Live Report
WHITESNAKE – HAVANA CAFE (Toulouse) - 21/06/06
Quelle soirée extraordinaire que celle d’aujourd’hui, jamais une fête de la musique n’aura étais aussi existante. Il faut bien le dire aussi que ce n’est pas tous les jours qu’un groupe comme Whitesnake vient dans notre pays. Oui cela faisait depuis 1997 et la tournée d’adieu que David Coverdale n’avait pas foulé les planches françaises avec son serpent blanc, une éternité qui ne faisait qu’augmenter à l’annonce de la reformation en 2003 pour fêter les 25 ans d’activité du combos. Alors oui aujourd’hui est un jour exceptionnel, oui aujourd’hui on va se déplacer jusqu'à Toulouse pour assister à cette messe du hard.
Arrivés sur les abords de la ville rose après 3 bonnes heures de routes, nous nous installons tranquillement devant cette grande salle du Havana Café tout en écoutant les balances de Whitesnake et première constatation : ça va faire mal !!!
8 heures approche doucement et l’ouverture des portes permet ainsi à tout les pèlerins d’entrée dans la dite salle pour enfin pouvoir être bénit. Avant que David & Co n’envahissent le scène ce sont les français de Manigance décidément dans tout les bon coup (l’Olympia avec Scorpions) qui ont la dure tache d’ouvrir.
On commence par « Abysse » l’intro du dernier très bon album des Palois puis « Envahisseur » prend le pas. Le son est bien bon mais le groupe ne semble pas forcer comme s’ils étaient là juste pour faire patienter. On poursuit avec « Mourir en héros » qui permet au groupe de se lâcher un peu et de constater que parmi les fans présent quelques un connaissent leur répertoire ce qui les rassurent. Un petit « Maudit » bien sentit et un « Dès mon retour » complète ce show carré sans grand plus non plus. Tout ce beau monde finira avec un « Esclave » de leur dernier opus qui clôturera à peine une petite demi heure de bonne musique.
Une fois ce douloureux moment (surtout pour le groupe moi perso je me suis régalé) les fans attendent patiemment les grands messieurs de ce soir.
21h30 les lumières s’éteignent le groupe entre en scène et là, il apparaît dans une forme resplendissante le grand, le seul, l’immense David Coverdale et dans un ‘are you ready’ crié d’une voix puissante et parfaite nous essaime un « Burn » dantesque qui a mis déjà à genoux un public qui lui mange dans la main. Le son est fort mais pas trop mauvais et l’ambiance de feu. Le groupe est lui aussi carré, puissant, immense à l’image d’un Doug Aldrich exquis : un vrai guitare héros qui reste près de ses fans faisant des poses pour les photos, donnant des médiators de la main à la main. Un petit passage du Strombringer vient se greffer ce qui colle à merveille. Voici un début de folie vite accentuer par un « Slide it in » qui rend radieux le public (n’est ce pas Pieyrre). Et oui ce soir encore la set list est une véritable offrande de tube, « Love ain’t no strangers » poursuit dans un flot de cris et de chant. On n’arrive pas à se dire que c’est Whitesnake qui est là devant nous avec un David grandiose, conquit par ce public de Toulouse qui se donne sans compter. « Bad boy » continue et permet à quelques filles de se faire remarquer par un David toujours aussi charmeur malgré ses 54 printemps (ah bon il ne les fait vraiment pas) et qui est parfait en tout point.
Quelques paroles délivrées avec une grande liberté et des touches d’humour puis « Is this love » entame un grand moment calme qui charme le public (rappelle sûrement des souvenir pour quelques personnes présentes) : ah quel bonheur, quel pied immense, et « Ready am’ willing » enfonce encore un peu plus le clou. Je n’avais encore jamais vu un public comme ça qui n’arrête pas une seconde de chanter à tue tête tous les titres de ce soir.
Moment solitaire pour le grand Doug Aldrich qui nous fait une petite démonstration de son immense talent, bientôt suivit par l’autre guitariste le génial Reb Beach qui nous fait une belle leçon de tapping. Un petit bœuf bluesy ensemble histoire d’en rajouter et de faire plaisir à un public ensoleillé.
Aller on poursuit avec l’anthologique, l’orgasmique « Crayin’ in the rain » qui sur scène met le feu. Après le somptueux solo c’est au tour du très grand Tommy Aldridge de faire étale de son jeu de batterie qui est vraiment spectaculaire, avec ou sans baguette le mec est monstrueux. On fini notre crayin’ in the rain avec un David qui nous sort de ces notes impressionnantes.
Autre grand moment « Ain’t no love in the heart of the city » qui permet au public de chanter pour un David heureux et qui nous le rend bien : c’est fabuleux !!
« Give me all tonight » continue avec toujours cette même impression d’être dans un rêve, on ne peut y croire tant tout est si parfait simple à l’image de ce monsieur Coverdale qui semble être comme chez lui face à son public, qui le fait encore participer au chant, mais qui en plus en redemande ouff !
Place au « Here i go again » histoire dans remettre une couche, agrhhh mon caleçon a craqué je savais que j’aurais du en prendre un de rechange.
Le groupe sort de la scène après ce merveilleux moment puis revient nous faire un petit rappel mais quel rappel, le monumental « Still of the night » rien que ça ! 8 minutes de transe qui ne semble plus finir et qui installe un sourire plus que radieux sur tous les visages, et dans une fin apocalyptique le grand Whitesnake fini son show avec les honneurs et même bien plus encore.
Le show terminé on ce dirige vers la sortie la tête remplie de belles choses qui ne vont plus nous quitter durant des mois.
Seul bémol l’oublie de quelques titres : « Judgement day » (mon titre préféré) « Don’t break my heart again » mais surtout le magistral « Fool for lovin’ » mais bon avec une set pareille peut on vraiment leur en vouloir ?
Voilà maintenant la route nous attend pour revenir vers la vraie vie. Un grand merci à Monsieur David Covedale pour ce plaisir immense et unique procuré.
Arrivés sur les abords de la ville rose après 3 bonnes heures de routes, nous nous installons tranquillement devant cette grande salle du Havana Café tout en écoutant les balances de Whitesnake et première constatation : ça va faire mal !!!
8 heures approche doucement et l’ouverture des portes permet ainsi à tout les pèlerins d’entrée dans la dite salle pour enfin pouvoir être bénit. Avant que David & Co n’envahissent le scène ce sont les français de Manigance décidément dans tout les bon coup (l’Olympia avec Scorpions) qui ont la dure tache d’ouvrir.
On commence par « Abysse » l’intro du dernier très bon album des Palois puis « Envahisseur » prend le pas. Le son est bien bon mais le groupe ne semble pas forcer comme s’ils étaient là juste pour faire patienter. On poursuit avec « Mourir en héros » qui permet au groupe de se lâcher un peu et de constater que parmi les fans présent quelques un connaissent leur répertoire ce qui les rassurent. Un petit « Maudit » bien sentit et un « Dès mon retour » complète ce show carré sans grand plus non plus. Tout ce beau monde finira avec un « Esclave » de leur dernier opus qui clôturera à peine une petite demi heure de bonne musique.
Une fois ce douloureux moment (surtout pour le groupe moi perso je me suis régalé) les fans attendent patiemment les grands messieurs de ce soir.
21h30 les lumières s’éteignent le groupe entre en scène et là, il apparaît dans une forme resplendissante le grand, le seul, l’immense David Coverdale et dans un ‘are you ready’ crié d’une voix puissante et parfaite nous essaime un « Burn » dantesque qui a mis déjà à genoux un public qui lui mange dans la main. Le son est fort mais pas trop mauvais et l’ambiance de feu. Le groupe est lui aussi carré, puissant, immense à l’image d’un Doug Aldrich exquis : un vrai guitare héros qui reste près de ses fans faisant des poses pour les photos, donnant des médiators de la main à la main. Un petit passage du Strombringer vient se greffer ce qui colle à merveille. Voici un début de folie vite accentuer par un « Slide it in » qui rend radieux le public (n’est ce pas Pieyrre). Et oui ce soir encore la set list est une véritable offrande de tube, « Love ain’t no strangers » poursuit dans un flot de cris et de chant. On n’arrive pas à se dire que c’est Whitesnake qui est là devant nous avec un David grandiose, conquit par ce public de Toulouse qui se donne sans compter. « Bad boy » continue et permet à quelques filles de se faire remarquer par un David toujours aussi charmeur malgré ses 54 printemps (ah bon il ne les fait vraiment pas) et qui est parfait en tout point.
Quelques paroles délivrées avec une grande liberté et des touches d’humour puis « Is this love » entame un grand moment calme qui charme le public (rappelle sûrement des souvenir pour quelques personnes présentes) : ah quel bonheur, quel pied immense, et « Ready am’ willing » enfonce encore un peu plus le clou. Je n’avais encore jamais vu un public comme ça qui n’arrête pas une seconde de chanter à tue tête tous les titres de ce soir.
Moment solitaire pour le grand Doug Aldrich qui nous fait une petite démonstration de son immense talent, bientôt suivit par l’autre guitariste le génial Reb Beach qui nous fait une belle leçon de tapping. Un petit bœuf bluesy ensemble histoire d’en rajouter et de faire plaisir à un public ensoleillé.
Aller on poursuit avec l’anthologique, l’orgasmique « Crayin’ in the rain » qui sur scène met le feu. Après le somptueux solo c’est au tour du très grand Tommy Aldridge de faire étale de son jeu de batterie qui est vraiment spectaculaire, avec ou sans baguette le mec est monstrueux. On fini notre crayin’ in the rain avec un David qui nous sort de ces notes impressionnantes.
Autre grand moment « Ain’t no love in the heart of the city » qui permet au public de chanter pour un David heureux et qui nous le rend bien : c’est fabuleux !!
« Give me all tonight » continue avec toujours cette même impression d’être dans un rêve, on ne peut y croire tant tout est si parfait simple à l’image de ce monsieur Coverdale qui semble être comme chez lui face à son public, qui le fait encore participer au chant, mais qui en plus en redemande ouff !
Place au « Here i go again » histoire dans remettre une couche, agrhhh mon caleçon a craqué je savais que j’aurais du en prendre un de rechange.
Le groupe sort de la scène après ce merveilleux moment puis revient nous faire un petit rappel mais quel rappel, le monumental « Still of the night » rien que ça ! 8 minutes de transe qui ne semble plus finir et qui installe un sourire plus que radieux sur tous les visages, et dans une fin apocalyptique le grand Whitesnake fini son show avec les honneurs et même bien plus encore.
Le show terminé on ce dirige vers la sortie la tête remplie de belles choses qui ne vont plus nous quitter durant des mois.
Seul bémol l’oublie de quelques titres : « Judgement day » (mon titre préféré) « Don’t break my heart again » mais surtout le magistral « Fool for lovin’ » mais bon avec une set pareille peut on vraiment leur en vouloir ?
Voilà maintenant la route nous attend pour revenir vers la vraie vie. Un grand merci à Monsieur David Covedale pour ce plaisir immense et unique procuré.
Critique : Guillaume
Date : 2006-06-22 19:28:16
Date : 2006-06-22 19:28:16
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