Chronique
TIME REQUIEM - THE INNER CIRCLE OF REALITY / REGAIN RECORDS 2004
Ah enfin le retour de Richard Anderson avec Time Requiem. Après le très bon Space Odyssey avec entre autre Patrick Johansson (Astral Doors, Wuthering Heights), et Marcel Jacobs (Malmsteen, Talisman) Richard reprend du service au sein de son groupe (oui l’autre aussi c’est son groupe : mégalo vous dite ?) pour un 2eme opus. Et quel opus !
Une nouvelle démonstration de virtuosité en 8 actes.
Qui débute par l’excellent « reflection », qui fait énormément penser à Symphony X (évolution), on trouve toujours ce power métal néoclassique de grande classe et cette voix extraordinaire d’ Apollo, de plus en plus développée.
En 2eme position c’est l’impressionnant « the inner circle of reality » de 11’40 qui prend place une chanson épique très bien construite où l’on a enfin le droit d’entendre Magnus le guitariste de la formation bien en peine pour se faire une place entre les solos du sieur Richard mais qui prouve une nouvelle fois qu’il est très loin d’être un manchot car il s’est encore amélioré depuis (à tout juste 23 ans !). oui Richard a écouté ses fans et a décidé de leur faire plaisir, mais c’est qu’il y est arrivé le bougre.
« Dream of tomorrow » débute calmement dans un esprit musique classique et continue en un mid tempo heavy où la voix d’Apollo excelle avec en prime un très joli refrain en accéléré et un joli solo de gratte, une très bonne chanson en résumé. « Attar of roses » nous ferais croire en une instrumentale tant son entrée en solo néo classique, rappelle les intrus du maître Malmsteen. Mais non, l’entrée du chant nous explique que ce sera une chanson bien speed à la Yngwie.
« Definition of insagnity » commence par une intro étrange et lourde, avant de partir sur un style plus Dream Theater, et enfin reprendre le style Time Requiem.
« Quest of million souls » est la ballade de l’album bien jolie d’ailleurs, Apollo dans son rôle de crooner est impeccable tout comme le solo final.
« hidden memories » est plus dans l’esprit de Majestic (l’ancien groupe de Richard) un morceau moins sombre que les autres bien sympathique qui nous rapproche de la fin.Elle se prénomme « Bach prélude (J S Bach) » est comme son nom l’indique c’est une reprise de 45 seconde d’un morceau de J S Bach.
Pour ceux qui ont la version limitée, le bonus est une reprise d’Abba (voulez vous) bien sympatoche version métal néo classique, avec une démonstration du talent de chaque musicos à la fin dans un solo impressionnant.
Conclusion, un très bon opus, meilleur que le premier (qui était déjà bien bon) qui prouve toute l’étendue du talent de Time Requiem, et de son maître à penser.
Rendez vous bientôt pour les nouvelles aventures de Richard Andersson et son synthé magique.
Une nouvelle démonstration de virtuosité en 8 actes.
Qui débute par l’excellent « reflection », qui fait énormément penser à Symphony X (évolution), on trouve toujours ce power métal néoclassique de grande classe et cette voix extraordinaire d’ Apollo, de plus en plus développée.
En 2eme position c’est l’impressionnant « the inner circle of reality » de 11’40 qui prend place une chanson épique très bien construite où l’on a enfin le droit d’entendre Magnus le guitariste de la formation bien en peine pour se faire une place entre les solos du sieur Richard mais qui prouve une nouvelle fois qu’il est très loin d’être un manchot car il s’est encore amélioré depuis (à tout juste 23 ans !). oui Richard a écouté ses fans et a décidé de leur faire plaisir, mais c’est qu’il y est arrivé le bougre.
« Dream of tomorrow » débute calmement dans un esprit musique classique et continue en un mid tempo heavy où la voix d’Apollo excelle avec en prime un très joli refrain en accéléré et un joli solo de gratte, une très bonne chanson en résumé. « Attar of roses » nous ferais croire en une instrumentale tant son entrée en solo néo classique, rappelle les intrus du maître Malmsteen. Mais non, l’entrée du chant nous explique que ce sera une chanson bien speed à la Yngwie.
« Definition of insagnity » commence par une intro étrange et lourde, avant de partir sur un style plus Dream Theater, et enfin reprendre le style Time Requiem.
« Quest of million souls » est la ballade de l’album bien jolie d’ailleurs, Apollo dans son rôle de crooner est impeccable tout comme le solo final.
« hidden memories » est plus dans l’esprit de Majestic (l’ancien groupe de Richard) un morceau moins sombre que les autres bien sympathique qui nous rapproche de la fin.Elle se prénomme « Bach prélude (J S Bach) » est comme son nom l’indique c’est une reprise de 45 seconde d’un morceau de J S Bach.
Pour ceux qui ont la version limitée, le bonus est une reprise d’Abba (voulez vous) bien sympatoche version métal néo classique, avec une démonstration du talent de chaque musicos à la fin dans un solo impressionnant.
Conclusion, un très bon opus, meilleur que le premier (qui était déjà bien bon) qui prouve toute l’étendue du talent de Time Requiem, et de son maître à penser.
Rendez vous bientôt pour les nouvelles aventures de Richard Andersson et son synthé magique.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
Site du groupe : site officiel de Time Requiem
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