Chronique
CHRIS CAFFERY - PINS AND NEEDLES / Metal heaven 2007
Le grand Chris Caffery (Savatage) nous revient avec un 3ème album, qui succède au très bon W.A.R.P.E.D. et c’est avec un très grand enthousiasme que je vais m’écouter cela !
Nous commençons sur des bruits assez étranges avant que ne débarque une guitare bien tranchante et rageuse: « Pins & Needles » déboule à la manière d’un Pantera. Un début des plus tonitruant qui montre un visage agressif assez nouveau. Chris montre encore de super beau passage à la guitare et prouve aussi qu’il tient bien le micro. S’en suit « Sixty six » plus soft, qui change d’atmosphère en un rien de temps. Là on se retrouve bien plus dans l’esprit déjà connu sur ses 2 premiers opus. Un bon passage.
« Torment » débute comme un bon vieu Savatage, puis s’en va sur des contrées étranges déjantées et si chères au personnage. Un titre qui risque de choquer les amateurs d’habituels. Intro à la basse pour « Walls ». la suite une sorte de heavy barré, mélodique avec une voix d’outre tombe à la Marilyn Manson. On retrouve une nouvelle fois les aspects lugubres et quasis schizophrènes qui font tout le charme de la musique de Mr Caffery.
« YGBFKM » nous gratifie d’un très bon riff, et sur un mid-tempo qui nous offre un heavy métal personnel et agréable. Un petit « Sad » histoire de ne pas perdre ses habitudes. Un très bon titre de heavy métal qui voit le grand Alex Skolnick (Testament / Savatage) tenir la guitare pour un duo d’anthologie ultra jouissif.
« Chained » part sur un bon rythme un heavy teinté de hard et toujours ce côté décalé si prenant. Le refrain est un petit régal !! « Worms » me fait penser au monde si particulier de Mr Devin Townsend, tout ça parait tellement d’un autre monde que s’ en est jouissant ! A noter un solo de Saxophone réalisé par Chris lui même !
« Crossed » entame un gros speed décapant qui fait son effet. Toujours quelques passages bien déjantés et des supers riffs de guitare : de la grande musique ! On peut dire que sur ce titre Yael s’est déchaîné avec sa batterie. « The time » débute sur une sorte de boite à musique et une voix bizarre qui me fait penser au monde étrange de Tim Burton. Un petit passage calme, splendide prend forme au milieu de ces ombres malsaines. Un petit air d’Alice Cooper complète par ci par là ce très, très bon titre.
Intro au parfum de l’Orient pour « Metal east » qui lorgne entre musique de film, Trans Sibérian Orchestra et Savatage. Un parfait mélange de métal et de musique orientale, super rafraîchissant, bien aidé aussi par le synthé de Ferdy Doernberg (Axel Rudi Pell, Roland Grapow…). Petite instrumentale avec « Qualdio » tout en acoustique... des plus agréable qui montre que l’homme sait mener une 6 cordes (pour ceux qui en doute encore).
« The temple » commence sur une jolie intro acoustique, véritable suite de l’instrumentale sus- dite. Une sorte d’outo très prenante.
Un petit bonus enchaîné et ultra puissant avec « Once upon the time ». On sent la revanche, la hargne qui se dégage de la guitare de Chris ainsi que de sa voix hurlée et écorchée vive. Une conclusion poignante chargée de sentiments. Terrible !
Conclusion : Chris Caffery n’a rien perdu de son talent et de sa personnalité et continue à nous le prouver avec ce troisième très bon album, qui donne un grand bain de fraîcheur au heavy métal. A se procurer sans hésitations et à voir en concert avec Timo Kotipelto (Stratovarius).
Nous commençons sur des bruits assez étranges avant que ne débarque une guitare bien tranchante et rageuse: « Pins & Needles » déboule à la manière d’un Pantera. Un début des plus tonitruant qui montre un visage agressif assez nouveau. Chris montre encore de super beau passage à la guitare et prouve aussi qu’il tient bien le micro. S’en suit « Sixty six » plus soft, qui change d’atmosphère en un rien de temps. Là on se retrouve bien plus dans l’esprit déjà connu sur ses 2 premiers opus. Un bon passage.
« Torment » débute comme un bon vieu Savatage, puis s’en va sur des contrées étranges déjantées et si chères au personnage. Un titre qui risque de choquer les amateurs d’habituels. Intro à la basse pour « Walls ». la suite une sorte de heavy barré, mélodique avec une voix d’outre tombe à la Marilyn Manson. On retrouve une nouvelle fois les aspects lugubres et quasis schizophrènes qui font tout le charme de la musique de Mr Caffery.
« YGBFKM » nous gratifie d’un très bon riff, et sur un mid-tempo qui nous offre un heavy métal personnel et agréable. Un petit « Sad » histoire de ne pas perdre ses habitudes. Un très bon titre de heavy métal qui voit le grand Alex Skolnick (Testament / Savatage) tenir la guitare pour un duo d’anthologie ultra jouissif.
« Chained » part sur un bon rythme un heavy teinté de hard et toujours ce côté décalé si prenant. Le refrain est un petit régal !! « Worms » me fait penser au monde si particulier de Mr Devin Townsend, tout ça parait tellement d’un autre monde que s’ en est jouissant ! A noter un solo de Saxophone réalisé par Chris lui même !
« Crossed » entame un gros speed décapant qui fait son effet. Toujours quelques passages bien déjantés et des supers riffs de guitare : de la grande musique ! On peut dire que sur ce titre Yael s’est déchaîné avec sa batterie. « The time » débute sur une sorte de boite à musique et une voix bizarre qui me fait penser au monde étrange de Tim Burton. Un petit passage calme, splendide prend forme au milieu de ces ombres malsaines. Un petit air d’Alice Cooper complète par ci par là ce très, très bon titre.
Intro au parfum de l’Orient pour « Metal east » qui lorgne entre musique de film, Trans Sibérian Orchestra et Savatage. Un parfait mélange de métal et de musique orientale, super rafraîchissant, bien aidé aussi par le synthé de Ferdy Doernberg (Axel Rudi Pell, Roland Grapow…). Petite instrumentale avec « Qualdio » tout en acoustique... des plus agréable qui montre que l’homme sait mener une 6 cordes (pour ceux qui en doute encore).
« The temple » commence sur une jolie intro acoustique, véritable suite de l’instrumentale sus- dite. Une sorte d’outo très prenante.
Un petit bonus enchaîné et ultra puissant avec « Once upon the time ». On sent la revanche, la hargne qui se dégage de la guitare de Chris ainsi que de sa voix hurlée et écorchée vive. Une conclusion poignante chargée de sentiments. Terrible !
Conclusion : Chris Caffery n’a rien perdu de son talent et de sa personnalité et continue à nous le prouver avec ce troisième très bon album, qui donne un grand bain de fraîcheur au heavy métal. A se procurer sans hésitations et à voir en concert avec Timo Kotipelto (Stratovarius).
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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