Chronique
JOHN WEST – LONG TIME... NO SING / FRONTIERS RECORDS / 2006
Est-on encore obligés de présenter John West le super chanteur d’Artension et de Royal Hunt, je ne pense pas. Aujourd’hui il nous sort sont 4ème album solo en compagnie de deux messieurs Chris Caffery à la guitare et Jeff Plate à la batterie tous deux de Savatage.
On entame les hostilités avec « Let us pray » une intro au clavecin très courte qui nous envoie sur « Fade » un mid- tempo ultra mélodique très hard rock sur lequel la voix de John fait des merveilles. Un début un peu mou mais bien appréciable. « Set me free » poursuit dans une veine plus rock et rythmée, dans le style des groupes à la Frontiers Records. Il est étonnant de penser à Glenn Hughes à l’écoute de ce titre tant les deux voix et ce style on quelque chose en commun.
Moment encore plus rock « Give me a sign » qui confirme sa ressemblance avec ‘The voice of rock’. Un titre plus estampillé 80’s avec un refrain sympa mais qui manque un peu d’accroche. « Highway to Rappongi » débute sur un son de guitare sèche avant d’entamer un blues sympathique. Là encore cela n'est pas mal mais il manque un poil de rythme à l’ensemble et cela rend l’album un peu monotone.
Intro bien hard avec « Over my hand » mais la suite est plus cool. Un titre assez mélodique qui met en avant la voix de John mais en oublie d’être plus accrocheuse encore une fois.
« The one that got away » se veut plus groovy mais insiste toujours sur des passages plus mélodique et ramollit la bonne initiative de ce titre qui donne envie de bouger. A noter un bon passage plus heavy qui fait du bien.
« Falling down » est un mid-tempo ultra mélodique qui fait mou du genou. Il est étonnant de voir comme sa musique est franchement plus molle que celle exécutée dans ses groupes. Dommage car il semble se donner comme il faut mais cela ne suffit pas. « Slipping away » va t-elle changer quelque chose, pas sur, quelques notes de piano et une bonne ambiance ballade, pas de quoi remuer notre cul. Bon reste un moment calme sympa sans plus.
« One more lie » débute sur une bonne guitare à tendance plus moderne à la Audioslave voir Pure Inc. Un titre dans un esprit plus actuel mais toujours pas de grand mouvement en vue.
« Better believe » est une nouvelle ballade comme l’autre sympa mais sans plus non plus.
Pour terminer une instrumentale « Puerto amor » jolie mais étrange et on se demande un peu ce qu'elle fout là.
conclusion : un album sympa mais trop mou. John réalise de très bonnes parties de chant sans forcer son talent, bref un album à réserver aux fans. Sans grand intérêt.
On entame les hostilités avec « Let us pray » une intro au clavecin très courte qui nous envoie sur « Fade » un mid- tempo ultra mélodique très hard rock sur lequel la voix de John fait des merveilles. Un début un peu mou mais bien appréciable. « Set me free » poursuit dans une veine plus rock et rythmée, dans le style des groupes à la Frontiers Records. Il est étonnant de penser à Glenn Hughes à l’écoute de ce titre tant les deux voix et ce style on quelque chose en commun.
Moment encore plus rock « Give me a sign » qui confirme sa ressemblance avec ‘The voice of rock’. Un titre plus estampillé 80’s avec un refrain sympa mais qui manque un peu d’accroche. « Highway to Rappongi » débute sur un son de guitare sèche avant d’entamer un blues sympathique. Là encore cela n'est pas mal mais il manque un poil de rythme à l’ensemble et cela rend l’album un peu monotone.
Intro bien hard avec « Over my hand » mais la suite est plus cool. Un titre assez mélodique qui met en avant la voix de John mais en oublie d’être plus accrocheuse encore une fois.
« The one that got away » se veut plus groovy mais insiste toujours sur des passages plus mélodique et ramollit la bonne initiative de ce titre qui donne envie de bouger. A noter un bon passage plus heavy qui fait du bien.
« Falling down » est un mid-tempo ultra mélodique qui fait mou du genou. Il est étonnant de voir comme sa musique est franchement plus molle que celle exécutée dans ses groupes. Dommage car il semble se donner comme il faut mais cela ne suffit pas. « Slipping away » va t-elle changer quelque chose, pas sur, quelques notes de piano et une bonne ambiance ballade, pas de quoi remuer notre cul. Bon reste un moment calme sympa sans plus.
« One more lie » débute sur une bonne guitare à tendance plus moderne à la Audioslave voir Pure Inc. Un titre dans un esprit plus actuel mais toujours pas de grand mouvement en vue.
« Better believe » est une nouvelle ballade comme l’autre sympa mais sans plus non plus.
Pour terminer une instrumentale « Puerto amor » jolie mais étrange et on se demande un peu ce qu'elle fout là.
conclusion : un album sympa mais trop mou. John réalise de très bonnes parties de chant sans forcer son talent, bref un album à réserver aux fans. Sans grand intérêt.
Critique : Guillaume
Note : 6/10
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