Live Report
KISS ALIVE 35 - Bercy Paris - 17/6/2008
C’est en ce doux soir de troisième tour de l’Euro (définitif pour l’équipe de France) que la légende Kiss débarque à la capitale pour un show unique en France depuis 9 longues années.
Après une très agréable journée à promener dans Paris, j’arrive devant le Palais Omnisports de Bercy où des milliers de fans maquillés attendent. Entré dans l’antre, je récupère mon siège alors que la première partie Cinder Road joue déjà. Bon que dire des ces jeunes ? Bonne musique (du bon hard US). Bonne attitude, par contre le son pourri, (plus dû à la salle qu’à eux). Bref 35 minutes (je suppose) de jeu accueillit convenablement par un public qui n’a que d’yeux pour la bande à Paul Stanley et Gene Simmons.
Une grande banderole Kiss cache la scène durant la pause, puis un titre des Who retentit et sert d’intro à la machine Kiss qui ouvre sur « Deuce ». La scène venue d’un autre monde (style science fiction des 70’s) est impressionnante et le groupe arrive sur une plate forme tout en haut de l’édifice. Première impression : Terrible ! Le son bien que meilleur n’est pas des plus incroyable, mais le groupe lui fait son show, à grand coup d’effets pyrotechniques, un vrai show à la Kiss !!
Comme promis le groupe jouera ce soir une très grande partie de Alive I sortie il y a 35 ans. Malheureusement pour moi c’est la partie que je connais le moins (j’ai accroché à partir du Alive II sans être fan non plus). Donc quelques titres dont je me rappelle « Hotter than hell », « Nothin’ to lose » « C’mon & love me » « 100,000 Years » qui permet à Eric Singer de faire étal de son talent à la batterie lors du solo et bien sûr les indéboulonnables « Black Diamond » et « Rock n roll all nite » qui ont mit le feu (au propre comme au figuré) !
Une première partie plus que correcte même si on sent le groupe dans une sorte de mode automatique qui ne cherche pas à innover et se contente de jouer leurs clichés (même si c’est vrai que c’est ce qu’on vient voir). Par contre les incessants commentaires de Paul entre chaque morceau : un peu chiant ! Par contre reprendre la Marseillaise ça c’est fort !! Chapeau bas Mr Stanley !
Aller on entame la deuxième partie : le best of qui débute par « Shout it out loud », puis un « Lick it up » qui m’a fait super plaisir (j’aime beaucoup leur période 80’s).
Gene débarque seul devant la scène, les lumières vertes de circonstance, le regard noir et le mythique faux sang dégoulinant le long de sa bouche, puis projeté tout en haut au dessus des lumières pour nous interpréter « Unholy » qui a surpris grand monde (on attendait God of thunder) car peu de personne auraient en plus parié sur elle.
Un petit « I was made for lovin’ you » malheureusement planté par Paul Stanley et les lumières s’éteignent. A partir de là on se dit que le show est fini, et bien non, nos 4 lascars reviennent et c’est au tour de Paul Stanley de s’envoler dans les airs pour rejoindre la plate forme au milieu de la salle avec un « Love gun » dantesque. Cette fois-ci la fin approche elle se nomme « Detroit rock city » et assomme les derniers fans encore debout.
2h15 de show à l’américaine, on a eu droit à tout !! Tout y est passé !! Quel pied !!
Quelle fin, quel concert, la machine Kiss a encore tout écrasé sur son passage, nous laissant les oreilles et les yeux pleins de souvenirs. Décidément unique et indémodable. Et bien maintenant il faut rentrer.
Après une très agréable journée à promener dans Paris, j’arrive devant le Palais Omnisports de Bercy où des milliers de fans maquillés attendent. Entré dans l’antre, je récupère mon siège alors que la première partie Cinder Road joue déjà. Bon que dire des ces jeunes ? Bonne musique (du bon hard US). Bonne attitude, par contre le son pourri, (plus dû à la salle qu’à eux). Bref 35 minutes (je suppose) de jeu accueillit convenablement par un public qui n’a que d’yeux pour la bande à Paul Stanley et Gene Simmons.
Une grande banderole Kiss cache la scène durant la pause, puis un titre des Who retentit et sert d’intro à la machine Kiss qui ouvre sur « Deuce ». La scène venue d’un autre monde (style science fiction des 70’s) est impressionnante et le groupe arrive sur une plate forme tout en haut de l’édifice. Première impression : Terrible ! Le son bien que meilleur n’est pas des plus incroyable, mais le groupe lui fait son show, à grand coup d’effets pyrotechniques, un vrai show à la Kiss !!
Comme promis le groupe jouera ce soir une très grande partie de Alive I sortie il y a 35 ans. Malheureusement pour moi c’est la partie que je connais le moins (j’ai accroché à partir du Alive II sans être fan non plus). Donc quelques titres dont je me rappelle « Hotter than hell », « Nothin’ to lose » « C’mon & love me » « 100,000 Years » qui permet à Eric Singer de faire étal de son talent à la batterie lors du solo et bien sûr les indéboulonnables « Black Diamond » et « Rock n roll all nite » qui ont mit le feu (au propre comme au figuré) !
Une première partie plus que correcte même si on sent le groupe dans une sorte de mode automatique qui ne cherche pas à innover et se contente de jouer leurs clichés (même si c’est vrai que c’est ce qu’on vient voir). Par contre les incessants commentaires de Paul entre chaque morceau : un peu chiant ! Par contre reprendre la Marseillaise ça c’est fort !! Chapeau bas Mr Stanley !
Aller on entame la deuxième partie : le best of qui débute par « Shout it out loud », puis un « Lick it up » qui m’a fait super plaisir (j’aime beaucoup leur période 80’s).
Gene débarque seul devant la scène, les lumières vertes de circonstance, le regard noir et le mythique faux sang dégoulinant le long de sa bouche, puis projeté tout en haut au dessus des lumières pour nous interpréter « Unholy » qui a surpris grand monde (on attendait God of thunder) car peu de personne auraient en plus parié sur elle.
Un petit « I was made for lovin’ you » malheureusement planté par Paul Stanley et les lumières s’éteignent. A partir de là on se dit que le show est fini, et bien non, nos 4 lascars reviennent et c’est au tour de Paul Stanley de s’envoler dans les airs pour rejoindre la plate forme au milieu de la salle avec un « Love gun » dantesque. Cette fois-ci la fin approche elle se nomme « Detroit rock city » et assomme les derniers fans encore debout.
2h15 de show à l’américaine, on a eu droit à tout !! Tout y est passé !! Quel pied !!
Quelle fin, quel concert, la machine Kiss a encore tout écrasé sur son passage, nous laissant les oreilles et les yeux pleins de souvenirs. Décidément unique et indémodable. Et bien maintenant il faut rentrer.
Critique : Guillaume
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