Live Report
DRAGONFORCE - La Maroquinerie - Paris - 21/10/2017
Dragonforce prenait d’assaut la Maroquinerie en ce délicieux 21 octobre 2017 pour festoyer à la santé de leur nouveau disque « Reaching into infinity ». La Maroquinerie ? Dragonforce ? Attendez, j’adore la Maro, j’y ai vu plein de super concerts et découvert ou revu des groupes que j’adore mais… Dragonforce à la Maroquinerie c’est comme si on m’annonçait de but en blanc que Rocco Siffredi va faire un film avec la nana qui joue la reine des dragons dans Game Of Throne ! Avec tout le respect que je leur doigts à tous les deux (jeu de mot offert, t’es pas obligé de le prendre non plus) le premier truc qui me viens à l’esprit c’est « çà rentrera jamais y a un truc qui va casser ». (Tu noteras ami lecteur que je pars du principe que tu connais pas le nom de la fille mais bien celui du gars, je suis vraiment une pourriture de phallocrate, alors ? Sans chercher elle s’appelle comment de son vrai nom ?)
Dragonforce est un groupe qui joue vite, fort, technique et en sautant partout ! C’est leur truc, ils font tout « beaucoup ». Donc quand on met 4 mecs qui jouent tous frontman sautillant sur un plateau ou un trio statique a plus de chance de s’exprimer… Normalement y a collision…
Ce fût donc chaleureux. A défaut de pouvoir bouger beaucoup (ils ont quand même réussi, ils sont agiles en plus ces lascards) Dragonforce a joué la carte du contact, de la chaleur, de la générosité (bon sur çà on les connaissait déjà c’est pas vraiment une surprise).
Bon, ami lecteur je vais poser un truc tout simple sur la table, t’en fais ce que tu veux. Je suis pas un grand fan de démo et de shred en général. Dragonforce est au Shred ce que Ferrari est au rouge. Donc en théorie j’ai pas forcement passé un bon moment me diras tu ? Ba musicalement j’ai pas assez de neurones pour tout comprendre, j’avoue. Chez Dragonforce on pratique la technique comme d’autres se lavent les dents. Ca à l’air facile, les mecs rigolent déconnent et font des blagues en s’enfilant des gammes qui demandent huit heures de yoga à Steve Vai (c’est lui qui le dit pour le yoga)… Donc même moi qui à la fin de la phrase en contrepoint de ouf jouée à 1000 à l’heure a du mal à me souvenir quel est mon vrai nom… Ba comme les mecs sont cools et se marrent, je me sens bien quand même. C’est con un public non ? (là je parle pour moi).
L’autre truc qui rendait çà super convivial c’est que, moment de chauvinisme total, leur bassiste est français (et en plus sympa ce qui est plus rare pour un français, tous les non français vous le diront). Et comme c’est pas un manche,, ba tout bassiste qu’il est c’est lui qui a pris le solo de guitare, en asseyant tout le monde de virtuosité, avec le sourire, un ti coup de marseillaise, deux trois vannes, fastoche quoi… Bon sang çà a l’air facile mais juste quand tu regardes les visages, si tu regarde les doigts t’as direct le tournis…
Voilà donc c’était blindé, c’était compact c’était chaud comme la braise et sympa comme une réunion de vieux potes. Malgré tout sur un plateau plus grand en plus ils font douze fois plus les cons, sautent et autres acrobaties potaches, bref… next festival on va s’en prendre plein la tronche !
Dragonforce est un groupe qui joue vite, fort, technique et en sautant partout ! C’est leur truc, ils font tout « beaucoup ». Donc quand on met 4 mecs qui jouent tous frontman sautillant sur un plateau ou un trio statique a plus de chance de s’exprimer… Normalement y a collision…
Ce fût donc chaleureux. A défaut de pouvoir bouger beaucoup (ils ont quand même réussi, ils sont agiles en plus ces lascards) Dragonforce a joué la carte du contact, de la chaleur, de la générosité (bon sur çà on les connaissait déjà c’est pas vraiment une surprise).
Bon, ami lecteur je vais poser un truc tout simple sur la table, t’en fais ce que tu veux. Je suis pas un grand fan de démo et de shred en général. Dragonforce est au Shred ce que Ferrari est au rouge. Donc en théorie j’ai pas forcement passé un bon moment me diras tu ? Ba musicalement j’ai pas assez de neurones pour tout comprendre, j’avoue. Chez Dragonforce on pratique la technique comme d’autres se lavent les dents. Ca à l’air facile, les mecs rigolent déconnent et font des blagues en s’enfilant des gammes qui demandent huit heures de yoga à Steve Vai (c’est lui qui le dit pour le yoga)… Donc même moi qui à la fin de la phrase en contrepoint de ouf jouée à 1000 à l’heure a du mal à me souvenir quel est mon vrai nom… Ba comme les mecs sont cools et se marrent, je me sens bien quand même. C’est con un public non ? (là je parle pour moi).
L’autre truc qui rendait çà super convivial c’est que, moment de chauvinisme total, leur bassiste est français (et en plus sympa ce qui est plus rare pour un français, tous les non français vous le diront). Et comme c’est pas un manche,, ba tout bassiste qu’il est c’est lui qui a pris le solo de guitare, en asseyant tout le monde de virtuosité, avec le sourire, un ti coup de marseillaise, deux trois vannes, fastoche quoi… Bon sang çà a l’air facile mais juste quand tu regardes les visages, si tu regarde les doigts t’as direct le tournis…
Voilà donc c’était blindé, c’était compact c’était chaud comme la braise et sympa comme une réunion de vieux potes. Malgré tout sur un plateau plus grand en plus ils font douze fois plus les cons, sautent et autres acrobaties potaches, bref… next festival on va s’en prendre plein la tronche !
Critique : Thomas Enault
Date : 21/10/2017
Date : 21/10/2017
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