Chronique
NIGHTWISH - DARK PASSION PLAY / Nuclear Blast 2007
Nightwish n’est plus un groupe à présenter. Vous en êtes certains ? Pour ceux qui ne suivent pas trop l’actualité, il y a eu du mouvement dans le groupe il y a environ deux ans. En effet, la chanteuse d’origine, Tarja Turunen, a été virée du groupe. Par la suite, Nightwish est entré en studio en attendant de dégoter LA chanteuse remplaçante. Il aura fallu de longs mois pour mettre la main sur Anette Olzon, une jolie suédoise…. Qui est brune. Trêve de bavarderies, voyons voir ce que nous propose Tuomas et son combo tout fraîchement remanié.
Dès le début, l’album attaque avec une pièce de pas moins de 13 minutes intitulée « The poet and the pendulum ». C’est risqué mais pourquoi pas. L’intro se fait au piano avec une voix de femme, des murmures avant que l’on se prenne une méga claque dans le facies avec une montée en puissance due à l’arrivée d’un orchestre. Un mot : Wow ! Emppu vient y rajouter sa guitare pour donner une nouvelle dimension plus heavy encore. Au tour d’Anette. La voix passe bien et s’adapte parfaitement au morceau, sur les passages calmes, comme sur les passages plus poussés. Le passage mélodique, qui pourrait être une musique de film dramatique est impressionnant de par son rendu et aussi par sa mise en place. Le mélange entre l’orchestre et les membres de Nightwish est détonnant voire même frissonnant.
Second morceau de l’album, « Bye bye beautiful » est un morceau parlant de Tarja. Musicalement Tuomas n’y et pas allé de main morte. L’intro heavy mélodique donne un bon entrain, quand juste après Anette pose sa voix pour appuyer sa justesse. Le morceau prend une autre dimension au moment où Marco vient poser sa voix ce qui rend le morceau plus violent, surtout aux vues des paroles. Au tour du premier single sortit dans les bacs « Amaranth ». Je n’irais pas plus loin avec ce titre, tout est dit dans la chronique du single.
Intro au piano, avec une grosse caisse frappée avant d’attaquer une ambiance plus heavy et pus mid tempo pour « Cadence of her last breath ». Un titre qui envoie bien et qui pose un peu l’auditeur aux vues des trois premiers titres très puissants. Quand à son refrain, le duo Anette en lead et Marco aux chœurs pète bien. Second morceau destiné si je peux dire, à Tarja, « Master passion greed » n’y va pas par quatre chemins aussi. Intro avec un bon riff guitare, une batterie bien frappée jusqu’au moment où le tout s’emballe pour un speed metal de folie avec un Marco déchirant tout sur son passage avec sa voix. Le refrain avec les chœurs est prenant, donnant la chaire de poule, surtout quand on a lu les paroles de ce titre… Une sorte de confession pour le groupe.
Le morceau suivant est le premier single online qui a présenté Anette aux yeux du public : « Eva ». La aussi ce morceau est déjà décrit sur le single « Amaranth ». Nouvelle intro piano, appuyée par l’orchestre pour « Sahara ». Une traversée du désert avec une musique bien sympathique. Après un départ en trombe, une petite accalmie vient se placer pour rentrer dans un univers plus sombre et plus lourd. La chaleur est bien là, et Nightwish nous la transmet.
Pas d’arrêt de jeu, « Whoever brings the night » se présente à gros riffs de guitares, appuyés par des chœurs et quelques airs orientaux. Certes la musique reste quand même bien puissante et orientée vers du metal bien headbanguant ! Jukka nous fait un travail impressionnant derrière ses fûts, et principalement avec sa double.
« For the heart I once had » calme le jeu et nous revient dans un domaine plus posé et très mélodique, où Anette prend une voix douce, un peu comme une petite fille découvrant les joies de la vie. Un titre très agréables à écouter. Sans oublier l’orchestre en fond qui embelli la pièce. Bruit des vagues, flûte et guitare acoustique pour introduire « The islander ». Marco se met au chant, mais avec une voix moins criée, plus dans la veine de « While youy lips are still red ». Une magnifique ballade que tout le monde aimera c’est certain. Orages, musique festive très celtique pour « Last of the wilds ». On sait que Tuomas est fans de musique de films, Braveheart n’est pas loin à mon avis. Le morceau est bien porteur est ouvre un nouveau domaine musical pour le combo finlandais. Un titre instrumental avec lequel on prend une belle baffe car niveau compo il n’y a rien à jeter.
Retour dans un morceau plus classique pour du Nightwish avec « 7 days to the wolves ». L’intro lourde, appuyée par l’orchestre et les chœurs nous replongent dans le monde sombre où évolue l’album. Anette en duo avec Marco sur le refrain donnent une dimension incroyable à la musique. Le duo est parfait. Dernier morceau de l’album (déjà !), ce « Meadows of heaven » arrive calmement et avec beauté. Une entrée bien douce entre piano et voix d’Anette. Un morceau regroupant tous les styles musicaux (celtique, oriental et même avec du Gospel !!! etc..) entendus dans l’album. Un final grandiose pour cette rondelle.
Conclusion : la production de l’album est énorme, le travail des musiciens est impeccable, le talent de Tuomas niveau composition est indéniable, et Anette fait ses preuves. Un album qui sera parmi les meilleurs, voir un des deux meilleurs du cru 2007. Maintenant, il va falloir confirmer tout ça pour Anette sur scène !
Dès le début, l’album attaque avec une pièce de pas moins de 13 minutes intitulée « The poet and the pendulum ». C’est risqué mais pourquoi pas. L’intro se fait au piano avec une voix de femme, des murmures avant que l’on se prenne une méga claque dans le facies avec une montée en puissance due à l’arrivée d’un orchestre. Un mot : Wow ! Emppu vient y rajouter sa guitare pour donner une nouvelle dimension plus heavy encore. Au tour d’Anette. La voix passe bien et s’adapte parfaitement au morceau, sur les passages calmes, comme sur les passages plus poussés. Le passage mélodique, qui pourrait être une musique de film dramatique est impressionnant de par son rendu et aussi par sa mise en place. Le mélange entre l’orchestre et les membres de Nightwish est détonnant voire même frissonnant.
Second morceau de l’album, « Bye bye beautiful » est un morceau parlant de Tarja. Musicalement Tuomas n’y et pas allé de main morte. L’intro heavy mélodique donne un bon entrain, quand juste après Anette pose sa voix pour appuyer sa justesse. Le morceau prend une autre dimension au moment où Marco vient poser sa voix ce qui rend le morceau plus violent, surtout aux vues des paroles. Au tour du premier single sortit dans les bacs « Amaranth ». Je n’irais pas plus loin avec ce titre, tout est dit dans la chronique du single.
Intro au piano, avec une grosse caisse frappée avant d’attaquer une ambiance plus heavy et pus mid tempo pour « Cadence of her last breath ». Un titre qui envoie bien et qui pose un peu l’auditeur aux vues des trois premiers titres très puissants. Quand à son refrain, le duo Anette en lead et Marco aux chœurs pète bien. Second morceau destiné si je peux dire, à Tarja, « Master passion greed » n’y va pas par quatre chemins aussi. Intro avec un bon riff guitare, une batterie bien frappée jusqu’au moment où le tout s’emballe pour un speed metal de folie avec un Marco déchirant tout sur son passage avec sa voix. Le refrain avec les chœurs est prenant, donnant la chaire de poule, surtout quand on a lu les paroles de ce titre… Une sorte de confession pour le groupe.
Le morceau suivant est le premier single online qui a présenté Anette aux yeux du public : « Eva ». La aussi ce morceau est déjà décrit sur le single « Amaranth ». Nouvelle intro piano, appuyée par l’orchestre pour « Sahara ». Une traversée du désert avec une musique bien sympathique. Après un départ en trombe, une petite accalmie vient se placer pour rentrer dans un univers plus sombre et plus lourd. La chaleur est bien là, et Nightwish nous la transmet.
Pas d’arrêt de jeu, « Whoever brings the night » se présente à gros riffs de guitares, appuyés par des chœurs et quelques airs orientaux. Certes la musique reste quand même bien puissante et orientée vers du metal bien headbanguant ! Jukka nous fait un travail impressionnant derrière ses fûts, et principalement avec sa double.
« For the heart I once had » calme le jeu et nous revient dans un domaine plus posé et très mélodique, où Anette prend une voix douce, un peu comme une petite fille découvrant les joies de la vie. Un titre très agréables à écouter. Sans oublier l’orchestre en fond qui embelli la pièce. Bruit des vagues, flûte et guitare acoustique pour introduire « The islander ». Marco se met au chant, mais avec une voix moins criée, plus dans la veine de « While youy lips are still red ». Une magnifique ballade que tout le monde aimera c’est certain. Orages, musique festive très celtique pour « Last of the wilds ». On sait que Tuomas est fans de musique de films, Braveheart n’est pas loin à mon avis. Le morceau est bien porteur est ouvre un nouveau domaine musical pour le combo finlandais. Un titre instrumental avec lequel on prend une belle baffe car niveau compo il n’y a rien à jeter.
Retour dans un morceau plus classique pour du Nightwish avec « 7 days to the wolves ». L’intro lourde, appuyée par l’orchestre et les chœurs nous replongent dans le monde sombre où évolue l’album. Anette en duo avec Marco sur le refrain donnent une dimension incroyable à la musique. Le duo est parfait. Dernier morceau de l’album (déjà !), ce « Meadows of heaven » arrive calmement et avec beauté. Une entrée bien douce entre piano et voix d’Anette. Un morceau regroupant tous les styles musicaux (celtique, oriental et même avec du Gospel !!! etc..) entendus dans l’album. Un final grandiose pour cette rondelle.
Conclusion : la production de l’album est énorme, le travail des musiciens est impeccable, le talent de Tuomas niveau composition est indéniable, et Anette fait ses preuves. Un album qui sera parmi les meilleurs, voir un des deux meilleurs du cru 2007. Maintenant, il va falloir confirmer tout ça pour Anette sur scène !
Critique : Lionel
Note : 9.5/10
Site du groupe : Site officiel de Nightwish
Vues : 5740 fois