Chronique
VOLBEAT - GUITAR GANGSTERS AND CADILLAC BLOOD / Mascot Records 2008
Petite présentation rapide du groupe. Volbeat est un groupe venu tout droit du Danemark où ils règnent avec une notoriété non négligeable. Niveau musique, une orientation rock sudiste américain est à entendre.
Avec cette rondelle, le combo danois nous propose sa troisième œuvre. Je ne m’aventure pas en terrain connu mais il faut dire que l’impression musicale donnée lors de la première écoute de ce disque est plus que bonne.
L’introduction se voit bien trompeuse en s’orientant allègrement dans un univers country, mais porte bien son nom « End of the road » car visiblement le groupe va proposer un autre registre bien plus couillu et par conséquent plus savoureux (pour ma part je l’entends bien, mais je suppose que pour vous c’est la même :) !). La première chose qui retient l’attention, c’est la voix du chanteur. Certes il y a un effet dessus mais quelle tonalité. Une voix bien rock, grave mais tout en gardant l’attraction du bon rock ‘ricain.
Aussi il faudra bien constater et avouer que malgré les 14 titres qui sont annoncés sur la pochette, la longueur ne se fera pas vraiment sentir mais plutôt oublier ; si je peux parler de longueur… du moins pour l’album car de mon côté (je vous passe les détails).
Autre surprise, un duo sur la chanson « Mary Ann’s place » avec une voix féminine, qui porte bien son fruit. Alterner les tempos, le groupe sait le faire et propose aussi des morceaux plus que monstrueux avec par exemple « Hallelujah goat » ou encore « I’m so lonesome I could cry » qui se rapprochent plus d’un rock façonné à la The Answer. Vous savez ce savant mélange de rock blues des années 70 agrémenté de riffs plus hard rock.
Au milieu de toute cette énergie se trouvent des morceaux plus posés avec des guitares acoustiques, et une inspiration plus country histoire de varier les plaisirs. La surprise vient du dernier morceau qui se voit être un morceau plus joyeux dans l’esprit mais tout en gardant la patate accrocheuse de ce côté rock. Le petit bonus track se lance dans une ambiance western spaghettis tout en y plaçant un peu de double sinon cela ne serait point drôle.
Track liste : End of the road / Guitar gangsters and cadillac blood / Back to prom / Mary Ann’s place / Hallelujah goat / Maybellene I holtefolder / We / Still counting / Light away / Wild rover of hell / I’m so lonesome I could cry / Broken man and the dawn / Find that soul / Making believe (bonus track)
Conclusion : un superbe album d’un groupe que je ne connaissais pas du tout et sur lequel je vais m’attarder plus longuement car leur musique est plus que plaisante et donne une pêche d’enfer !
Avec cette rondelle, le combo danois nous propose sa troisième œuvre. Je ne m’aventure pas en terrain connu mais il faut dire que l’impression musicale donnée lors de la première écoute de ce disque est plus que bonne.
L’introduction se voit bien trompeuse en s’orientant allègrement dans un univers country, mais porte bien son nom « End of the road » car visiblement le groupe va proposer un autre registre bien plus couillu et par conséquent plus savoureux (pour ma part je l’entends bien, mais je suppose que pour vous c’est la même :) !). La première chose qui retient l’attention, c’est la voix du chanteur. Certes il y a un effet dessus mais quelle tonalité. Une voix bien rock, grave mais tout en gardant l’attraction du bon rock ‘ricain.
Aussi il faudra bien constater et avouer que malgré les 14 titres qui sont annoncés sur la pochette, la longueur ne se fera pas vraiment sentir mais plutôt oublier ; si je peux parler de longueur… du moins pour l’album car de mon côté (je vous passe les détails).
Autre surprise, un duo sur la chanson « Mary Ann’s place » avec une voix féminine, qui porte bien son fruit. Alterner les tempos, le groupe sait le faire et propose aussi des morceaux plus que monstrueux avec par exemple « Hallelujah goat » ou encore « I’m so lonesome I could cry » qui se rapprochent plus d’un rock façonné à la The Answer. Vous savez ce savant mélange de rock blues des années 70 agrémenté de riffs plus hard rock.
Au milieu de toute cette énergie se trouvent des morceaux plus posés avec des guitares acoustiques, et une inspiration plus country histoire de varier les plaisirs. La surprise vient du dernier morceau qui se voit être un morceau plus joyeux dans l’esprit mais tout en gardant la patate accrocheuse de ce côté rock. Le petit bonus track se lance dans une ambiance western spaghettis tout en y plaçant un peu de double sinon cela ne serait point drôle.
Track liste : End of the road / Guitar gangsters and cadillac blood / Back to prom / Mary Ann’s place / Hallelujah goat / Maybellene I holtefolder / We / Still counting / Light away / Wild rover of hell / I’m so lonesome I could cry / Broken man and the dawn / Find that soul / Making believe (bonus track)
Conclusion : un superbe album d’un groupe que je ne connaissais pas du tout et sur lequel je vais m’attarder plus longuement car leur musique est plus que plaisante et donne une pêche d’enfer !
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Site officiel de Volbeat
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