Chronique
JADED HEART - SINISTER MIND / Frontiers Records 2007
Quatorze ans de carrière pour ce groupe, déjà! Deux ans après leur bon « Helluva time », Jaded Heart revient avec ce « Sinister Mind », bien décidés à prouver que la nouvelle formule sans un Bormann (membre fondateur) tient la route et que ça tourne.
On attaque cet album avec « Hero » qui ni une ni deux se fait une bonne place avec son hard rock mélodique appuyé par la voix de Johan Fahlberg. Un titre qui envoie des pieds dès le début. Le refrain est simple, direct et efficace. Une bonne formule pour ouvrir l’album et les concerts ?! « Justice is deserved » arrive avec les guitares de Peter, et confirme le début : ça dépote bien tout comme le title track « Sinister mind » qui pulse bien. Le tout nous fait secouer la tête à travers les notes, les chœurs qui appuient le chant sur le refrain.
L’intro de « Going under » se fait avec le chant uniquement (et quelques effets de disto sur celle-ci) avant de rentrer dans un mid tempo mélodique. S’en suit immédiatement mais de façon du hard « See the light ». Un message qui allumera un peu notre corps car le morceau précédent même s’il était bien, était un peu mou du genou.
Un nouveau mid tempo se présente avec « Open your eyes ». Le chant de Johan est toujours aussi bon, la musique aussi mais ça manque de rythme. « My eager’s red » & « Always on my mind » viennent pousser le bouchon vers du hard pur, avec de bons riffs mais d’un coup ça coupe et retour vers du calme. Dommage.
L’intro de « Heavenly devotion » déchire grave et là on retrouve le bon hard rock du début de l’album qui te secoue grave et qu’est ce que ça fait du bien ! Un bien bon morceau à retenir dans cet opus, surtout avec son superbe refrain. Pour « To please and give in » c’est un passage dans un mélange de hard bluesy qui balance pas mal. Il a fallu du temps mais Jaded Heart s’est décidé à nous faire bouger.
Intro au synthé pour « Hellucinate » qui fait très années 80, avec des influences à la Survivor & Europe. On conclut cet album avec « Crush that fear » qui se trouve être un mid tempo qui boucle cet album calmement.
Conclusion : un album en demi teinte avec des bons morceaux qui pulsent mais d’autres un peu trop mous. Les compos sont bonnes, les musiciens et la prod aussi. Mais il manque un petit quelque chose pour accrocher complètement. C’est un peu dommage mais l’album s’écoute volontiers.
On attaque cet album avec « Hero » qui ni une ni deux se fait une bonne place avec son hard rock mélodique appuyé par la voix de Johan Fahlberg. Un titre qui envoie des pieds dès le début. Le refrain est simple, direct et efficace. Une bonne formule pour ouvrir l’album et les concerts ?! « Justice is deserved » arrive avec les guitares de Peter, et confirme le début : ça dépote bien tout comme le title track « Sinister mind » qui pulse bien. Le tout nous fait secouer la tête à travers les notes, les chœurs qui appuient le chant sur le refrain.
L’intro de « Going under » se fait avec le chant uniquement (et quelques effets de disto sur celle-ci) avant de rentrer dans un mid tempo mélodique. S’en suit immédiatement mais de façon du hard « See the light ». Un message qui allumera un peu notre corps car le morceau précédent même s’il était bien, était un peu mou du genou.
Un nouveau mid tempo se présente avec « Open your eyes ». Le chant de Johan est toujours aussi bon, la musique aussi mais ça manque de rythme. « My eager’s red » & « Always on my mind » viennent pousser le bouchon vers du hard pur, avec de bons riffs mais d’un coup ça coupe et retour vers du calme. Dommage.
L’intro de « Heavenly devotion » déchire grave et là on retrouve le bon hard rock du début de l’album qui te secoue grave et qu’est ce que ça fait du bien ! Un bien bon morceau à retenir dans cet opus, surtout avec son superbe refrain. Pour « To please and give in » c’est un passage dans un mélange de hard bluesy qui balance pas mal. Il a fallu du temps mais Jaded Heart s’est décidé à nous faire bouger.
Intro au synthé pour « Hellucinate » qui fait très années 80, avec des influences à la Survivor & Europe. On conclut cet album avec « Crush that fear » qui se trouve être un mid tempo qui boucle cet album calmement.
Conclusion : un album en demi teinte avec des bons morceaux qui pulsent mais d’autres un peu trop mous. Les compos sont bonnes, les musiciens et la prod aussi. Mais il manque un petit quelque chose pour accrocher complètement. C’est un peu dommage mais l’album s’écoute volontiers.
Critique : Lionel
Note : 7.5/10
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