Live Report
DEEP PURPLE - Zenith sud de Montpellier - 10/5/2007
Quelle belle journée de commémoration, que ce 8 mai 2007, juste un peu de vent, mais rien qui peut nous empêcher d’aller direction Montpellier, pour y déguster un petit concert d'une véritable légende vivante du hard rock : Deep Purple !!
Les ayant raté déjà à deux occasions (Toulon en 2003, et Marseille en 2006) je ne voulais en aucun cas rater une nouvelle fois la venue des Anglais en nos terres.
Arrivé sur les lieux un peu tard, cela nous a au moins permis de ne pas attendre trop longtemps avant l’arrivée de la première partie. Bon désolé mais je n’ai pas retenu le nom du groupe, tout ce que je peux dire c’est qu’ils sont Français et pratiquent un hard bien pêchu, un peu bluesy par moments. Le chanteur a une très bonne voix qu’il n’hésite pas à faire profiter un Zénith bien bondé. En gros 30 bonnes minutes, 7 titres et une très bonne impression laissée par ce combos au fort potentiel scénique.
Bon maintenant place à l’événement de ce soir. Le public a répondu présent ce qui fait plaisir, car ça prouve que malgré leur age, ils déplacent encore les foules.
9h les lumières sont éteintes, le ‘Jump’ de Van Halen repris par Paul Anka est terminé, l’intro aux douces effluves orientales résonne puis Ian Paice, Roger Glover, Don Airey, Steve Morse et bien sur Ian Gillian, débarquent sur un « Picture Of home » qui met le zénith en transe. Que dire de cette entrée, simple, le groupe apparaît super décontracté, souriant, heureux, le son est super bon (même si l’orgue de Don était un peu trop forte par moment) et se poursuit enchaîné avec un titre que je ne connais pas puis un « Into the fire » qui permet de mettre Ian Gillian en avant, et ainsi montrer que malgré ses 62 ans, et sa voix perdue il reste encore incisif dans ses ‘hurlements’. Toujours sans temps mort « Strange king of women » achève un peu plus le public qui livre une véritable ovation au groupe à la fin de cet enchaînement tonitruant qui m’a mit une sacrée gifle.
Quelques paroles échangées avec le public qui a conquit Ian impressionnait par tant d’acclamations, puis un petit « Rapture of the deep » du dernier en date est entamé. Quel beau titre, Steve Morse, montre son immense talent, quel formidable 6 cordistes.
« Fireball » continue, quel pied immense, « Wrong man » du dernier album sonne d’enfer et Ian se lâche dans ses textes engagés. A noter que celui ci est en forme et n’hésite pas à balancer quelques vannes qui font bien rire un Steve et un Roger à l’écoute.
Voici venu le moment pour Steve Morse de se mettre en valeur dans un somptueux solo, au début calme puis assez Néoclassique, qui a eu de quoi bleufer le public et « When a blind man cries » ensuite adoucit le zénith, quel superbe morceau !! Don prend part de la scène pour une longue intro solitaire qui amène un autre grand moment : « Lazy », qui met le feu avec son intro improvisée. Ian qui pour l’occaze ressort son harmonica, et que dire de la complicité de tous les musiciens qui se régalent réellement sur scène : magique.
Cette fois ci Don Airey, nous fait son solo, qui débute sur l’intro du Mr Crowley d’Ozzy Osbourne et se clôture sur la musique de Star Wars, en passant par ‘La Marseillaise’ repris en cœur par un zénith patriote.
L’immense « Perfect stranger » prend la suite et me rend tout heureux, s’en suit « The battle rages on » que je découvrais (un très bon titre d’ailleurs), puis une collection de titres légendaires avec pour commencer « Space trukin’ » qui là aussi m’a mit le zizi tout dur, et Ian réalise malgré tout une très bonne performance, un « Highway star » d’anthologie, met que plus le public dans un état secondaire le tout sera ponctué par l’indispensable « Smoke on the water » présenté par un Steve Morse impérial, qui fera se lever le public d’un seul homme.
Après ça le groupe remercie le public et quitte la scène. Pas le temps de se remettre de ses émotions que les 5 reviennent pour nous délivrer un « Hush » qui là aussi fait chaud au cœur et permet de voir que Ian Paice n’a rien perdu de son jeu flamboyant dans un petit solo, fort bien exécuté.
Pour finir de manière définitive le très attendu « Black Night » présenté après un solo de basse de Roger exquis qui fera son effet, et clôture de manière impeccable ce formidable concert qui aura comblé un public de tout âge, venu remercier ces légendes vivantes.
Voilà c’est fini, c’est le cœur remplit d’émotions que l’on quitte la salle avec un sourire béant sur nos visages, et aucun regret (ah si c’est passé trop vite). Encore une fois l’âge n’existe pas face à des groupes pareils !!
Les ayant raté déjà à deux occasions (Toulon en 2003, et Marseille en 2006) je ne voulais en aucun cas rater une nouvelle fois la venue des Anglais en nos terres.
Arrivé sur les lieux un peu tard, cela nous a au moins permis de ne pas attendre trop longtemps avant l’arrivée de la première partie. Bon désolé mais je n’ai pas retenu le nom du groupe, tout ce que je peux dire c’est qu’ils sont Français et pratiquent un hard bien pêchu, un peu bluesy par moments. Le chanteur a une très bonne voix qu’il n’hésite pas à faire profiter un Zénith bien bondé. En gros 30 bonnes minutes, 7 titres et une très bonne impression laissée par ce combos au fort potentiel scénique.
Bon maintenant place à l’événement de ce soir. Le public a répondu présent ce qui fait plaisir, car ça prouve que malgré leur age, ils déplacent encore les foules.
9h les lumières sont éteintes, le ‘Jump’ de Van Halen repris par Paul Anka est terminé, l’intro aux douces effluves orientales résonne puis Ian Paice, Roger Glover, Don Airey, Steve Morse et bien sur Ian Gillian, débarquent sur un « Picture Of home » qui met le zénith en transe. Que dire de cette entrée, simple, le groupe apparaît super décontracté, souriant, heureux, le son est super bon (même si l’orgue de Don était un peu trop forte par moment) et se poursuit enchaîné avec un titre que je ne connais pas puis un « Into the fire » qui permet de mettre Ian Gillian en avant, et ainsi montrer que malgré ses 62 ans, et sa voix perdue il reste encore incisif dans ses ‘hurlements’. Toujours sans temps mort « Strange king of women » achève un peu plus le public qui livre une véritable ovation au groupe à la fin de cet enchaînement tonitruant qui m’a mit une sacrée gifle.
Quelques paroles échangées avec le public qui a conquit Ian impressionnait par tant d’acclamations, puis un petit « Rapture of the deep » du dernier en date est entamé. Quel beau titre, Steve Morse, montre son immense talent, quel formidable 6 cordistes.
« Fireball » continue, quel pied immense, « Wrong man » du dernier album sonne d’enfer et Ian se lâche dans ses textes engagés. A noter que celui ci est en forme et n’hésite pas à balancer quelques vannes qui font bien rire un Steve et un Roger à l’écoute.
Voici venu le moment pour Steve Morse de se mettre en valeur dans un somptueux solo, au début calme puis assez Néoclassique, qui a eu de quoi bleufer le public et « When a blind man cries » ensuite adoucit le zénith, quel superbe morceau !! Don prend part de la scène pour une longue intro solitaire qui amène un autre grand moment : « Lazy », qui met le feu avec son intro improvisée. Ian qui pour l’occaze ressort son harmonica, et que dire de la complicité de tous les musiciens qui se régalent réellement sur scène : magique.
Cette fois ci Don Airey, nous fait son solo, qui débute sur l’intro du Mr Crowley d’Ozzy Osbourne et se clôture sur la musique de Star Wars, en passant par ‘La Marseillaise’ repris en cœur par un zénith patriote.
L’immense « Perfect stranger » prend la suite et me rend tout heureux, s’en suit « The battle rages on » que je découvrais (un très bon titre d’ailleurs), puis une collection de titres légendaires avec pour commencer « Space trukin’ » qui là aussi m’a mit le zizi tout dur, et Ian réalise malgré tout une très bonne performance, un « Highway star » d’anthologie, met que plus le public dans un état secondaire le tout sera ponctué par l’indispensable « Smoke on the water » présenté par un Steve Morse impérial, qui fera se lever le public d’un seul homme.
Après ça le groupe remercie le public et quitte la scène. Pas le temps de se remettre de ses émotions que les 5 reviennent pour nous délivrer un « Hush » qui là aussi fait chaud au cœur et permet de voir que Ian Paice n’a rien perdu de son jeu flamboyant dans un petit solo, fort bien exécuté.
Pour finir de manière définitive le très attendu « Black Night » présenté après un solo de basse de Roger exquis qui fera son effet, et clôture de manière impeccable ce formidable concert qui aura comblé un public de tout âge, venu remercier ces légendes vivantes.
Voilà c’est fini, c’est le cœur remplit d’émotions que l’on quitte la salle avec un sourire béant sur nos visages, et aucun regret (ah si c’est passé trop vite). Encore une fois l’âge n’existe pas face à des groupes pareils !!
Critique : Guillaume
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