Live Report
DRAGONFORCE - AMARANTHE - Le Bataclan - 20/3/2024
Pour cette tournée en co headliner Amaranthe et Dragonforce avaient invité Infected Rain en guest. On arrivait malheureusement trop tard pour ces derniers mais les échos reçus par rapport à leur prestation étaient élogieux.
On arrivait heureusement au bon moment pour assister au set d’Amaranthe. Les Suédois se produisaient ce soir-là quasi pile un mois après la sortie de « The Catalyst ». Etrangement pour un groupe en promo de son dernier opus le groupe n’en joua que trois extraits ce soir-là, le combo se concentrant principalement sur son disque précédent, « Manifest ».
C’est d’ailleurs avec deux titres de cet album : « Fearless » et « Viral » que le groupe ouvre les hostilités. On poursuit avec « Digital World » et un morceau du dernier album, le très bon « Damnation Flame » sur lequel les versant pop et metal du groupe se marient à merveille. Amaranthe dégage une vraie puissance ce soir avec un son bien plus dur et moins pop que celui développé sur disque. Le mélange des trois voix entre celles d’Elize, de Nils et de Mikael fonctionnent à merveille. Il y a de plus une vraie symbiose entre le groupe et son public.
« Maximise » et ses synthés electro font danser la salle. « Strong » poursuit dans cette veine tubesque. Le tempo se ralentit ensuite avec la délicieuse balade « Crystalline » sur laquelle Elize montre toute l’étendue de ses possibilités vocales. Retour à la toute puissance avec « The Catalyst » et « Re-Vision » qui montrent qu’avec son dernier album Amaranthe revient à un son plus agressif.
Le set se termine avec les classiques « Amaranthine » et « The Nexus » que l’on a toujours plaisir à entendre live.
Le groupe revient pour un rappel composé de « Archangel » encore un morceau de « Manifest », un « That Song » entrecoupé d’un bout du « We will rock you » de Queen avant que le combo ne tire sa révérence sur « Drop Dead Cynical ».
Un excellent concert de la part des Suédois dans une ambiance fun et festive à souhait. Le groupe part ravi de l’accueil reçu de la part du public parisien.
On a passé un bon moment avec Amaranthe mais que dire de celui passé avec Dragonforce.
Le groupe démarre pied au plancher avec deux de ses classiques : « Revolution Deathsquad » et « Cry Thunder ». Le décor est sublime avec têtes de dragons et jeux vidéos à foison. On a l’impression d’être plongé dans des ruelles de Hong-Kong. Le groupe comme à son habitude semble évoluer au croisement du jeu vidéo et du metal festif.
C’est d’ailleurs aussi speed et fun qu’un jeu vidéo et musicalement à mi chemin du power metal et du punk (notamment de par le jeu de basse ultra speed de la fabuleuse Alicia Vigil).
Ce qui est bien avec Dragonforce c’est que le groupe se moque de toutes les conventions en nous offrant aussi bien une reprise de Céline Dion, le célèbrissime « My Heart Will Go on » de la fameuse Bo du Titanic ou ce « Wildest Dreams » de Taylor Swift (mais qui n’est pas fan secrètement de Taylor Swift).
Et on termine en apothéose avec le classique parmi les classiques, le titre adoré des gamers du monde entier depuis son inclusion dans « Guitar Hero III », le fabuleux « Through the Fire and Flames » qui conclut un concert jouissif au possible.
On arrivait heureusement au bon moment pour assister au set d’Amaranthe. Les Suédois se produisaient ce soir-là quasi pile un mois après la sortie de « The Catalyst ». Etrangement pour un groupe en promo de son dernier opus le groupe n’en joua que trois extraits ce soir-là, le combo se concentrant principalement sur son disque précédent, « Manifest ».
C’est d’ailleurs avec deux titres de cet album : « Fearless » et « Viral » que le groupe ouvre les hostilités. On poursuit avec « Digital World » et un morceau du dernier album, le très bon « Damnation Flame » sur lequel les versant pop et metal du groupe se marient à merveille. Amaranthe dégage une vraie puissance ce soir avec un son bien plus dur et moins pop que celui développé sur disque. Le mélange des trois voix entre celles d’Elize, de Nils et de Mikael fonctionnent à merveille. Il y a de plus une vraie symbiose entre le groupe et son public.
« Maximise » et ses synthés electro font danser la salle. « Strong » poursuit dans cette veine tubesque. Le tempo se ralentit ensuite avec la délicieuse balade « Crystalline » sur laquelle Elize montre toute l’étendue de ses possibilités vocales. Retour à la toute puissance avec « The Catalyst » et « Re-Vision » qui montrent qu’avec son dernier album Amaranthe revient à un son plus agressif.
Le set se termine avec les classiques « Amaranthine » et « The Nexus » que l’on a toujours plaisir à entendre live.
Le groupe revient pour un rappel composé de « Archangel » encore un morceau de « Manifest », un « That Song » entrecoupé d’un bout du « We will rock you » de Queen avant que le combo ne tire sa révérence sur « Drop Dead Cynical ».
Un excellent concert de la part des Suédois dans une ambiance fun et festive à souhait. Le groupe part ravi de l’accueil reçu de la part du public parisien.
On a passé un bon moment avec Amaranthe mais que dire de celui passé avec Dragonforce.
Le groupe démarre pied au plancher avec deux de ses classiques : « Revolution Deathsquad » et « Cry Thunder ». Le décor est sublime avec têtes de dragons et jeux vidéos à foison. On a l’impression d’être plongé dans des ruelles de Hong-Kong. Le groupe comme à son habitude semble évoluer au croisement du jeu vidéo et du metal festif.
C’est d’ailleurs aussi speed et fun qu’un jeu vidéo et musicalement à mi chemin du power metal et du punk (notamment de par le jeu de basse ultra speed de la fabuleuse Alicia Vigil).
Ce qui est bien avec Dragonforce c’est que le groupe se moque de toutes les conventions en nous offrant aussi bien une reprise de Céline Dion, le célèbrissime « My Heart Will Go on » de la fameuse Bo du Titanic ou ce « Wildest Dreams » de Taylor Swift (mais qui n’est pas fan secrètement de Taylor Swift).
Et on termine en apothéose avec le classique parmi les classiques, le titre adoré des gamers du monde entier depuis son inclusion dans « Guitar Hero III », le fabuleux « Through the Fire and Flames » qui conclut un concert jouissif au possible.
Critique : Pierre Arnaud
Date : 20/3/2024
Date : 20/3/2024
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