Chronique
BLACK LABEL SOCIETY - HANGOVER MUSIC VOLUME VI / SPITFIRE RECORD 2004
Qui ne connais pas encore Mr Zakk ‘Fucking’ Wylde guitariste hors norme et surdoué qui officie aux cotés de la légende vivante Ozzy Osbourne depuis maintenant plus de 15 ans, et qui de son petit coté fut le géniteur de ‘book of shadow’ du groupe Pride & Glory et dernièrement Black Label Society (BLS) avec lequel il a déjà sorti 4 albums.
Aujourd’hui nous allons nous pencher sur son 5ème méfait.
Avant toute chose si je vous ai parlé de tout ça ce n’est pas par hasard, non, car ce Hangover music volume VI c’est un peu le retour à la première époque guitare sèche piano avec quelques touches électriques et cette voix éraillée mais superbe.
Nous commençons par le mid tempo « crazy or high » qui nous fait découvrir cet univers plus calme (mouai le passage solo très couillu).
Puis « queen of sorrow » une ballade bien jolie où les superbes mélodies de guitares s’accouplent avec une superbe voix (oui !!!).
« steppin stone » plus stoner avec un très joli son de cloche (glas) et encore très bien fait et cette voix magnifique qui nous ferais pleurer par tant d’émotion.
Le piano fait son apparition pour « yesterday today tomorrow » d’une beauté et d’un calme inimaginable, presque subliminal, un tel émoi, qui en ressort que même les plus durs succomberons.
« Takyllia » c’est un petit solo de gratte comme speedball (1919 éternel) qui nous même sur le led zeppeliniein « wood find it here » qui n’aurait pas fait pale figure sur le Led Zeppelin III.Un esprit plus Rolling Stones pour « she deserves a free ride » une reprise de Val’s Song.Le retour de la gratte électrique pour « house of doom » un mid tempo stoner rock bien sympatoche qui réveille.
Nouvelle ballade avec « damage is done » toujours aussi beau tant au niveau mélodie, refrain, solo et vocal. « layne » fait penser à du Ozzy au niveau de la voix un morceau bizarre au début avec un refrain tonitruant très BLS. « women don’t cry » ben bon courage car Zakk se fait lover et sa voix chaude nous fait fondre, que dire de plus : magique !
« no other » c’est la pur acoustique on n’a aucun mal à imaginer Zakk accompagné de Mike Inez (Alice In Chains / Ozzy) et John Tempesta (Rob Zombie)
Attention la chanson de l’album Zakk seul au piano nous donne le frisson dans un « whiter shale of pale » de Procol Harum immensément magnifique s’arrachant les cordes vocales dans une des plus belles chansons du monde. Difficile de sortir de là tellement c’est beau.
« once more » retourne du coté Rolling Stones certes méchamment couillu, un titre très 70’ qui nous approche de la fin.
« fear » conclu cet opus de fort belle manière : tout en émotion, une douceur contrastant avec l’image du fougueux blond à la Gibson dans un solo mortel.Conclusion une œuvre sublime de qualité et d’interprétation un must de musicalité qui met Zakk dans le domaine : artiste et plus simplement musicien compositeur tant les morceaux choisis sont d’une beauté rarissime.Un grand album pour un grand monsieur. Comme quoi le métal n’est pas toujours bourrin.
Aujourd’hui nous allons nous pencher sur son 5ème méfait.
Avant toute chose si je vous ai parlé de tout ça ce n’est pas par hasard, non, car ce Hangover music volume VI c’est un peu le retour à la première époque guitare sèche piano avec quelques touches électriques et cette voix éraillée mais superbe.
Nous commençons par le mid tempo « crazy or high » qui nous fait découvrir cet univers plus calme (mouai le passage solo très couillu).
Puis « queen of sorrow » une ballade bien jolie où les superbes mélodies de guitares s’accouplent avec une superbe voix (oui !!!).
« steppin stone » plus stoner avec un très joli son de cloche (glas) et encore très bien fait et cette voix magnifique qui nous ferais pleurer par tant d’émotion.
Le piano fait son apparition pour « yesterday today tomorrow » d’une beauté et d’un calme inimaginable, presque subliminal, un tel émoi, qui en ressort que même les plus durs succomberons.
« Takyllia » c’est un petit solo de gratte comme speedball (1919 éternel) qui nous même sur le led zeppeliniein « wood find it here » qui n’aurait pas fait pale figure sur le Led Zeppelin III.Un esprit plus Rolling Stones pour « she deserves a free ride » une reprise de Val’s Song.Le retour de la gratte électrique pour « house of doom » un mid tempo stoner rock bien sympatoche qui réveille.
Nouvelle ballade avec « damage is done » toujours aussi beau tant au niveau mélodie, refrain, solo et vocal. « layne » fait penser à du Ozzy au niveau de la voix un morceau bizarre au début avec un refrain tonitruant très BLS. « women don’t cry » ben bon courage car Zakk se fait lover et sa voix chaude nous fait fondre, que dire de plus : magique !
« no other » c’est la pur acoustique on n’a aucun mal à imaginer Zakk accompagné de Mike Inez (Alice In Chains / Ozzy) et John Tempesta (Rob Zombie)
Attention la chanson de l’album Zakk seul au piano nous donne le frisson dans un « whiter shale of pale » de Procol Harum immensément magnifique s’arrachant les cordes vocales dans une des plus belles chansons du monde. Difficile de sortir de là tellement c’est beau.
« once more » retourne du coté Rolling Stones certes méchamment couillu, un titre très 70’ qui nous approche de la fin.
« fear » conclu cet opus de fort belle manière : tout en émotion, une douceur contrastant avec l’image du fougueux blond à la Gibson dans un solo mortel.Conclusion une œuvre sublime de qualité et d’interprétation un must de musicalité qui met Zakk dans le domaine : artiste et plus simplement musicien compositeur tant les morceaux choisis sont d’une beauté rarissime.Un grand album pour un grand monsieur. Comme quoi le métal n’est pas toujours bourrin.
Critique : Guillaume
Note : 9/10
Site du groupe : site officiel de Black Label Society
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