Chronique
LAKE OF TEARS - Moons and Mushrooms / Dockyard1 2007
Groupe suédois formé au beau milieu des années 90, Lake of tears exerce ses talents dans un Rock/Metal aux accents gothiques, abandonnant pour ce deuxième album leurs racines Doom.
Ambiance sombre et malsaine pour Last Purple sky, qui me fait penser à Tool. C’est lourd et ça passe mais peut-être pas assez personnel. Point positif ; la voix qui trouve bien sa place je trouve. Island earth reste dans le même genre, avec ses parties guitares entêtantes. You better breathe while there’s still time sonne un peu plus rétro, mais prend en compte certains codes du style, un très bon titre. Waiting counting fait un peu penser à un « morceau d’ambiance », qui se laisse écouter, mais sans plus. Like a leaf tient le rôle de la ballade de service…Avec un certain talent, mais sans rien révolutionner. Children of the grey remet les choses en place, avec le chant le plus agressif de cet album, ça s’énerve et ça s’excite, mais sans massacre pour autant. Pour Head of the phantom , rien de plus à dire, dans la continuité de l’album. On clôture avec Planet of the Penguins (ont-ils cherché un sujet de philosophie à développer pour nous pondre un titre comme ça ???) titre lourd qui personnellement me semble également mou.
Conclusion : Un album foncièrement pas mauvais, mais qui n’a pas le petit truc en plus qui donne envie de le réécouter pour approfondir son jugement.
Ambiance sombre et malsaine pour Last Purple sky, qui me fait penser à Tool. C’est lourd et ça passe mais peut-être pas assez personnel. Point positif ; la voix qui trouve bien sa place je trouve. Island earth reste dans le même genre, avec ses parties guitares entêtantes. You better breathe while there’s still time sonne un peu plus rétro, mais prend en compte certains codes du style, un très bon titre. Waiting counting fait un peu penser à un « morceau d’ambiance », qui se laisse écouter, mais sans plus. Like a leaf tient le rôle de la ballade de service…Avec un certain talent, mais sans rien révolutionner. Children of the grey remet les choses en place, avec le chant le plus agressif de cet album, ça s’énerve et ça s’excite, mais sans massacre pour autant. Pour Head of the phantom , rien de plus à dire, dans la continuité de l’album. On clôture avec Planet of the Penguins (ont-ils cherché un sujet de philosophie à développer pour nous pondre un titre comme ça ???) titre lourd qui personnellement me semble également mou.
Conclusion : Un album foncièrement pas mauvais, mais qui n’a pas le petit truc en plus qui donne envie de le réécouter pour approfondir son jugement.
Note : 6/10
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