Chronique
CHEZ KANE - POWERZONE / Frontiers Music Srl 2022
Annonce: féministes, amis du premier degrés ou révolutionnaires musicaux genricides etc passez directement votre chemin…
Cette annonce faite, débutons cette chronique du second album de la britannique Chez Kane, qui après un premier album au titre éponyme sorti l’année dernière, revient avec Powerzone, second effort bien attendu.
La première mise en bouche car c’est une sacrée mise en bouche se fait avec « I Just Want You » dans lequel le label a choisit une ligne directrice plutôt osée et en mode cliché flashback. Orienté rock mélodique des années 80, tout y est dans le clip: tenues légères avec body façon Flashdance, tenues plus que suggestives, gestuelles et postures aguichantes, une grosse partie est clairement misée pour les métaleux (et pas métaleuses). Les attributs de la chanteuse sont clairement utilisés et sans complexes. Musicalement c’est un mid tempo romantique et attrayant, accrocheur, dans lequel on retrouve le plaisir vocal du premier album. Merci Danny Rexon (Crazy Lixx). Second single avec là encore un titre suggestif, « (The Things We Do) When We’re Young In Love ». Là encore, tous les clichés de la bimbo sont dans le clip. Mais ne ratons pas la chanson qui en soit un pur hit radio de rock mélodique qui nous fait replonger dans cet âge d’or du genre, tout en ayant cette touche de fraîcheur supplémentaire. Quand à « Love Gone Wild », c’est un nouvel ode aux petites tenues, bodies, lycra et postures une nouvelle fois très … hum… ambiancées dira-t-on. Ce qui est fort c’est musicalement c’est fort, entêtant et entrainant.
Vous l’avez compris, visuellement parlant, le label a marqué le coup. Sensation de femme objet (d’où mon annonce de départ).
Par ailleurs il ne faut pas oublier qu’il y a un album, et dix titres à défendre / présenter au delà de ce jugement physiquement chaud. Dans le quatuor de tête se trouve aussi « Rock You Up », en plus des trois premiers clips vidéos. Ce dernier est un nouveau mid tempo posé, évasif avec du saxo, donnant cette sensation de rajeunissement bien plaisante. L’aventure se poursuit avec « Children Of Tomorrow Gone » et sa délicate intro au piano pour présenter une ballade où on ferme directement les yeux, et on se laisse bercer. Le titre éponyme « Powerzone » (premier extrait dévoilé mais sans vidéo) quand à lui change complètement la donne et vient mettre une bonne claque de par son énergie, ce qui ne laissera pas du tout indifférent. Cette ivresse musicale se poursuit grâce à « I’m Ready (For Your Love) » et la voit tonitruante de la dame qui sur un refrain endiablé nous captive pleinement, et nous donne envie de danser un rock d’un autre monde. Retentissant haut et fort, « Nationwide » sera en quelque sorte un titre d’une éventuelle bande son de film façon Footloose ou Flashdance, avec des relents de Belinda Carlisle. Et comme si ça ne suffisait pas, Streets OF Gold » fait acte de coupure avec une nouvelle ballade mélangeant Bonnie Tyler et The Bangles. L’album se termine sur « Guilty Of Love », titre de huit minutes, ce qui est inhabituel pour ce genre musical mais on ne s’en plaindra pas car honnêtement, on à l’impression qu’il n’en fait que trois.
Wow ! Ce « Powerzone » est juste surprenant. Le combo Danny Rexon / Chez Kane a trouvé sa voix, et ça fait une nouvelle fois mouche ! Du plaisir en barre, enfin, en disque ! Et je me répète, j’ai hâte de pouvoir découvrir la chanteuse sur scène ! Fans de rock mélodique, sautez sur cet album.
Cette annonce faite, débutons cette chronique du second album de la britannique Chez Kane, qui après un premier album au titre éponyme sorti l’année dernière, revient avec Powerzone, second effort bien attendu.
La première mise en bouche car c’est une sacrée mise en bouche se fait avec « I Just Want You » dans lequel le label a choisit une ligne directrice plutôt osée et en mode cliché flashback. Orienté rock mélodique des années 80, tout y est dans le clip: tenues légères avec body façon Flashdance, tenues plus que suggestives, gestuelles et postures aguichantes, une grosse partie est clairement misée pour les métaleux (et pas métaleuses). Les attributs de la chanteuse sont clairement utilisés et sans complexes. Musicalement c’est un mid tempo romantique et attrayant, accrocheur, dans lequel on retrouve le plaisir vocal du premier album. Merci Danny Rexon (Crazy Lixx). Second single avec là encore un titre suggestif, « (The Things We Do) When We’re Young In Love ». Là encore, tous les clichés de la bimbo sont dans le clip. Mais ne ratons pas la chanson qui en soit un pur hit radio de rock mélodique qui nous fait replonger dans cet âge d’or du genre, tout en ayant cette touche de fraîcheur supplémentaire. Quand à « Love Gone Wild », c’est un nouvel ode aux petites tenues, bodies, lycra et postures une nouvelle fois très … hum… ambiancées dira-t-on. Ce qui est fort c’est musicalement c’est fort, entêtant et entrainant.
Vous l’avez compris, visuellement parlant, le label a marqué le coup. Sensation de femme objet (d’où mon annonce de départ).
Par ailleurs il ne faut pas oublier qu’il y a un album, et dix titres à défendre / présenter au delà de ce jugement physiquement chaud. Dans le quatuor de tête se trouve aussi « Rock You Up », en plus des trois premiers clips vidéos. Ce dernier est un nouveau mid tempo posé, évasif avec du saxo, donnant cette sensation de rajeunissement bien plaisante. L’aventure se poursuit avec « Children Of Tomorrow Gone » et sa délicate intro au piano pour présenter une ballade où on ferme directement les yeux, et on se laisse bercer. Le titre éponyme « Powerzone » (premier extrait dévoilé mais sans vidéo) quand à lui change complètement la donne et vient mettre une bonne claque de par son énergie, ce qui ne laissera pas du tout indifférent. Cette ivresse musicale se poursuit grâce à « I’m Ready (For Your Love) » et la voit tonitruante de la dame qui sur un refrain endiablé nous captive pleinement, et nous donne envie de danser un rock d’un autre monde. Retentissant haut et fort, « Nationwide » sera en quelque sorte un titre d’une éventuelle bande son de film façon Footloose ou Flashdance, avec des relents de Belinda Carlisle. Et comme si ça ne suffisait pas, Streets OF Gold » fait acte de coupure avec une nouvelle ballade mélangeant Bonnie Tyler et The Bangles. L’album se termine sur « Guilty Of Love », titre de huit minutes, ce qui est inhabituel pour ce genre musical mais on ne s’en plaindra pas car honnêtement, on à l’impression qu’il n’en fait que trois.
Wow ! Ce « Powerzone » est juste surprenant. Le combo Danny Rexon / Chez Kane a trouvé sa voix, et ça fait une nouvelle fois mouche ! Du plaisir en barre, enfin, en disque ! Et je me répète, j’ai hâte de pouvoir découvrir la chanteuse sur scène ! Fans de rock mélodique, sautez sur cet album.
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
Site du groupe : Page Facebook du groupe
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