Chronique
LORDI - DEADACHE / Double vision 2008
Nos monstrueux monstres finlandais reviennent deux ans après leur consécration mondiale pour nous présenter leur quatrième album. Un album qui a pour but de prouver (à ceux qui en doutent) que Lordi n’est pas une plaisanterie mais bel et bien un vrai groupe.
L’habituelle intro sous forme de conte fantastique (un peu à la Tim Burton) commence puis dans une ambiance indus poursuit. « SGC IV » vient donc de lancer la machine puis le riff percutant de « Girls Go Chopping » vous prend à la gorge et nous balance un titre dans le plus pur esprit hard des 80’s que Lordi pratique avec brio. Le refrain est énorme et vous donne déjà envie de chanter à tue tête.
Après un début aussi tonitruant on reçoit « Bite It Like A Bulldog » comme il se doit. Grosse basse en avant puis la guitare arrive. Encore du gros, du lourd. Je vous rassure si vous connaissez la musique de Lordi sachez qu’elle est toujours la même, avec ses refrains impeccables, véritables hymnes à chaque coup. Pour l’instant le groupe frappe très fort en nous sortant deux singles potentiels. Titre plus soft avec « Monsters Keep Me Company ». Un mid tempo mélodique, limite ballade, qui passe comme une lettre à la poste. J’adore à chaque fois retrouver ce côté Alice Cooper des ‘Trash’ et ‘Hey Stoopid’. On semble replonger en pleine période faste du hard Fm avec ce même plaisir qui vous parcourt tout le corps.
« Man Skin Boots », remet le hard décapant au devant. Un titre percutant au refrain Fm à souhait. Un peu trop convenu mais bon, ça passe. L’esprit Kiss refait son apparition dans un « Dr. Sin Is In » qui fait penser à Gene Simmons. Sympa et bien sautillant, mais là encore un peu trop convenu (voire pop au vu du refrain !). Bon deux coups moins bien, j’espère que ça va repartir comme il le faut.
Donc « The Ghosts Of The Heceta Head » a un certain poids sur les épaules. Et je vous rassure d’emblée, il est très bon !! Rythmé et gorgé de synthé et de mélodies subtiles, voilà un nouveau single prêt à cartonner. Vraiment divin cette petite mélodie de synthé. Sans attendre « Evilyn » arrive pour enfoncer le clou ? D’une certaine manière oui ! Cette ballade, fonctionne à merveille et donne tout un panel d’émotions bien agréables. La petite accélération à la fin rend que meilleur celui-ci.
Un petit poème gothique en Français s’il vous plait, sur fond de piano, se présente à nos oreilles « The Rebirth Of The Countess » est bien sanglant puis un énième single en force déboule sans temps mort. « Raise Hell In Heaven » va faire chanter dans les chaumières. Un rythme du diable, qui devrait faire effet en Live, un refrain encore une fois bien travaillé pour être repris en cœur bref, un tube énorme qui te reste dans la tête durant fort, fort longtemps.
Après un tel déchaînement « Deadache » fait office de respiration avec son côté déjà vu. Un mid tempo sans grand plus qui se laisse écouter sans forcément prendre une quelconque position.
Pas comme « The Devil Hides Behind Her Smile », qui même s’il ne casse pas des briques fait son effet. Sa mélodie principale empruntée au ‘Phantom of the opera’ d’Andrews Lloyd Weber, lui donne un esprit déjà entendu et permet de plus facilement nous charmer.
On finit par « Missing Miss Charlene », un dernier moment de hard Fm qui n’est pas des plus marquant. Une manière de finir simplement mais sûrement.
Conclusion : difficile de dire si Lordi a fait mieux. Une chose de sûre, ils nous proposent encore une fois un album exquis. Un florilège de bons titres efficaces, aux refrains entêtants. Du très bon à consommer sans modération !! Finalement Lordi est vraiment très grand.
L’habituelle intro sous forme de conte fantastique (un peu à la Tim Burton) commence puis dans une ambiance indus poursuit. « SGC IV » vient donc de lancer la machine puis le riff percutant de « Girls Go Chopping » vous prend à la gorge et nous balance un titre dans le plus pur esprit hard des 80’s que Lordi pratique avec brio. Le refrain est énorme et vous donne déjà envie de chanter à tue tête.
Après un début aussi tonitruant on reçoit « Bite It Like A Bulldog » comme il se doit. Grosse basse en avant puis la guitare arrive. Encore du gros, du lourd. Je vous rassure si vous connaissez la musique de Lordi sachez qu’elle est toujours la même, avec ses refrains impeccables, véritables hymnes à chaque coup. Pour l’instant le groupe frappe très fort en nous sortant deux singles potentiels. Titre plus soft avec « Monsters Keep Me Company ». Un mid tempo mélodique, limite ballade, qui passe comme une lettre à la poste. J’adore à chaque fois retrouver ce côté Alice Cooper des ‘Trash’ et ‘Hey Stoopid’. On semble replonger en pleine période faste du hard Fm avec ce même plaisir qui vous parcourt tout le corps.
« Man Skin Boots », remet le hard décapant au devant. Un titre percutant au refrain Fm à souhait. Un peu trop convenu mais bon, ça passe. L’esprit Kiss refait son apparition dans un « Dr. Sin Is In » qui fait penser à Gene Simmons. Sympa et bien sautillant, mais là encore un peu trop convenu (voire pop au vu du refrain !). Bon deux coups moins bien, j’espère que ça va repartir comme il le faut.
Donc « The Ghosts Of The Heceta Head » a un certain poids sur les épaules. Et je vous rassure d’emblée, il est très bon !! Rythmé et gorgé de synthé et de mélodies subtiles, voilà un nouveau single prêt à cartonner. Vraiment divin cette petite mélodie de synthé. Sans attendre « Evilyn » arrive pour enfoncer le clou ? D’une certaine manière oui ! Cette ballade, fonctionne à merveille et donne tout un panel d’émotions bien agréables. La petite accélération à la fin rend que meilleur celui-ci.
Un petit poème gothique en Français s’il vous plait, sur fond de piano, se présente à nos oreilles « The Rebirth Of The Countess » est bien sanglant puis un énième single en force déboule sans temps mort. « Raise Hell In Heaven » va faire chanter dans les chaumières. Un rythme du diable, qui devrait faire effet en Live, un refrain encore une fois bien travaillé pour être repris en cœur bref, un tube énorme qui te reste dans la tête durant fort, fort longtemps.
Après un tel déchaînement « Deadache » fait office de respiration avec son côté déjà vu. Un mid tempo sans grand plus qui se laisse écouter sans forcément prendre une quelconque position.
Pas comme « The Devil Hides Behind Her Smile », qui même s’il ne casse pas des briques fait son effet. Sa mélodie principale empruntée au ‘Phantom of the opera’ d’Andrews Lloyd Weber, lui donne un esprit déjà entendu et permet de plus facilement nous charmer.
On finit par « Missing Miss Charlene », un dernier moment de hard Fm qui n’est pas des plus marquant. Une manière de finir simplement mais sûrement.
Conclusion : difficile de dire si Lordi a fait mieux. Une chose de sûre, ils nous proposent encore une fois un album exquis. Un florilège de bons titres efficaces, aux refrains entêtants. Du très bon à consommer sans modération !! Finalement Lordi est vraiment très grand.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
Site du groupe : site officiel de Lordi
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