Chronique
PRETTY MAIDS - WAKE UP TO THE REAL WORLD / FRONTIERS RECORDS 2006
Quel bonheur de retrouver ce bon vieux groupe Danois qui m’avait fait un peu peur après leur envie de break, car en plus de leurs cessations d’activité le groupe eu quelque soucis : départ du batteur, Management qui mes la clé sous la porte, problème de santé... mais finalement rien n’est venu entacher le moral des troupes qui reviennent donc 4 ans après leur dernier méfait nous livrer une petite rondelle de derrière les fagots.
C’est la title track « Wake up to the real world » qui commence par un riff qui me rappelle ‘Heavy metal in the night’ de Dream Evil. Mais rassurez vous Pretty Maids reste bien identifiable avec déjà la voix caractéristique de Ronnie Atkins et sa qualité en terme de mélodie. Le refrain est bien bon, très mélodique et facilement mémorisable. On poursuit avec « All in the name of love » qui speed bien comme à l’ancienne : que c’est bon de réentendre des groupes de cette qualité. Un titre qui nous replonge il y a 20 ans en arrière en pleine période ‘Future World’.
« I am the end » se veut plus moderne dans l’esprit, avec un accordage plus bas, elle se rapproche des titres de ‘Planet Panic’ et donne une couleur différente à l’album. Comme quoi on peu mélanger old school et modernisme dans un même album sans perdre son identité. Moment plus calme avec la pop « As guilty as you » qui montre encore un autre visage de ce groupe unique.
On reprend du rythme bien speed avec « Why die for a lie » qui fait varier les plaisirs avec toujours cette qualité indéniable de composition. Un titre qui sur scène prendra toute sa dimension. « Such a rush » se veut plus AOR, ce qui peut choquer au premier abord, mais Pretty Maids c’est aussi ça : des titres plus faciles mais qui ne sont pas sacrifiés pour autant.
Sympa, sans plus malgré tout.
Première ballade avec « Where true beaty lie » qui commence en acoustique avec une voix plein d ‘émotion de Ronnie Un joli refrain parfaitement fait pour ce genre d’exercice vient aromatiser le tout avec délicatesse. « Brave young new breed » reprend le bon vieux heavy à l’ancienne avec : rythme élevé, grosses guitares, et voix rageuse. Un bien moment à suivre là aussi en live.
« Terminal violence » poursuit dans une veine plus heavy mélodique bien maîtrisé avec de bonnes parties guitare et un bon feeling. Et maintenant place à la petite reprise « Perfect stranger » de Deep Purple assez proche de la version originale ; même la voix de Ronnie est très proche de celle de Ian Gillian. Un petit clin d’œil sympa à l’idole du groupe.
Pour finir « Another shot of your love » la deuxième ballade très bien faite et plus rock qui vient clôturer cet album d’une douce manière agréable.
Conclusion : encore une fois Pretty Maids nous sort un album de qualité qui ravira les fans. Un album qui mérite vraiment une attention. Ne passez pas à coté de ce grand groupe !
C’est la title track « Wake up to the real world » qui commence par un riff qui me rappelle ‘Heavy metal in the night’ de Dream Evil. Mais rassurez vous Pretty Maids reste bien identifiable avec déjà la voix caractéristique de Ronnie Atkins et sa qualité en terme de mélodie. Le refrain est bien bon, très mélodique et facilement mémorisable. On poursuit avec « All in the name of love » qui speed bien comme à l’ancienne : que c’est bon de réentendre des groupes de cette qualité. Un titre qui nous replonge il y a 20 ans en arrière en pleine période ‘Future World’.
« I am the end » se veut plus moderne dans l’esprit, avec un accordage plus bas, elle se rapproche des titres de ‘Planet Panic’ et donne une couleur différente à l’album. Comme quoi on peu mélanger old school et modernisme dans un même album sans perdre son identité. Moment plus calme avec la pop « As guilty as you » qui montre encore un autre visage de ce groupe unique.
On reprend du rythme bien speed avec « Why die for a lie » qui fait varier les plaisirs avec toujours cette qualité indéniable de composition. Un titre qui sur scène prendra toute sa dimension. « Such a rush » se veut plus AOR, ce qui peut choquer au premier abord, mais Pretty Maids c’est aussi ça : des titres plus faciles mais qui ne sont pas sacrifiés pour autant.
Sympa, sans plus malgré tout.
Première ballade avec « Where true beaty lie » qui commence en acoustique avec une voix plein d ‘émotion de Ronnie Un joli refrain parfaitement fait pour ce genre d’exercice vient aromatiser le tout avec délicatesse. « Brave young new breed » reprend le bon vieux heavy à l’ancienne avec : rythme élevé, grosses guitares, et voix rageuse. Un bien moment à suivre là aussi en live.
« Terminal violence » poursuit dans une veine plus heavy mélodique bien maîtrisé avec de bonnes parties guitare et un bon feeling. Et maintenant place à la petite reprise « Perfect stranger » de Deep Purple assez proche de la version originale ; même la voix de Ronnie est très proche de celle de Ian Gillian. Un petit clin d’œil sympa à l’idole du groupe.
Pour finir « Another shot of your love » la deuxième ballade très bien faite et plus rock qui vient clôturer cet album d’une douce manière agréable.
Conclusion : encore une fois Pretty Maids nous sort un album de qualité qui ravira les fans. Un album qui mérite vraiment une attention. Ne passez pas à coté de ce grand groupe !
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
Site du groupe : site officiel de Pretty maids
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