avec « Brave new world (Outro) », qui clôt de fort belle manière cette aventure.
Conclusion : avec un tel opus Michael Romeo a placé la barre très haut, peut être un peu trop, car malgré les immenses qualités de cet opus, il est difficile de rester pleinement concentré dessus tant il y a d’infos. Reste un mémoire musical d’une œuvre littéraire de très grande classe.
On poursuit notre histoire par une intro instrumentale proche des travaux de Danny Elfman. Un bon moyen d’entrer à nouveau dans cette histoire avant que n’arrive « Divide & conquer » qui envoie sec ! Le style Romeo est toujours bien présent et prouve qu’il a encore de très bonnes idées en réserve (une bonne nouvelle pour le futur Symphony X !!). Niveau chant Dino est très à l’aise et bien dirigé, sa voix puissante fait des merveilles.
« Destroyer » prend le relai à grand coup de 7 cordes. Un titre plus puissant et sombre qui nous permet de comprendre que l’histoire n’en est pas à un moment joyeux. A noter un passage oriental (qui rappelle Myrath) du plus bel effet ainsi que des solos de guitares toujours aussi impressionnants !! On calme un peu le jeu avec « Metamorphosis », un titre plus mélodique qui fait du bien. A sa suite « Mothership » est un interlude instrumental très symphonique, qui passe très bien et montre que notre homme a complètement lâché les influences Dupstep du 1er volet.
On plonge à nouveau dans du calme et très mélodique avec la ballade « Just before the dawn » qui rappelle les plus belles heures de son groupe. Dino est bien investi dans ce type de titres jamais faciles à chanter. Avec « Hybrids », nous avons à faire à un titre très Progressif et moins purement métal. Une très jolie pièce musicale que voilà !
« Hunted » arrive en tant que nouvel interlude instrumental plus porté sur la guitare et qui sent la poudre, mais pas que. Une fois de plus le talent de Mr Romoe est indéniable et surréaliste. Gros riff pour « Maschinenmensch », qui retrouve du bon gros métal à la Sympho qui dépote sévère !! Qu’est ce que notre homme excelle dans ces moments-là !
On enfonce le clou avec un « Parasite » des plus percutant et énervé, qui fait un bien fou. Un bon moment pour se défouler et très bien interprété par un Dino qui ne cesse de marcher sur les platebandes de Russel Allen. On termine avec « Brave new world (Outro) », qui clôt de fort belle manière cette aventure.
Conclusion : avec un tel opus Michael Romeo a placé la barre très haut, peut être un peu trop, car malgré les immenses qualités de cet opus, il est difficile de rester pleinement concentré dessus tant il y a d’infos. Reste un mémoire musical d’une œuvre littéraire de très grande classe.
Critique : Guillaume
Note : 8.5/10
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