Chronique
TIM DONAHUE - MADMEN AND SINNERS / FRONTIERS Records 2004
Pour la 7eme fois Tim décide de sortir un album solo, grand bien lui a pris, puisque il s’est entouré de Mike Mangini (Extrême, Steve Vai, Annihilator) à la batterie et de James Labrie (Dream Theater) au chant (rien que ça !).
Au niveau de la musique rien de bien surprenant on retrouve du bon prog de haute volée.
Assoyons nous bien confortablement et c’est parti « million miles » ouvre les hostilités avec son bon riff, la voix de James Labrie est énorme en parfaite cohésion avec la musique (du bon prog je vous dit) le jeu de gratte de l’ami Tim est technique mais aussi mélodieux de la grande musique à noter pour les connaisseurs qu’il joue sur une guitare fretless (une Vigier même).
En 2eme position c’est « let go » une courte ballade guitare sèche et orgue en contraste aux longues chansons techniques une très jolie pièce musicale avec encore une fois le bel organe de James qui fait de suite la différence 2’37 de plaisir, et on continue avec « my heart bleeds » début étrange montée lente puis c’est parti avec toujours autant de feeling.
« feel my pain » débute très heavy rappelant un peu le dernier opus de Dream Theater,mais tout en restant dans l’esprit de l’album, un très grand morceau. « morte et dabo » c’est simplement des chœurs Géorgiens bien beau mais étrange (un petit frisson).
Puis on repart « children of the flames » du gros heavy prog et un James plus hargneux, qui poursuit sur un style rock pour la partie instrumentale avant de retrouver ses origines.
En tout cas quel travail au niveau du synthé bravo un autre grand morceau.
« the end » un mid tempo heavy, aérien, calme, continue notre aventure avant de nous faire atterrir sur « wildest dream » une magnifique ballade avec juste une guitare sèche et une voix, parsemée de quelques chœurs Géorgiens un sublime voyage dans la magie de la beauté.
Après ce moment de calme on repart avec de la haute volée tout d’abord instrumentale puis chanté (est on obligé de noté la perfection du chant) « master of the minds » c’est une nouvelle fois du gros calibre.
Pour finir c’est « madmen and sinners » la titre track qui débute par une 1ere partie calme en ballade une nouvelle fois sublime puis le prog reprend ses droits, une pièce maîtresse de plus d’un quart d’heure de musique subliminale d’un pur joyau.
La chanson de cet opus qui résume le travail effectuer depuis le début.
Conclusion : un très bon album de prog à la fois technique mais pas démonstratif même si les parties instrus sont énormes, quel jeu de gratte, un très bon moment à passer. Bon pour finir rappelons le superbe travail de James Labrie qui apporte énormément à cet album de par sa voix et ses capacités de lead vocal sûrement le meilleur dans le style et l’un des plus grands chanteurs du monde.
Au niveau de la musique rien de bien surprenant on retrouve du bon prog de haute volée.
Assoyons nous bien confortablement et c’est parti « million miles » ouvre les hostilités avec son bon riff, la voix de James Labrie est énorme en parfaite cohésion avec la musique (du bon prog je vous dit) le jeu de gratte de l’ami Tim est technique mais aussi mélodieux de la grande musique à noter pour les connaisseurs qu’il joue sur une guitare fretless (une Vigier même).
En 2eme position c’est « let go » une courte ballade guitare sèche et orgue en contraste aux longues chansons techniques une très jolie pièce musicale avec encore une fois le bel organe de James qui fait de suite la différence 2’37 de plaisir, et on continue avec « my heart bleeds » début étrange montée lente puis c’est parti avec toujours autant de feeling.
« feel my pain » débute très heavy rappelant un peu le dernier opus de Dream Theater,mais tout en restant dans l’esprit de l’album, un très grand morceau. « morte et dabo » c’est simplement des chœurs Géorgiens bien beau mais étrange (un petit frisson).
Puis on repart « children of the flames » du gros heavy prog et un James plus hargneux, qui poursuit sur un style rock pour la partie instrumentale avant de retrouver ses origines.
En tout cas quel travail au niveau du synthé bravo un autre grand morceau.
« the end » un mid tempo heavy, aérien, calme, continue notre aventure avant de nous faire atterrir sur « wildest dream » une magnifique ballade avec juste une guitare sèche et une voix, parsemée de quelques chœurs Géorgiens un sublime voyage dans la magie de la beauté.
Après ce moment de calme on repart avec de la haute volée tout d’abord instrumentale puis chanté (est on obligé de noté la perfection du chant) « master of the minds » c’est une nouvelle fois du gros calibre.
Pour finir c’est « madmen and sinners » la titre track qui débute par une 1ere partie calme en ballade une nouvelle fois sublime puis le prog reprend ses droits, une pièce maîtresse de plus d’un quart d’heure de musique subliminale d’un pur joyau.
La chanson de cet opus qui résume le travail effectuer depuis le début.
Conclusion : un très bon album de prog à la fois technique mais pas démonstratif même si les parties instrus sont énormes, quel jeu de gratte, un très bon moment à passer. Bon pour finir rappelons le superbe travail de James Labrie qui apporte énormément à cet album de par sa voix et ses capacités de lead vocal sûrement le meilleur dans le style et l’un des plus grands chanteurs du monde.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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