Live Report
UFO - 9/11/06 Usine Istres
Ce soir encore votre webzine va à la rencontre de la légende avec les Anglais d’U.F.O. Fort d’un dernier album très sympa (chroniqué ici même) les ‘Papis’ débarquent à l’Usine d’Istres pour nous donner un bon bain de nostalgie.
Entrée dans la petite salle de l’Usine nous patientons assez peux avant que le premier groupe ne débute. Désolé mais je ne pourrais pas dire grand chose sur eux car je n’ai pas compris quel était leur nom. Evoluant dans un hard assez bluesy à l’instar de leur idole UFO
les 4 musiciens nous délivres un concert sympa en temps qu’apéritif. 8 titres jouer comme il faut et un bon trois quart d’heure de show plus tard nous sommes prés à accueillir les ovnis.
Une bonne intro qui nous plonge dans l’ambiance vieux blues puis ils débarque, Andy Parker, Paul Raymond, Pete Way, Vinnie Moore et sur les habituelles présentations le groupe entame un « Mother Mary » qui met le feu. Phil Mogg arrive sur scène et là sa voix magique envahit la salle. Que c’est bon !! Par contre il est vrai que Phil est dans une ‘petite’ forme et semble avoir du mal à atteindre les notes les plus hautes. Par contre Pete Way lui, est toujours clinquant, déjanté et bourré ? Enfin il fait le show. Vinnie lui assure comme une bête, un immense guitariste qui va avoir de quoi le prouver ce soir, Paul lui plus discret tient aussi bien les synthés que la guitare rythmique, et Andy de retour martèle ses fûts comme au bon vieux temps. On continue avec « Daylight goes down » du ‘You are here’ (2004) qui passe très bien l’épreuve de la scène. Phil qui assure de mieux en mieux est très heureux d’être là et discute très facilement avec le public, n’hésitant pas à s’accroupir pour mieux parler avec les personnes du premier rang. On pourra dire que ce soir l’ambiance est festive, Vinnie très complice avec un Pete très blagueur qui n’arrête pas de boire et de vouloir toujours rajouter un mot après ceux de Phil ; le groupe qui se prend des fou rires entre les morceaux (que de conneries racontées !!) Bref une bonne bande de pote ravi de jouer. Oui mais la musique est bien, on en a prit plein les esgourdes, jugez plutôt : « I’m a loser », « Only you can rock me », « This kids », « Too hot to handle », « Let it roll », et même mon titre qui me donne la chaire de poule à chaque coup l’immense « Love to love ».
Et oui l’age d’or, la grande période Schenker est très largement représentée mais comment faire autrement avec de tels tubes !! Je vous rasure, ils n’ont pas oublié les titres du dernier album. Ils sont trois à être présenté ce soir : la très bluesy « Hard being me », la heavy « Heavenly body » et un « Drink to much » qui permet à Pete de reboire un verre de plus !
Un petit « Baby blue » de l’avant dernier opus permet au groupe de calmer le jeu, avant une fin monstrueuse. Un énorme « Lights out » et un monumental « Rock bottom » qui permet à Vinnie de montrer que même si Michael Schenker est irremplaçable, il tient son poste avec brio et talent un grand bravo !!
Après de multiples remerciements le groupe quitte la scène. Seul reste les deux compères, les inséparables Phil Mogg et Pete Way qui continuent leur discussion avec le public, et leur déconne entre eux avant le rappel. Les fans l’auront compris que ce ne peux être que le « Doctor doctor », le seul grand classique qui manquait à l’appel. Seul reproche l’intro que j’ai trouvé ratée par Vinnie, a t’il voulu trop en faire ? N’avait il pas l’inspiration sur le moment ? N’empêche que ce sera la seule fausse note de la soirée. Une fin superbe puis le groupe nous quitte sous les ovations méritées.
Ah mais pourquoi Pete revient ? Il a oublié son verre de vin ? Non, il s’en va chercher les autres et Phil nous sort « Shoot shoot » est là le public est sur le cul car personne ne l’attendez trop (en tout cas pas moi) et clôture cette fois ci pour de bon un show exemplaire, super, qui a fait un grand plaisir.
Voilà encore un super moment avec des légendes du hard qui montre qu’ils tiennent encore méchamment la route. Décidément les ovnis n’ont pas fini de faire parler d’eux !!
Entrée dans la petite salle de l’Usine nous patientons assez peux avant que le premier groupe ne débute. Désolé mais je ne pourrais pas dire grand chose sur eux car je n’ai pas compris quel était leur nom. Evoluant dans un hard assez bluesy à l’instar de leur idole UFO
les 4 musiciens nous délivres un concert sympa en temps qu’apéritif. 8 titres jouer comme il faut et un bon trois quart d’heure de show plus tard nous sommes prés à accueillir les ovnis.
Une bonne intro qui nous plonge dans l’ambiance vieux blues puis ils débarque, Andy Parker, Paul Raymond, Pete Way, Vinnie Moore et sur les habituelles présentations le groupe entame un « Mother Mary » qui met le feu. Phil Mogg arrive sur scène et là sa voix magique envahit la salle. Que c’est bon !! Par contre il est vrai que Phil est dans une ‘petite’ forme et semble avoir du mal à atteindre les notes les plus hautes. Par contre Pete Way lui, est toujours clinquant, déjanté et bourré ? Enfin il fait le show. Vinnie lui assure comme une bête, un immense guitariste qui va avoir de quoi le prouver ce soir, Paul lui plus discret tient aussi bien les synthés que la guitare rythmique, et Andy de retour martèle ses fûts comme au bon vieux temps. On continue avec « Daylight goes down » du ‘You are here’ (2004) qui passe très bien l’épreuve de la scène. Phil qui assure de mieux en mieux est très heureux d’être là et discute très facilement avec le public, n’hésitant pas à s’accroupir pour mieux parler avec les personnes du premier rang. On pourra dire que ce soir l’ambiance est festive, Vinnie très complice avec un Pete très blagueur qui n’arrête pas de boire et de vouloir toujours rajouter un mot après ceux de Phil ; le groupe qui se prend des fou rires entre les morceaux (que de conneries racontées !!) Bref une bonne bande de pote ravi de jouer. Oui mais la musique est bien, on en a prit plein les esgourdes, jugez plutôt : « I’m a loser », « Only you can rock me », « This kids », « Too hot to handle », « Let it roll », et même mon titre qui me donne la chaire de poule à chaque coup l’immense « Love to love ».
Et oui l’age d’or, la grande période Schenker est très largement représentée mais comment faire autrement avec de tels tubes !! Je vous rasure, ils n’ont pas oublié les titres du dernier album. Ils sont trois à être présenté ce soir : la très bluesy « Hard being me », la heavy « Heavenly body » et un « Drink to much » qui permet à Pete de reboire un verre de plus !
Un petit « Baby blue » de l’avant dernier opus permet au groupe de calmer le jeu, avant une fin monstrueuse. Un énorme « Lights out » et un monumental « Rock bottom » qui permet à Vinnie de montrer que même si Michael Schenker est irremplaçable, il tient son poste avec brio et talent un grand bravo !!
Après de multiples remerciements le groupe quitte la scène. Seul reste les deux compères, les inséparables Phil Mogg et Pete Way qui continuent leur discussion avec le public, et leur déconne entre eux avant le rappel. Les fans l’auront compris que ce ne peux être que le « Doctor doctor », le seul grand classique qui manquait à l’appel. Seul reproche l’intro que j’ai trouvé ratée par Vinnie, a t’il voulu trop en faire ? N’avait il pas l’inspiration sur le moment ? N’empêche que ce sera la seule fausse note de la soirée. Une fin superbe puis le groupe nous quitte sous les ovations méritées.
Ah mais pourquoi Pete revient ? Il a oublié son verre de vin ? Non, il s’en va chercher les autres et Phil nous sort « Shoot shoot » est là le public est sur le cul car personne ne l’attendez trop (en tout cas pas moi) et clôture cette fois ci pour de bon un show exemplaire, super, qui a fait un grand plaisir.
Voilà encore un super moment avec des légendes du hard qui montre qu’ils tiennent encore méchamment la route. Décidément les ovnis n’ont pas fini de faire parler d’eux !!
Critique : Guillaume
Date : 2006-11-16 10:57:21
Date : 2006-11-16 10:57:21
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